Peek a Boo ! •• V.4.2
Peek aBoo !
Forum RPG paranormal • v.4.2 • Rp libre
Tout commence après la mort : découvrez un au-delà chatoyant où les rires remplacent la douleur.

Bienvenue

dans le Monde des Morts


Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.

News

Personnages attendus

Elizabeth, sa mèrepour Caleb Wallace
Noah, son ex-compagnonpour Constantine B. Carter
Siegmund, son meilleur amipour Normann K. Schaeffler
son ex-femmepour Jules Lecomte
Yvan, son ex-compagnonpour Abraham Zakarian

起死回生

❝Have a good death
Le Deal du moment : -35%
Pack Smartphone Samsung Galaxy A25 6,5″ 5G + ...
Voir le deal
241 €

La Tantine
Le seul et l'unique
https://peekaboo-rpg.forumactif.com/t6067-constantine-b-carter-whttps://peekaboo-rpg.forumactif.com/t6079-constantine-geez-you-re-something-to-seehttps://peekaboo-rpg.forumactif.com/t6080-lost_boy-deathbook-de-constantine
La TantineLe seul et l'unique
[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier R6bYptr[RP SOLO] Nobody's soldier UUjFbdF[RP SOLO] Nobody's soldier AI2MsOwIl/lui4282GulliverPsychologue et Homme à tout faireJohn Constantine - Hellblazer10462786
Constantine B. Carter
Constantine B. Carter

Infos complémentaires
Barre d'amusement:
[RP SOLO] Nobody's soldier DODprFi24/100[RP SOLO] Nobody's soldier 3k2uH8S  (24/100)
Présence: présent·e
Evolution : [RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier R6bYptr
[RP SOLO] Nobody's soldier UUjFbdF
[RP SOLO] Nobody's soldier AI2MsOw
Pronoms : Il/lui
Âge de la mort : 42
Âge post-mortem : 82
Appartement : Gulliver
Métier : Psychologue et Homme à tout faire
Avatar : John Constantine - Hellblazer
Epitaphes postées : 1046
Øssements2786
[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier ZShapbE[RP SOLO] Nobody's soldier R6bYptr[RP SOLO] Nobody's soldier UUjFbdF[RP SOLO] Nobody's soldier AI2MsOwIl/lui4282GulliverPsychologue et Homme à tout faireJohn Constantine - Hellblazer10462786
évolution

Infos complémentaires
Barre d'amusement:
[RP SOLO] Nobody's soldier DODprFi24/100[RP SOLO] Nobody's soldier 3k2uH8S  (24/100)
Présence: présent·e
#1
TerminéHier à 18:57



Nobody's soldier


RP solo & évolution


Mi-août 2024


Tu te lèves, grognant, gémissant. Une main qui passe dans tes cheveux et l'autre qui s'écrase contre le matelas de ton lit pour te donner la poussée dont tu as désespérément besoin pour réussir à te redresser et malgré ça c'est difficile. T'as mal au dos et ça faisait un moment que tu t'étais pas levé avec un pareil mal de crâne. Tu grommelles dans ta barbe de trois jours, te jurant que vraiment faut que tu arrêtes ce genre de conneries et puis quelle heure il est exactement ? Un coup d'œil autour de toi te fait comprendre que la journée va s'avérer difficile : ton manteau roulé en boule à même le sol, ton pantalon qui se retrouve à moitié sur une chaise et à moitié dans le vide, et un chemin tracé par tes clés, ton portefeuille et deux-trois paquets de clopes qui vont de l'ouverture de ta chambre de fortune jusqu'à ton lit. Un bordel sans nom, voilà ce que tu contemples alors que tu te grattes le dessous de la barbe en baillant. Bon. Ça te dit pas quelle heure il est alors, de ta main nouvellement libre, tu tapotes sous ton oreiller avant de trouver ce que tu cherchais. Et évidemment que ton portable est déchargé -vu l'état du reste de ta chambre ça t'étonne pas plus que ça. Un soupir et te voilà péniblement debout, tu tangues un instant et tu finis même par te rattraper à la chaise qui traîne devant ton vieux bureau abîmé. Au moins t'as atterri dans ta chambre et pas à ton bureau ou pire, chez quelqu'un d'autre, qui que ce soit d'ailleurs.

T'avais pas le temps pour ça.
Pourquoi d'ailleurs ?
Tu te souviens pas.

Alors que tu branches ton téléphone tu fais cette moue, celle que tu fais toujours quand tu réfléchis intensément et que tu sais que t'as oublié quelque chose mais quoi ? Un nouveau bâillement, un grattage du bas du dos du bout des doigts et t’attend debout au milieu de ton propre bordel que ton téléphone s’allume. C’est long, vraiment très, très long. C’est qu’il arrive en bout de vie -cette pensée te faire ricaner intérieurement, mais tu peux pas te permettre d’en acheter un autre donc tu l’encourages à tenir le coup en silence, dans ta tête. Finalement l’écran s’illumine et tu pousses un soupir de soulagement avant de le reposer sur le coin de ton bureau et t’asseoir, accouder à ce dernier. Tu fredonnes avec ta voix rauque du matin, la jambe qui s’agite nerveusement alors que ça charge. Tu as pas le temps de t’en préoccuper plus longtemps puisque du coin de l’œil tu vois quelque chose traîner près du bord de ton lit et ça t’intrigue. Tu plisses les yeux, pas totalement sûr que ce soit quelque chose de réel ou si tu rêves encore à moitié mais non tu comprends vite ce que c’est. Probable que ce soit le léger halo blanchâtre qui te met sur la piste ; tu claques la langue, croisant les bras contre ton torse en essayant de détourner le regard. Déjà que tu as eu un réveil difficile après une nuit compliquée t’as pas besoin de ça.

De ce rappel de ta condition de polter’.
Oh, tu as fini par t’y habituer. Plus ou moins. Parfois ça te prend par surprise et très souvent au pire moment. Ta capacité à voir des périsprits te gênerait pas autant si c’était pas un putain de rappel constant de ton passé, ce passé que tu détestes et que tu réprimes en grinçant des dents. C’est dingue que tu puisses en voir autant ; ça se fait toujours aussi souvent dans le Monde des vivants ? Tu saurais pas dire. Peut-être que t’as la poisse, peut-être que, finalement, une entité toute puissante existe et aime particulièrement foutre le bazar dans ta vie -ou dans ta mort c’est selon. En tout cas c’est pas ton jour : même si tu détestes tout ce que cet objet représente, aujourd’hui tes yeux n’arrivent pas à décrocher. Tu fixes, longuement, dans un silence angoissant. Les minutes défilent et toi tu remarques rien. Vu de l’extérieur, t’es juste bien assis dans ta chaise, le poing serré contre le bois abîmé de ton bureau, ta poitrine qui se soulève lentement au rythme de ta respiration profonde. Tes pupilles, légèrement plus ronds et plus dilatés que d’habitude et on jurerait que tu clignes bien moins souvent des yeux. Une torpeur. Ça faisait un moment, d’ailleurs. La dernière remonte probablement déjà à quelques mois et ça t’avais laissé un goût amer ; rien de plus désagréable que de se réveiller après une telle transe et devoir accepter que ce soit arrivé. Et que ça arrivera de nouveau.

C’est donc ça ta « nouvelle mort » ?
Fixer un objet qui n’existe même pas dans ce Monde.
Un objet inaccessible, agité sous ton nez comme une mauvaise blague.
Frustration. Aigreur.

Finalement c’est un gros bruit sourd qui te sort de là, le genre de bruit qui te rappelle la chute d’un meuble sur le sol. Ça tremble sous tes pieds et avant même de pouvoir comprendre la provenance de ce dernier, tu es debout, le cœur battant, la sueur qui perle sur ton front. T’inspires profondément avant d’expirer et te laisser retomber dans ta chaise de bureau. Bordel. Tu sais pas si tu dois remercier lae responsable ou l’engueuler mais tu choisi la première option pour le moment puisqu’au moins t’as décroché de cette espèce d’hypnose bizarre. Tu clignes des yeux, te passe les mains sur le visage avant de refaire face à ton bureau. Le téléphone posé en évidence te rappelle ce que tu faisais avant d’être inexplicablement attiré par le périsprit et tu t’en saisis d’un geste, le déverrouille et … Une avalanche de messages, d’appels manqués et de notifications.

Un coup d’œil vers l’heure affiché.
12h46. Merde.

Ça te frappe comme une tonne de briques sur le coin du crâne. T’avais un rendez-vous, assez important en plus. Et t’es pas seulement en retard non : t’es carrément à la bourre. Fais chier. Tu t’habilles à une vitesse ahurissante, laissant tomber toute tentative de te débarbouiller et en quelques minutes te voilà à courir dans l’appartement, observant du coin de l’œil la raison du bruit entendu plus tôt : il semblerait qu’un des meubles -ou un des instruments ? difficile de savoir, d’Esperanza a connu une fin aussi funeste que la tienne. Tu ricanes alors que tu composes un numéro d’une main, pressant le pas.

***


Jusqu'à maintenant, tu n'avais jamais envisagé de quitter Gulliver. Enfin, si. Ça t’est déjà arrivé quelque fois, quand allait mal, quand tu avais cette envie de t'isoler tel un animal blessé. Lécher tes blessures dans le silence et l’ignorance la plus totale parce que c’est plus facile comme ça. Plus facile de te planquer que de montrer tes blessures et les innombrables cicatrices qui en résultent depuis une bonne soixantaine d’années. Les oiseaux se cachent pour mourir et toi tu le fais par pure instinct de survie puisque ça a toujours été comme ça. Toujours ? Bon, presque toujours tu l’admets. Affalé dans ton lit, tu observes le plafond ; un plafond fait d’un drap tendu à travers duquel tu distingues sans mal le dessous du lit géant de l’appartement qui te sert réellement de plafond. Il te paraît si loin, comme tout le reste de ce qui t’entoure. T’es fatigué après une journée complète à courir dans tous les sens, rattrapant ton retard, faisant courbettes sur courbettes pour t’excuser et en profiter pour trouver la moindre justification valable pour expliquer ton retard. Les bras croisés sous ta tête, tu te rappelles pas que c’était aussi chiant de chercher un appartement. Appeler, se déplacer, visiter, faire les yeux ronds à l’annonce du loyer. Grincer des dents, t’excuser, courbetter encore et encore avant de partir et recommencer une, deux, trois, quatre fois. Finalement ce jour de repos que tu t’es accordé a fini par se faire engloutir et tu te sens lourd. Lourd et un peu déprimé. Un peu beaucoup, preuve en est que tu te retrouves à scroller mollement ton téléphone avant de te rendre compte de l’heure.

Trois heures du matin.
Signe d’une insomnie qui débute.

Un soupir et tu reposes le téléphone contre ta poitrine, respirant lentement. C’est silencieux dehors et il est fort à parier que tous tes colocs dorment. Tu jurais entendre un léger ronflement au loin mais vu la distance qui vous sépare, littéralement, ton esprit pourrait très bien te jouer un tour. Alors tu te passes en revue tous les appart’ que t’as visité aujourd’hui : trop petit, trop miteux, trop loin de ton bureau, trop chelou comment tu pourrais y mettre le moindre meuble, trop bas pour toi et ton mètre quatre-vingt douze et ainsi de suite. Ça te prend bien une heure, ou deux, tu comptes plus. T’aimes pas ça compter, surtout quand t’es censé … Bah dormir. Tes yeux te font mal à force de rester ouverts alors tu les frottes et tu finis par te redresser dans un bruit de craquements de vieux os mêlé aux craquements de ton lit qui montre des signes de faiblesses flagrant. Bonne chose que t’aies le lit géant ou le canapé de ton bureau comme solution de secours avant de te rappeler qu’une de ses options va bientôt disparaître. Oh, t’en as d’autre que ton bureau ça tu te fais pas trop de soucis mais si tu dois rajouter l’achat de meuble dans ta liste t’es pas rendu. Ça te fait presque regretter ton choix après tout ici ça te coûte rien et t’y vis même pas tant que ça vu comment tu t’acharnes avec ton -ou plutôt tes boulots. Mais t’as besoin de ça.

T’as besoin d’un espace à toi. Un espace où tu pourras te faire oublier.
Te faire discret.
Te faire silencieux.
Une planque, une safe space, une distance entre toi.
Toi et … les autres.
Toi et celleux qui comptent.

Aujourd’hui, plus que jamais d’ailleurs.

Le temps semble se suspendre alors que tu te noies dans de simples pensées. Des pensées qui commencent à te serrer le cou alors tu secoues la tête pour chasser les liens qui menacent de t’étrangler et t’en profites pour choper le premier livre qui traîne. C’est vrai que tu lis plus beaucoup en ce moment. Autant profiter de la nuit blanche qui se profile pour y remédier et comme par magie, le temps se remet en marche. Il défile à toute vitesse alors que tu te plonges dans un bouquin rempli de jargon technique sur la psychologie mêlant sociologie, antipsychiatrie et un tas de sujets dont t’aimerais parler des heures mais honnêtement qui aimerait t’écouter, mh ? Non. N’y pense pas, focus. Focus. Et t’y arrives, malgré ta tête qui bourdonne, malgré cette voix dans le fond de ton oreille qui veut se faire plus forte, plus bruyante. Tu lâcheras pas, pas cette fois. Quand tu finis par enfin fermer le livre, ayant atteint la page finale de ce dernier, un simple regard à travers les ouvertures de tes paravents te fait comprendre que le matin pointe son nez. L’absence de vraies fenêtres n’empêchent pas les fausses fenêtres de s’aligner avec la météo extérieure. La luminosité monte petit à petit et, alors que tu te saisis de ton téléphone, le 6h21 affiché sur l’écran te confirme que t’as passé ta nuit à angoisser, puis scroller comme un con avant de lire jusqu’à plus soif.

Au moins l’angoisse s’est calmée.
Un peu.

Assis au bord du lit, tu t’étires avant de te lever et d’éviter soigneusement les affaires qui traînent -dans un premier temps. Tu te changes pour quelque chose de plus confortable avant d’entamer une séance de rangement sommaire mais plus que nécessaire. Tu déplaces, tu plies, tu jettes dans un coin en te disant que ça attendra plus tard puis finalement tu tentes de te saisir d’un livre qui traîne au sol étrangement, il attire ton attention bien plus que les autres bricoles qui jonchait la surface de ta chambre. Peut-être parce que tu reconnais absolument pas la couverture ; tu te dis que c’est peut-être un des nombreux livres que tu as volé -enfin emprunté à Basil. Mais non, tu t’en souviendrais. Peut-être que c’est sa présence au sol, toi qui fais pourtant particulièrement attention à tes livres parce que ça coûte cher et que pour toi c’est important. Très important. Ou alors peut-être tout simplement qu’il attire ton œil parce qu’il est blanc.
Et légèrement opaque.

« C’est quoi cette merde. »

La surprise te rend pas spécialement plus poli, au contraire. Tu tends la main, puis tu t’arrêtes, tu recommences, et ce cirque dure un petit moment. Quand tu le touches, t’as la même sensation entre tes doigts que quand tu touches un de tes périsprits ; cette sensation que tu as finie par détester parce que seul toi sait à quel point il t’est désagréable de devoir saisir un dog tag. Mais t’as pas le choix puisqu’on t’a fait comprendre que ta survie en dépend un peu maintenant. Urgh. Sauf que tu te demandes pourquoi tu vois un livre cette fois-ci. T’as jamais rien vu d’autre, jamais rien senti d’autre, jamais, never, nada, quedalle. Est-ce que c’est un genre de blague ? Est-ce que ton corps -ou ton âme, si tu en as une, déconne à plein régime ? Pourtant le manque de sommeil ne t’as jamais fait ça ce qui te rend encore plus … confus. Et perdu. Et perplexe. Tu joues avec le périsprit, désormais assis à même le sol les jambes en tailleur. Peut-être que tu devrais en parler à Rin ? Elle saurait sûrement ce qui se trame. Peut-être.

D’un côté, ça te fait bizarre. Vraiment bizarre.
Mais de l’autre, tu ressens une pointe de soulagement.

Parce que ça veut dire que tu seras plus obligé de voir que des dog tags. Peut-être que ça veut dire que tu verras aussi des livres de temps en temps maintenant. Est-ce que tu verras d’autre chose ? T’en sais rien. Mais ça te fait du bien, ça allège un poids dont tu n’avais même pas vraiment conscience. Tu souffles, longuement, les yeux fermés alors que tes doigts parcourent le dos du livre. T’imagines sans mal que si un·e vivant·e traîne dans le coin iel doit avoir la peur de sa vie à voir un livre qui semble flotter par moment mais toi, toi tu ne penses qu’à toi. Pour une fois. Et c’est peut-être à cause de cette vague d’apaisement, cette pression qui s’envole que tu commences à te sentir petit à petit somnolent. Tu piques du nez sans vraiment t’en rendre compte, observant la vie s’agiter dans cet appartement définitivement trop grand. La mort suit son court alors que tu savoures ce petit moment de joie que trop attendu après des jours -voire des semaines de galères.

Te laissant porter par ton corps qui te hurle de t’allonger tout de suite, là, maintenant te voilà lover à même le plancher en laissant enfin ce pauvre livre tranquille. Tu bailles, tu choppes le premier truc qui traîne et que tu as pas rangé pour te couvrir avec avant de sombrer si vite que t’en oublies de régler un réveil.

Tant pis.
On peut bien te céder ce caprice.

Résumé



2564 mots

[RP SOLO] Nobody's soldier 3166822915
Tantine cherche à partir de Gulliver parce qu'il veut avoir un endroit un peu "à lui" où vivre, sauf qu'il se réveille à la bourre et se fait happé par la vision d'un périsprit. Puis finalement il fait une giga insomnie parce que ça va pas fort (bizarre) et il se rend compte qu'il peut voir d'autre périsprit même si c'est pas encore bien clair et il finit par s'endormir épuisé mais soulagé bichon

Afficher toute la signature


❝Doctor, can you help me ‘cause something don’t feel right ?
Better make it fast before I change my mind.❞
(c)maddie sur epicode.