welcome home (cheater) · ft. courchevel

D’un coup ça s’enchaîne à la vitesse de la lumière ! Pourtant t’as cette drôle de sensation que le « chuchotement » que tu as cru entendre n’est que le fruit de ton imagination. Peut-être ? C’est pas clair. Tu vas pas te mentir, tu as d’abord cru que c’était encore en lien avec ton périsprit mais tu n’as jamais entendu de voix donc ça marche pas. Et comme tu n’y connais à peu près rien, tu finis par mettre ça sur le compte de la faim, la fatigue et l’effet de groupe. Zelda commence avec des questions et toi tu décides de voir ce que ça donne, gardant tes doigts sur la goutte. C’est pas parce que t’y connais rien que tu dois faire n’importe quoi non plus ! Elle s’inquiète pour Cassian que tu observes du coin de l’œil et clairement quelque chose te semble vraiment off. Puis Charlie s’agite ; c’est beau la jeunesse. T’as presque des crampes aux doigts maintenant

Est-ce qu’un vivant peut avoir faim ? Sûrement. Et d’après la goutte, la réponse à l’air positive. Marrant. Tu esquisses un sourire face au rire de Charlie mais ce qui te ramène assez vite, c’est l’énorme pression que tu commences à sentir sur ton bras. Un coup d’œil dans sa direction et tu captes assez vite que Cassian semble vouloir te couper la circulation sanguine tellement sa poigne est ferme. Tout comme son visage. Peut-être que finalement ça lui fait vachement peur ? Non. Non ça c’est pas de la peur, ça c’est les sourcils froncés de quelqu’un en colère ; même très très en colère. La colère montre d’un cran après la question posée par Maya et comment tu le sais ? Bah c’est que ça commence à te faire un poil mal -juste un peu. Tu préfères rien dire, c’est pas comme si tu voulais l’embarrasser non plus. S’il se contient c’est sûrement pour une bonne raison. Tu regardes la goutte se déplacer une fois de plus sur des chiffres : lae vivant·e est un·e ptit·e jeunot·te c’est mimi

Et tu as bien fait de la fermer, puisque Cassian semble enfin ouvrir la bouche puis te fixer. Se présenter hein ? Ça semble le calmer et la poigne se fait plus supportable -tant mieux pour toi et tes vieux os. Tu te lances

« Ouai carrément … Alors moi c’est Wa- »

T’as pas le temps de finir que Zelda se lève d’un coup. Ses paroles semblent détachées mais elle a l’air vraiment flippé ; peut-être que c’est le moment de faire une pause ? T’es pas contre, mais tu te mets aussi à être un peu inquiet pour Cassian

« Ça m’gêne pas d’arrêter ou de continuer mais … Mmh, Cassian ? »

Ta voix se fait plus basse

« T’es sûr que ça va ? Les autres ont l’air de bader mais toi t’étais fâché … et t’avais un peu l’air paumé aussi »

Tu finis par retirer tes doigts de la goutte avant de les secouer, lui sourire et te lever dans un mouvement. Tu regardes Charlie qui part s’installer, Zelda qui a l’air de manger avec appétit et tes trois colocs qui restent à table.

« C’était marrant ! Mais je crois que j’ai eu ma dose de film d’horreur pour la soirée … Si tu veux on s’refera ça un de ces quatre ? Il se fait faim, j’vais manger un bout aussi ! »

Tu accompagnes tes paroles avec un clin d’œil et une tape sur l’épaule de Cassian -l’espace personnelle est un concept inconnu avec toi, puis tu rejoins Zelda en lui demandant doucement si ça va quand même. En voyant Charlie s’endormir, tu te saisis de ta veste encore pendu sur un bout du canapé et tu lui mets sur les épaules ; t’as trop peur de la réveiller en la soulevant et la ramenant dans sa chambre.

Même s’il a beau être un spectre maintenant, les films d’horreur sont pas trop le truc de Rory. Il n’avait jamais testé cette fameuse planche de Ouija ou de Nonja auparavant, mais il a bien voulu tester pour s’intégrer à la colocation. Puis, ce n’est pas non plus son genre de refuser, peu importe la proposition qui lui est faite. Seulement, la situation tourne un peu trop au vinaigre. Certains semblent entendre des voix, lui il est surtout perdu et ne sait pas quoi faire, si ce n’est encore faire une mauvaise blague (mais ce n’est plus le moment pour ça).

Finalement, c’est Zelda qui met un terme à la séance directement, assumant qu’iels finiraient bien par invoquer un démon avec tout ça. Rory lui lance un regard un peu trop honnête, un peu effrayé des évènements possibles avec cette fichue planche. Alors, tout le monde s’arrête et lâche la goutte. Un peu penaud, Rory contemple la planche abandonnée sur la table un instant, quand d’autres se lèvent déjà pour aller se servir quelque chose à grignoter ou à boire. Après un instant, il relève la tête vers Cassian encore en face de lui et ose demander finalement en se penchant vers lui :

« Hey, t’as vraiment entendu un truc du coup ? C’était quoi ? Parce que moi vraiment j’y ai rien compris, j’entendais rien, je pensais pas que ça marcherait vraiment ce truc. »

La peur attise malgré tout la curiosité. Même si ça fait déjà quelques mois qu’il est parmi les morts, Rory reste encore très ignorant à tout ce qui est possible ici, et il a bien envie de savoir aussi. Comme tout le monde se regroupe autour de l’apéritif, il finit aussi par se lever pour prendre quelque chose et remplir un peu le ventre qui s’était tordu par la peur.

« Dites, vous faites ce genre de truc à tous les nouveaux colocs ? Ok, c’est bientôt Halloween je conçois, mais ça m’a tout l’air d’être un bon bizutage ! »

Il dit ça pour plaisanter, riant à la fin pour tenter de détendre un peu l’atmosphère. Il prend un verre et trinque avec qui le veut, puis il voit par la même occasion Charlie s’endormir rapidement sur le canapé. Il sourit à l’attention que Warren lui porte et songe peut-être à faire un peu de moins bruit pour ne pas déranger.

« Qu’est-ce que vous avez prévu ensuite alors…? Me dites pas que la soirée est déjà finie ? » demande-t-il en pointant la Belle au bois dormant derrière lui. « Vous faites quoi d'habitude entre colocs, moi perso tout me va. Soirée Deathflix, jeux de sociétés ou plutôt soirées en ville...? »

Lui, il peut rester debout un long moment encore. Il préfère quand même suivre les autres, même si c’est maintenant chez lui, il n’ose pas trop s’imposer encore.
Mais après tout, c’est Rory, ça ne saurait durer très longtemps.

La trahison est telle qu'il la regarde s'éclipser du cercle qu'il a construit. Elle ruine tout.

Une autre finit par également quitter la séance. Il ne soutiendra pas que l'heure n'est pas à la sieste. Il n'en pense pas moins, juste déçu de voir Charlie carrément s'exiler du comité. En fait, il est déçu de tout le monde.

À partir de ce moment-là, la fête est devenue un fiasco pour Cassian, ne voyant pas grand intérêt à rester. Il serait bien sorti au bar pour rattraper le coup et faire bande à part puisqu'il souhaite oublier ce qui vient de se passer. Non pas que c'était terrifiant, c'était même mystique, cette séance. Un peu grisant. Iels ne savaient pas où iels allaient mais iels fonçaient puis brutalement, on freine. On a cassé le fun.

C'est qu'il est revanchard, aujourd'hui, alors lui aussi va jouer les trouble-fêtes. Il s'en tape des petits fours de Maya, il s'en tape de l'inquiétude de son pote.

« Non, bien sûr que non. »

Seule réponse qu'il donne, placide parce que dans les faits, Rory ne l'épargne pas non plus. Puis ne pas être cru, questionner à nouveau alors que pour une fois, Cassian ne ment pas ; il le digère assez mal.

La susceptibilité du zombie lui laisse croire que c'était une mauvaise idée, comme il a l'air de dire que ça suffit pas pour faire une soirée. Là-dessus il lui donne bien raison mais ça aurait pu être continué, justement.

Et en effet, Cassian aurait bien poursuivi sans elleux si ce n'était pour les propos du plus vieux spectre qui l'incrimine d'être en colère. Seul témoin de sa rage, franchement, c'est pas pour l'exposer devant tout le monde comme ça. Son ton compatissant lui donne envie de gerber, il n'aime pas qu'on le prenne pour une victime. Choqué d'entendre ce qu'il prend pour une accusation, Cassian fait totalement machine arrière dans sa tête.
Les plans chaotiques même pas mis en place pour ruiner le reste de la soirée déjà désamorcés avant même qu'il ne commence à les mettre en place. Warren a le bon goût de rappeler la tête brûlée à la raison avant qu'elle ne vrille et se montre désagréable.

« Les gars, vous inquiétez pas autant pour moi. Ça devient gênant, je suis pas en mousse. »

Contrairement à vous. Mention supplémentaire qu'il pense plus judicieux de ne pas intégrer. Ça aurait pu être un peu taquin mais ça pourrait être mal pris comme Warren vient de balancer devant tout le monde qu'il a l'air assez salé.

Coup de coude dans la hanche de Warren qu'il aurait transformé en poing dans le ventre pour lui ravaler ce qu'il vient oser de dire. Cassian essaye de se la rejouer bon pote pour ne finalement, pas cramer sa couverture. Changement de stratégie instantanée. Alors que même Rory l'a saoulé pour le coup. Vraiment, une soirée jeux de société, il a pas plus ennuyeux encore comme idée, celui-là ?

Au moins, lui a quand même le mérite de proposer quelque chose alors que son regard dévie vers elle. Quelle traitresse. Sur le point de s'empiffrer des gueuletons que Cassian boude sérieusement, végétaux ou non. Il rit gentiment. Mais presqu'au nez.

« La peur t'a creusé l'appétit, Zelda ? Tu veux plus rien faire ? »

Un rire clair pour jouer la taquinerie. Il minaude un air plutôt penaud. Il la cherche, oui. Mais dans le fond, Cassian ne veut surtout pas passer à table maintenant puisque les discussions fuseraient et on insisterait sur le fait qu'il soit de mauvaise humeur, à nouveau. Il préfère ne pas plus rebondir sur ce que dit Warren, ne pas lui laisser l'occasion non plus d'y revenir.

Elle a beau l'avoir trahi sur la séance, elle peut bien se rattraper en proposant autre chose.

Tu fais un léger signe de la main lorsque Cassian répond que, en gros, ça va. T’as pas de raison de pas le croire après tout ; son coup dans la hanche te décroche juste un sourire suivi d’un petit rire. Le reste du groupe fini par se réunir de nouveau autour de la bouffe ; et tu les comprends. Tu picore un peu, surveillant d’un petit coup d’œil Charlie qui semble partie pour faire sa meilleure nuit sur le canapé. La question de Rory te fait rire avec lui avant d’hausser les épaules. En règle générale, les bizutages c’est pas trop le truc de la coloc mais qui sait ce que les autres en pensent. Tu trinques de bon cœur avec lui, ton verre rempli du premier soda que t’as trouvé à portée de main. Inconsciemment, ta voix se fait plus grave mais aussi plus basse, probablement pour éviter de réveiller ta jeune coloc

« Qu’est-ce que vous avez prévu ensuite alors…? Me dites pas que la soirée est déjà finie ?

Hé beh j’espère pas, j’ai bien l’intention de profiter encore un peu de la bouffe perso ! »

Tu ris doucement. Rire légèrement interrompu par l’entrée de Loulou à qui tu fais un grand signe de la main. Les bras chargés, lae voilà qui ramène encore plus de nourriture. Tu regardes le petit pactole maintenant disposé sur la table –t’avais pas vu autant de pâtisserie française depuis très longtemps. T’en as presque les yeux brillants d’admiration pour ta vieille amie. Tu piques une chocolatine d’une main en la remerciant ; tu perds pas le nord. L’ambiance semble reprendre petit à petit alors que Foulques explique qu’il a totalement oublié la soirée -en même temps t’as pas fait mieux à débarquer en trombe plus tôt. Les acclamations de Zelda dans un magnifique franglais te font sourire aussi

« C'est toi qui as ramené ça ? J'aurais dû m'en douter, Van Gogh est devenu hanté et voilà qu'il a dû fermer...

Mais nan t’inquiètes Loulou, c’est pas Rory. Et je pense que la coloc’ est déjà assez hantée à cause de nous, j’te rappelle qu’on est des fantômes après tout ! »

Tu rigoles à ta propre blague, même pas besoin de public.
Et puis Zelda semble subitement avoir une révélation dans un éclat de rire

« Et si on jouait à des jeux genre... j'sais pas, action ou vérité ? ou j'n'ai jamais... tous les jeux du genre !

Oh ! C’est marrant comme idée, moi j’uis bien partant pour un action ou vérité. Pis ça permettra de faire connaissance aussi pas vrai Rory ? »

Tu souris, mordant dans ce qui reste de ta chocolatine avant qu’elle disparaisse dans les tréfonds de ton estomac. Décidément Zelda a de bonnes idées ; ce qui t’étonne pas. Après tu parlerais pas de débâcle, plutôt d’une p’tite frayeur. Et c’est ce que tu dis d’ailleurs, avant de reprendre un truc à manger

« Bon alors, qui commence ? J’laisse la priorité aux plus jeunes, héhé »

Rory fait quand même un peu la moue quand Cassian ne répond pas vraiment à ses questions. Il voit bien qu’il est déçu, voire de mauvaise humeur. Lui était réellement curieux, peut-être un poil apeuré, mais il avait eu envie de savoir. Tant pis, il ne voulait pas insister et rejoint alors les autres autour de l’apéritif, demandant ce qu’il y a de prévu ensuite. Seulement, c’est l’arrivée imprévue de Foulques qui coupe la discussion pour le moment. Rory s’était bien dit qu’iels n’étaient pas encore tous·tes au complet pour la soirée et il sourit grandement pour l’accueillir, content d’apprendre à connaitre Foulques aussi autour de quelques viennoiseries qu’iel vient ramener.

Prêt à lui donner une tape amicale sur l’épaule, il se rétreint quand Foulques commence à l’accuser quant à la présence de la table de Nonja sur la table. Il s’offusque faussement :

« Quoi ?! Non ! » Heureusement, Warren le défend. « Oui, puis Van Gogh a surtout été hanté par un surplus de cigales… C’est devenu invivable alors me voilà avec vous maintenant. »

Il hausse des épaules, l’air de rien. Ce sont des choses qui arrivent, après quelques mois passés au sein de l’Agence, à maintenant travailler en tant qu’homme à tout faire aussi, il en a vu des choses. Plus grand chose ne le choque, il est simplement curieux. Il trinque avec Foulques malgré tout, pas franchement susceptible et se sert d’un croissant pour grignoter un peu.

Puis, Zelda propose de faire un petit jeu tous ensemble. Warren est partant pour un action et vérité et demande qui veut bien commencer. Rory regarde chacun à tour de rôle avant de se lancer :

« Honnêtement, j’imagine que je suis le plus jeune si on parle de notre vie après la mort alors je veux bien commencer ! Puis au pire, tant qu’on y est pourquoi pas faire le jeu de la bouteille hein ? » Il ricane, évidemment qu’il n’est pas sérieux, juste un peu trop taquin et justement… « Cass ! Tu veux jouer ? Allez, dis voir, action ou vérité ? Si tu choisis action, arrête de bouder et viens t’amuser ok, je te vois faire. »

Sourire vainqueur sur les lèvres, il le dénonce devant tout le monde. Au fond, il a juste envie que tout le monde soit à l’aise et s’amuse, même si c’est que le dernier arrivé dans la colocation. Puis, ils sont potes, il peut se permettre d’être un peu franc avec lui, n’est-ce pas ?

Bien sûr, comme si on avait pas déjà assez de bouffe sur la table. Tu pouvais la servir demain, ta fierté française, ça aurait très bien aussi. Vraiment, il reconnaît bien là les français·e·s, toujours à fanfaronner...

Surtout que le luisant des croissants laissent fortement à penser qu'ils sont enduits de beurre. Non là, Cassian ne peut plus retenir sa grimace quand les viennoiseries se ramènent dans le festin. Il a l'amabilité de se dispenser de tout commentaire au retardataire bien qu'il trouve son alibi douteux. Il aimerait ne pas commenter non plus les énièmes remarques faites à son encontre par celleux appelé.e.s ses ami.e.s mais on l'en accuserait d'être encore boudeur.

Profondément infantilisant et c'est humiliant.
Cassian ne digère décidément pas.

« Relax, Zelda. C'était pour rire. Moi aussi je faisais un peu marcher tout le monde. Comme dit Warren, c'est déjà nous les fantômes. Ouais, certes, j'ai entendu comme toi mais c'est peut-être Foulques qui a pris une grosse voix et prétexte arriver avec des croissants, qui sait ? »

La main devant sa bouche retient sa taquinerie. Comme à l'accoutumée, il ment et dévie le problème sur autrui. Autant sur l'arrivant.e qui aurait pu venir plus tôt, que sa pote : Si elle a peur, c'est son problème. Après tout, le mystère aurait pu être résolu en poursuivant. Bon, sérieusement, il doit passer à autre chose lui aussi. Et il serait temps que Rory aussi. Il secoue la tête dans tous les sens lorsqu'il est interpellé pour participer en premier à un action ou vérité, puis pointe son torse pour se désigner.

« Moi boudeur ? Je pète toujours la forme qu'est-ce que tu racontes ? T'as peur de commencer en premier donc tu me jettes en pâture à la place, c'est ça... Je te savais pas aussi traître, Rory. En plus de ne pas me connaître, je suis vraiment déçu ! Je ne prends pas toujours action, tu sais... »

Une salve de missiles dissimulée sous une comédie exagérée qu'il lance en direction de Rory. On verra qui est le plus boudeur des deux, maintenant.
Cassian devrait vraiment passer à autre chose, ouais. Mais là, il l'a pris comme une insulte.

Boudeur : Ça veut dire qu'il joue mal. Ça veut dire qu'on le perce un peu à jour. Alors il va redoubler de mensonges. À commencer par reprendre sa contenance vers quelqu'un envers qui il a le moins d'aigreur. La mâchoire posée entre ses mains, il lae fixe avec plus de douceur.

« Comme tu viens d'arriver, à toi l'honneur. Je te laisse me poser une question. »

Comme Foulques est lae moins susceptible de lui réclamer une authenticité qui fâche ou de lui demander de se justifier sur le fait qu'il « bouderait ». Prendre vérité, c'est faire le pari qu'on arrête de penser qu'il marmonne des choses dans sa barbe.
(Même si c'est surtout qu'on oserait sans doute pas remuer le couteau dans la plaie.)

Pour autant, ça veut pas dire qui la donnera, sa réponse sincère.
En fait, qu'importe la question, nul besoin de préciser, ça finira en bobard.

Alors tu peux lui demander n'importe quoi, ne t'embête pas à chercher trop loin.
Allant d'un désir coupable au pire date passé, il a toujours de la ressource pour romancer son vécu.

C'est pas avec ce genre de jeu qu'on va lui apprendre à respecter les règles.

Son tour n'est pas important
(préférant pour une fois se faire oublier)
on peut passer au suivant.