Pile ou face, la mienne est tombée sur la tranche.
description physique
Couleur de peau : Blanche.
Couleur des cheveux : Blancs, mais il jurera n'utiliser aucune potion pour avoir cette couleur crémeuse.
Longueur des cheveux : Mi-long, il les coiffé généralement vers l'arrière, lui donnant un air "distingué" dit-il avec ses manières.
Couleur des yeux : Bleu ciel, en amande de par certaines origines réfutées par l'intéressé.
Corpulence : Svelte et musclé, il est du style à donner des sueurs froides aux morphologie plus généreuse, et des bouffées de chaleurs aux autres.
Taille : 1.88
Style vestimentaire : Toujours très apprêté, il est rare de le voir sans ses éternelles chemises blanches. Son gilet sans manche et un manteau. Il est classique mais classe surtout. Le genre d'homme qu'aimerait et aimait les mères.
Habitudes : frappe toujours sa chevalière sur une surface plane avant de sortir d'une pièce, se craque les phalanges aussi souvent que possible, se recoiffe dès qu'il se voit devant un miroir, tendance à bouger la jambe de haut en bas quand il s'ennuie, tapote des rythmes avec ses doigts sur les bureaux et les guichets des administrations.
Autre : Parlé ampoulé, utilise des mots d'un autre âge, souffle et râle généralement deux fois par conversation, surtout quand on ne comprend pas ou il veut en venir quand il ne trouve pas ses mots.
précisions
La musique, passion tenace, c'est toute sa vie. Il a tout sacrifié pour obtenir ses compétences particulières dans tout les domaines qui y touchent. Il sait aussi bien jouer du piano, que du violon, de la flûte, et pousse plutôt bien la chansonnette. Il aime par dessus tout faire vibrer un auditoire par ses notes, et ses mélodies entraînantes. Il aime aussi vivre des aventures, ce qui l'a toujours poussé à brûler a chandelle par les deux bouts. Luchas, est par essence joviale, lumineux, presque trop sympathique et altruiste, que ce monde peu paraître barbare à côté de ses phrasés pleins d'espoirs, et de philosophie fondée sur la paix intérieur et l'amour des autres.
Le pouvoir de notre jeune amie "Poison d'Avril", lui permet d'apposer des marques sur des gens ou des objets, pour leur porter la poisse. Malheureusement pour lui, il est une marque à lui seul et le troisième oeil semble le suivre comme s'il avait des griefs personnels à lui imputer.
Les deux potions qui lui réussissent le mieux : La chance en bouteille, pour lutter contre les journées ou il a vraiment la guigne, et l’émulsion d'amour, qui brille au contact de l'être aimé.
Excessif
Altruiste
Médian
Loquace
Musicien.
Avant sa mort, homme de peu de foi, et d’une confession qui n’existe que dans les livres de comptes, Morgenstern est maintenant un bon samaritain, mais pas niais pour autant. Il arbore la vie avec une grande spiritualité, s’exprime souvent en des termes singuliers et sibyllins, prônant la paix dans le monde et les ménages, il aime apaiser les colères les plus furieuses, les haines les plus tenaces, et milite toujours pacifiquement. Pour lui, c’est l’amour qui vaincra un jour, toujours. Il arbore un sourire qui fait chaud au cœur, et ses paroles agissent souvent comme un baume sur les esprits les plus échauffé, échaudés, égratignés. Si les traumas sont des blessures, il en est le pansement. Et en plus de toujours agiter avec beaucoup de dignité sa croyance ferme de l’amour fraternel, mondial et omniprésent, il le défend bec et ongle. Frappez-le, il ne répondra que par plus d’amour. Donnez-lui une claque sur la joue droite, il tendra la gauche. Pour lui, il est impensable de frapper, ou de blesser quelqu’un, sans se faire du mal à lui-même en premier lui.
Puisque nous sommes tous connectés, organismes non-vivants mais palpitants et vibrants comme des milliers de cœur qui seraient soudés par notre esprit ; Ses croyances le poussent à toujours encaisser, que ce soit les mots ou les actes des autres. Quelque part, il a trop peur de sa part d’ombre pour ne pas rester l’éternel lumière du monde. On lui a apprit très jeune que la voie du milieu, entre les extrêmes, est toujours la meilleure …
Malheureusement lui-même ne suit pas vraiment ce précepte, par choix ou par impossibilité éthique et morale, car il restera un parangon d’humilité, de joie et de paix. Zen, relax, il travaille au rythme qui l’arrange, sans jamais se presser. Pour lui chaque chose doit se faire dans un temps qui lui est propre, et ne pas respecter la temporalité qui nous est imposée, est une vraie erreur.
Lui-même ne se sent pas irréprochable, et se sent parfois trop direct, franc du collier, entier et nature. Si Luchas serait une figure géométrique, il serait une ligne droite. Droit par sa nature et ses croyances, mais aussi le plus rapide moyen d’arriver quelque part.
Et cet ailleurs, pour lui, se divise en plusieurs branches ; Le monde des idées, là ou tout est possible pour tout le monde, même le pire et surtout le meilleur espère-t-il. Le monde des paroles, là ou l’on peut blesser ou faire cogiter par ses simples idées. Et le monde des actions, résultant et mélange de tous les mondes existant.
Pour lui, quand on est en accord sur ses trois mondes, ses trois pans et plans de l’existence, l’on ne peut qu’être élevé, voir éveillé, spirituellement et arriver, tendre vers le meilleur que l’être humain peut offrir. Si l’on s’attèle à être un peu plus bon le lendemain que la veille, alors on progresse et l’on est sur la voie du milieu.
Son cœur est solide, sa force mentale est incroyable, et ses convictions sont fortes. Son verbe est haut, ampoulé, mais toujours proche des gens, touchant par son sens de la formule.
Luchas est sur la voie du milieu, celle qui caresse et qui apprend, celle qui se fait tuteur et modèle des autres. Elle est stricte et demande la rigueur, quelque chose qui lui a toujours servit dans son ancien métier.
Droit, sans embûches ni guerres, sans royaumes ni frontières.
histoire
1991 / Hiver // L'hiver dans cette région était particulièrement rude, mais l'être humain sait s'adapter, évoluer pour survivre. Le vent frais du nord, s'engouffrait dans les "plaines des fleurs" de Cologne. Sauf sur certaines partie des terres cultivables de sa famille, cachée par des pans de montagnes où les machinerie et les gens ne cessaient de s'activer, et de réchauffer l'atmosphère de leur fumées blanchâtres s'élevant comme des nuages menaçant sur le ciel, indifférents du jours et de la nuit. La maison principale ou habitait issu Luchas, crachait, cahotant, des relents de parfums irisés et des effluves de carburant pour les machinerie ultralibérale qu'avait créer son grand père. Partie de rien, il avait fait siens des terres et fait de sa maison la principale composante de la ville, réputée pour ses parfums et ses eaux de toilettes.
Faire les 3.8 était chose courante dans les petites familles asservie à la botte d'une noblesse bourgeoise décrépie et décadente. Sa famille n'échappait pas à la règle. Premier né d'une famille de la petite Allemagne profonde mais riche, Luchas est né un soir rêche d'hiver. Il était déjà attendu par son oncle, Friedrich Morgenstern, qui avait déjà des vues sur la femme et sur les terres dans la capitale du parfum de son frère, qui lui donnerait une place dans les hautes sphères du pouvoir de la vie à Cologne.
2001 / Printemps // Berlin. Pour parfaire son éducation, Luchas est envoyé à la capitale, lui qui avait grandit dans la campagne proche et très peu industrialisée comparé à la concentration massive des machiens et des odeurs dans la ville siège du pouvoir du Pays, s'adapta finalement assez vite à la vie dans le bâtiment dont il était le maitre de maison, séparé de ses parents par des kilomètres de tubes, de câbles, et de métal. Il commença à comprendre que son destin ce n'était ni l'amour, ni la gloire, quand son père lui envoya un étrange courrier quelques années plus tard, lui indiquant qu'il devait rentrer immédiatement. Séance tenante, il prépara ses affaires et prit le train, direction la petite ville alemande. Un ensemble de dômes, et de pointes comme des flèches, tendue dans le ciel. Tout autours, un champ de fleurs aux aspect étrangement beaux et gracieux. Une odeur moins présente d'huile de moteur résidait dans les airs. On eut dit que c'était un oasis onirique dans un champ de mort et de vie mécanique. Arrivant il trouva un père diminué, cheveux grisonnant, sur son lit de mort. En quelques années ce père qu'il ne connaissait que très peu, mais qui l'avait toujours bien traité, mourut sans plus d'explication.
2007 // Hiver /Berlin; Écarté de l'entreprise familiale par son oncle, il fut envoyé à la capitale. Il fallait dire que depuis quelques années, ils avaient amassé une fortune colossale grâce aux loyers de terres dans la vallée des fleurs. Revendues à prix d'or, son oncle avait alors fait un investissement auprès du gouvernement, et acheté des terres à berlin pour y poser un premier pas. La mission du premier né était de s'y faire remarquer comme le représentant de la famille en tant que lobbyiste en quelques sortes. Sa vie semblait réglé comme du papier à musique..