Peek a Boo ! •• V.4.2
Peek aBoo !
Forum RPG paranormal • v.4.2 • Rp libre
Tout commence après la mort : découvrez un au-delà chatoyant où les rires remplacent la douleur.

Bienvenue

dans le Monde des Morts


Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.

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Anonymous
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#31
Terminé24.03.18 17:13

— Y'ALL ARE A
pain
IN THE ASS. I'LL SHOW YOU WHAT IT IS.
Par une amabilité d’emprunt, finalement, il parvient à lui soutirer quelques informations qui s'avèrent utiles. Méthode préférée des roublards, c'est avec un rictus écœuré qu'il s'y jette pour aborder son vis-à-vis. Il ne l'aime pas et le message a clairement été passé au préalable, certes, mais ce revirement trop brusque devient déjà trop toxique qu'il se met à tousser en supplément de son empourprement, témoignant d'un état inédit et improbable chez lui.
Manquant d'aigreur sur la langue, il se racle la gorge pour chercher une bile noire et acariâtre. De ses yeux aguerris de prédateur, il balaye toute trace de faiblesse qu'il peut dégager dans les paroles d'un fourbe.

Si doucement, si sournoisement, il se glisse comme un vice.

Fourbe. C'est ce qu'il est et rien d'autre donc absolument, il doit s'y méfier. Et ce n'est absolument pas comment Brendan agit puisque timidement et anormalement, il lui a tendu son téléphone. Certes, ce n'est qu'une pièce connectée qui lui importe si peu. Mais si on lui vole, il se mettrait uniquement en colère car ça reviendrait seulement à un vol de son éternelle vigilance.
Ainsi donc, dans ses singulières dernières défenses où il a été forcé d'abattre les poings contre le béton et le regard contre les arbres du bosquet, ses mots bredouilles sont l'ultime moyen de contrecarrer des plans fallacieux qu'il pourrait mijoter :

— Y a que des crétins comme toi pour mettre leur date de naissance en mot de passe.

Mémorisant brièvement le mot de passe qu'il oublierait d'ici quelques minutes tant son esprit à autre à penser, il l'insère immédiatement sans maintenir un énième regard à l'adversaire à ses côtés qui pourrait, finalement, très bien, accomplir un coup d'estoc à ce moment précis pour le blesser et s'enfuir avec des coups de propriétés personnelles ; autrement dit, s'enfuir avec son téléphone.
Cela dit, l'issue est peu probable sachant que l'autre ne pourrait s'enfuir sans le vol d'identité qu'il désire peut-être.
Affirmatif, il attend bel et bien que Brendan lui donne son mot de passe et pour plus de confiance, il a donné le sien en premier. La seule réponse que l'américain lui offre et une réponse physique à la révélation ; il ne lui répond pas en paroles mais agit et compose le code qui se manifeste être le bon et pas une entourloupe. Ca ne sent pas encore le roussi mais bien le vinaigre, cette histoire.

D'un air suspicieux, l'arête du nez du brun se renfrogne pour faire plisser ses yeux et ne s'en détache pas, cette fois-ci, puisqu'il donne à son tour, une information quelque peu compromettante à sa survie. Néanmoins, il reste moins intime que le sans-nom qui lui a avoué sa date de naissance. Certes, il ne sait pas quoi faire de cette date qu'il oubliera forcément mais le révéler, c'est perdre un peu de sa couverture ; que d'ailleurs, l'ectoplasme cherche à se donner depuis le début même si le sang s'étant écoulé prouve qu'il n'est pas fait de métal.

— 1101. Code binaire.

L'intensité de ses prunelles ne diminue pas et s'égare sauvagement sur tout le visage illuminé par l'écran de son voisin. Cette insistance pourrait traduire cet effet de cruelle et persistance vérité sur la langue de Brendan mais finalement, c'est un mensonge des mieux rodés.
On le juge peu intelligent mais il sait étendre sa culture sur certains langages. Encore qu'il ne le maîtrise absolument pas. Encore que cela ne veut rien dire ; hormis sa propre date de naissance mais à l'envers (Premier novembre). Finalement, on a bien fait de le prendre pour un crétin.

Brendan accomplit un geste de vague avec la main pour laisser aller ce mensonge d'amateur. Il n'apprécie pas feindre mais ne pas dire quelque chose, selon lui, ne veut pas forcément dire que l'on ment. Drôle perspective des choses, en effet. Mais cette omission le rend tout de même quelque peu désabusé de sa personne.
Comme si les blessures cutanées étaient moins atroces que celles faites à l'esprit.

Il se mord la lèvre et relève ses mèches, contemplant la peau violacée à certains endroits de ce garnement là.

— Tu ferais mieux d'aller à l'infirmerie ou autre.

S'excuser serait peut-être un peu exhaustif, de sa part. Mais son anxiété pour un diable pareil n'est pas négligeable.



who
many
SUSANOO
771 WORDS


Invité
Anonymous
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#32
Terminé06.04.18 19:22
car radio ,.
respire bordel
Brendan est fascinant.
Réellement et étrangement --
Fascinant.

Susanoo hausse un sourcil et esquisse un sourire alors que son interlocuteur de l'après-midi l'insulte (pour changer) de crétin. Au fond, il n'a pas vraiment tort : qui met encore sa date de naissance en mot de passe ? Apparemment moi, songe-t-il sarcastiquement -- mais c'est parce qu'il n'a rien dans ce téléphone. Ni secret ni confidence ; seulement quelques messages d'Etsu, seulement quelques appels de son frère mais rien de très personnel, rien qui incite Susanoo à protéger ce téléphone d'un code inviolable. Il n'y a rien à trouver, rien à découvrir. Il l'observe, de son regard malicieux, taper ce mot de passe et il sent bien que Brendan est (presque) surpris que le code soit le bon.

Parce que Susanoo, tu vois, tu mens tout le temps.
Parce que Susanoo, tu vois, tu fais semblant.

Tu es faux, tellement faux, Susanoo.
Que lorsque tu es vrai --
Personne ne te croit


Il ne s'en est jamais vraiment rendu compte, que ce côté très hypocrite se reflète parfois et qu'au bout d'un moment, par lassitude, par peur de la déception, les autres ne lui font plus confiance. Oh ; pourtant, le regard des autres -- il ne devrait pas s'y attarder, il ne devrait se concentrer que sur Amaterasu. Mais seulement, Susanoo (fragile, si fragile) n'a jamais pu se détacher du regard des autres.
Brendan met en valeur des choses qu'il ne voudrait pas voir.
Des choses qu'il ne voudrait pas entendre.

Susanoo se racle la gorge, attendant la réponse de Brendan sur son code. Une seconde, il se dit qu'il ne va rien lui dire. Et peut-être alors qu'il va se sentir terriblement con -- parce qu'il se confie (et qu'il déteste ça) et si en plus, Brendan ne dit rien.
Alors là --
Alors là, vraiment --

1101
Code binaire

Tu fais du codage, toi ? répond Susanoo d'une voix douce (peut-être un peu trop) tout en tapant le code sur l'écran -- et c'est le bon code (légère surprise sur le visage du jeune homme au regard chocolat alors qu'il ajoute dans les contacts de son interlocuteur son numéro de téléphone)

Il suppose, il juge (et c'est terrible, c'est mesquin, c'est mauvais -- mon dieu, Susanoo, tu vas le regretter). Il extrapole et considère que Brendan ne peut pas coder, en ajoutant ce toi si dur, si froid. Il se demande à quoi ce code peut correspondre (au 11 Janvier ?) mais il est persuadé que cela ne peut pas être du code binaire, que Brendan n'est pas du genre à coder.
Mais Susanoo, tu juges.
Tu juges sans le connaître.
Tu ne sais rien de lui, excepté son prénom.

Susanoo réalise que Brendan l'a bien mieux cerné que lui.
Et c'est piquant, c'est vexant.

Et puis, Brendan se mord la lèvre.
Le regard chocolat du jeune homme glisse sur le visage de l'inconnu, note qu'une mèche dépasse de sa tignasse, remarque qu'une autre couleur, plutôt cuivrée, se cache dans le noir de jais. Il essaye de se rappeler la première impression qu'il a eu de Brendan, il y a une heure : c'est justement l'impression. Il l'a impressionné -- parce qu'il a marqué. Et c'était naturel, c'était évident.
Et puis, Susanoo se mord la lèvre.
Il passe sa main dans ses cheveux ; il a l'air de quoi lui ? Avec son visage violacé par endroit, ce sang séché entre le nez et les lèvres -- il n'impression pas. Absolument pas. Il attire peut-être même la pitié à cet instant. Lui, qui d'habitude est un rayon de soleil, un astre si brillant qu'il en éblouit les autres ; lui n'est désormais que la dernière planète d'un système solaire dont il n'est pas le centre.

Sourire malicieux.
Sourire peut-être un peu mélancolique.

Tu m'accompagnes ?

Il ne sait pas pourquoi Brendan a posé la question. Il ne sait pas pourquoi il a donné cette réponse -- c'est sorti naturellement.
Sans réflexion, sans aucune hésitation.
C'est entre une question et une fausse proposition (peut-être, peut-être pas).

A toi de voir, Brendan

Brendan lui fait peur.
Brendan l'agace.
Brendan l'énerve.
Brendan le fait rire.

C'est évident à présent --

Brendan est supérieur à lui —

darren criss. @ atf
Invité
Anonymous
Invité
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#33
Terminé20.04.18 2:22

— Y'ALL ARE A
pain
IN THE ASS. I'LL SHOW YOU WHAT IT IS.
La dernière particule dans cette question exprime l'étonnement de son voisin quand à la possibilité que Brendan puisse manipuler les chiffres binaires. La neutralité du concerné au regard de cette question, quant à elle, dépeint la pertinence de cette question. Bien évidemment, il n'a pas une tête à être mathématicien et il n'a pas besoin de formuler de réponse pour que quelqu'un le comprenne. Un haussement d'épaules suffit pour juste évoquer sa connaissance mais rien de plus.

Cela dit, ce qui est finalement choquant, c'est que le battu désire en apprendre plus son bourreau, pour le questionner ainsi. Au final, il n'a fait, qu'auparavant, supposer des faits comme par exemple, sa situation matrimoniale en l'accusant d'appeler sa petite amie qui ne répondait pas. Mais cette naïveté enfantine, une interrogation qui aurait été évidente quand on lit le visage de et abruti, a le don de s'intéresser à lui. Alors Brendan change de regard. De la colère, il passe à la neutralité. Mais la neutralité n'est pas une émotion. Elle n'est pas pour les imprévisibles. Il est surpris.
Et peut-être encore plus surpris lorsque ce masochiste lui demande à être accompagné à l'infirmerie.

Les lèvres entrouvertes et le bleu des yeux délaissé sur cette morsure répliquée, Brendan est profondément désorienté au point où son coeur tambourine pour lui annoncer l'occasion. Oui, car, en effet, c'est l'occasion rêvé pour se diriger vers quelqu'un et se confier ; se montrer « humain ». L'invitation n'est pas négligeable mais, considérant l'interlocuteur, elle est absolument absurde. Ce type est-il touché du syndrome de Stockholm ou une variante pour vouloir être accompagné d'un agresseur pareil ? De plus, si on porte une attention plus particulière au sujet, il n'est pas du genre à avoir besoin de compagnie. Son hypocrisie le rend seul mais le rend si pédant. Il n'a pas besoin de quelqu'un.

Soudain, le téléphone dans la main de Brendan se met finalement à vibrer momentanément. Il ne s'agit pas d'un appel mais d'un message. Le vampire peut le lire. Qu'importe le nom du destinataire, si des emoji « coeur » se situent juste à côté de ce nom, c'est bien qu'il a au moins une personne qu'il apprécie. C'est un peu idiot à avouer mais son voisin aurait très bien pu ne pas en mettre, ce qui changerait son rapport aux gens.

— Tu mets des emojis après les pseudos ? Tu crains, mec.

Néanmoins, le rire léger sur les lèvres autrefois pincées du garçon ne dit pas la même chose. Lui aussi change. Brendan commence à s'intéresser, étrangement. Ou plutôt, il se joue plutôt fouineur et se permet, avec tout le culot qu'il a, de lire le message de cet « Amaterasu » qui demande à « Susanoo » s'il compte bientôt rentrer. « Amaterasu » n'a pas tort finalement ; le ciel s'assombrit. Et le ventre de Brendan se met à s'écrier famine au même moment sans qu'il ne puisse finalement interrompre ce bruit. Ses yeux s'écarquillent et il ne fait semblant de rien.

Il reporte son appétit et s'intéresse de nouveau à l'individu qui partage son environnement proche. Son rire s'est éteint. Il est redevenu sérieux dans le ton. Or, les gestes, même si toujours brutaux, gardent un timbre plutôt proche. Après s'être levé et avoir arraché son portable des mains qui ne sont pas censées glisser dessus, il attrape et écrase de sa paume le crâne en face de lui. Ses doigts se resserrent sur sa cervelle ; trop idiote, oui.

— T'es vraiment con, comme mec. Qui penserait à se faire accompagner de quelqu'un qui pourrait encore lui foutre un coup de poing ?

Une nouvelle fois, sa franchise se jette dans les deux cercles bruns qu'il a à portée de vue. Pendant quelques secondes, il l'interroge de ce regard qui ne comprend pas, finalement, les intentions d'un garçon pareil.
Il est impossible et Brendan finit par en soupirer en fermant les paupières. À son tour, il lui rend le téléphone que lui, a volé, en le plaquant contre le torse relevé du jeune homme, suspendu sur une surface plus haute que lui, qui se retrouve debout, dans les vallées conçues au béton. Contre sa poitrine, comme un cadeau, finalement, intentionné tout de même.

— Apparemment, t'es attendu, Susanoo donc tarde pas. Moi j'y vais.

Il lui adresse un sourire puis, bizarrement, quelque chose de contrit. Il se tord ; car Brendan a eu tort, encore une fois, de juger quelqu'un si directement. Mais il ne peut pas s'excuser parce que c'est trop pour lui comme ce qu'il a fait est peut-être trop excessif pour être pardonné. Alors mieux vaut s'en aller.




who
many
SUSANOO
JE SAIS PAS


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