Se promener

Pique-niquez, discutez, chantez sous les cerisiers en fleurs lors de l'hanami. En automne, observez les feuilles changer de couleur lors du momijigari.

Empruntez l'une des treize lignes privées pour vous rendre dans tous les recoins de la ville. Dans le Monde des Mort·e·s, le métro ne ferme pas la nuit.

Faites du skate, du roller ou du BMX sur les rampes variées. Genoux écorchés à l'appui, apprenez des figures pour faire pâlir les autres de jalousie.

Situés juste en face de l’Agence Azazel, les locaux principaux des Agent·e·s de la Profun tournent encore sur du Wintomb98. Autant dire, pas la pointe de la technologie. Les serviteurs de l’ordre se feront un plaisir de jouer les guides touristiques ou les détectives privés pour doudous perdus ! N’hésitez pas à venir leur rendre visite pendant les heures de travail… à moins que vous ne vouliez piquer une preuve dans les scellés ?

La maison et la boutique de Célestin sentent bon la Provence et les cigales, comme celle en faïence accrochée près de la porte d'entrée. Elle est composée de plusieurs zones, dont une partie d'habitation où Célestin vit avec son fils ; une petite zone de boutique ; et enfin le jardin pour sa production, avec une serre accolée à l'habitation et un potager privé. La décoration est digne des plus beaux livres de Marcel Pagnol, toute en couleurs pastel et en soleil, remplie de bibelots probablement inutiles et de nappes bleus et blanches. La maison est en outre pleine de plantes en tout genre, que Célestin prend un soin tout particulier à entretenir. Le jardin ressemble à un jardin botanique, en apparence laissé au naturel mais en vérité très organisé.

Ancien entrepôt bien trop large récupéré par les membres de l'association dans le but d'en faire leur QG. L'endroit est assez grand pour bénéficier de toute une partie logement classique ainsi qu'un centre administratif. L'endroit semble être assez chaotique à première vu mais il respire le calme et la bonne humeur.

Au milieu d’une étroite ruelle silencieuse, près d’une grande avenue, se tient un vieil immeuble typiquement japonais à deux étages et partiellement en rénovation. Seul trois appartements sont encore viables dont un situé tout au bout de l’immeuble au dernier étage. Isolé du reste, cet appartement est à l’image de la ruelle : dans son jus et légèrement vétuste. A l’intérieur c’est un dédale de pièces assez petites mais avec une hauteur sous plafond suffisamment grande pour se déplacer sans courber le dos. L’odeur rappelle celle des vieux livres et des fleurs séchées, mélangé à une petite odeur de ciment ; probablement à cause des travaux qui sont en pause depuis presque une décennie maintenant.