Peek a Boo ! •• V.4.2
Peek aBoo !
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Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.

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Leone J. Chiaramonte
évolution
#1
Terminé10.06.18 2:31

Psycholeone.

Comme lors de toute bonne séance rassemblant les deux vampires, rien ne pouvait se passer normalement. Effectivement, quelque chose – le karma peut-être – semble s’acharner encore et encore sur le professionnalisme du psychologue, et les nerfs de son jeune patient. Mais ce jour-là arrive en tête du classement, si l’on en évalue le degré de stupidité. Qui aurait pu croire qu’une « simple » séance chez le psychologue finirait en barbecue improvisé et kidnapping rocambolesque ? Pas Leone en tous cas.

Le vieux vampire avait depuis presque un an découvert un nouveau hobby : persuader ses patients les plus récalcitrants à rester bien sagement dans son cabinet. Et il était très fort à ce jeu. Imparable dans la sottise, même.

Bref, le fait est que ce jour-là, Leone s’était retrouvé avec une veste cramée, des vêtements froissés, un parfum d’olive masqué par un relent de cendre – à son grand désespoir – et un Urie furieux attaché au poignet. C’était la seule fois qu’il avait remis en question sa créativité : « j’aurais peut-être simplement du l’attacher à la chaise » étant la seule manière qu’il avait d’envisager la situation sous un autre angle. Et il se trouvait malin.

Néanmoins il n’allait pas pour autant libérer le brun.

Confinés dans les toilettes, peau contre peau, doigts contre doigts, un métal froid les séparant, ils donnaient l’impression de répéter un sketch de mauvais goût :

Ma quee, te gêne pas pour moi, mon p’tit Urie ! s’esclaffa-t-il en détournant son regard amputé.

Il leva les mains en signe d’innocence, levant celle de son acolyte malgré lui par la même occasion. Son unique œil roula en direction du jeune brun tandis qu’un sourire idiot fendait ses lèvres.

— Oups.

Gaucherie ou provocation ? Il n’est jamais aisé de le savoir, avec Leone. Le fait est que la situation, malgré son étrangeté, amusait beaucoup le Sicilien, qui ne manquait pas de le faire savoir à celui que cela irritait le plus.

Il fit mine de réfléchir un instant, en triturant ses cheveux bruns. Leur texture, à cause de la fumée, le dégoûtait quelque peu, et l’odeur du feu semblait leur coller à la peau, jusqu’aux racines de leurs crânes, masquant celle du shampoing à l’huile d’olive que Leone affectionnait tant.

— Ma quee, peut-être que c’est le karma qui tente de nous rapprocher ! s’exclama-t-il comme un génie annoncerait une grande découverte. Navré, mais si le karma le veut, je ne risque pas de retrouver les clefs de sitôt !

A ces mots, il agita ses mains en signe d’impuissance, et celles d’Urie par la même occasion. Clairement, il semblait décidé à ne pas laisser ce dernier tranquille, même dans un moment aussi peu glorieux.

Ft. Urie
J'espère que ça te va
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Urie Kaneki
évolution
#2
Terminé10.06.18 21:23

Mon déni ? Le professionnalisme [Ft. Urie] Eye-shut-up

Mon déni? Le professionnalisme

- J'l'avais dit que le gars était pas pro! -


Un sketch de mauvais goût?.. Si ce n’était que ça. A cet instant, dans les toilettes de l’agence je crois qu’on a réuni… Non, correction. A cet instant, dans le corps du Sicilien, je crois qu’on a réuni tous les clichés possibles et inimaginable de l’Italien à l’accent horrible, au professionnalisme clairement absent, à l’humour douteux ainsi qu’à tous les running gags possibles et que je pensais incapable d’exister ou d’être inventés.

Sûr que dans des films avec des menottes, y’a eu des scénarios vachement craignos que celui qui est en train de m’arriver là.

— T’façon avec ta sale habitude à jouer les stalkeurs, ça m’étonne même pas que tu sois aussi un vieux pervers voyeur.

Le fait d’avoir été à l’armée m’a pas mal dédouané concernant la notion d’intimité. Forcément, quand tu vas te doucher avec une vingtaine de types t’en as très vite plus rien à foutre puisque le but du jeu est de ressortir de là après deux minutes chrono.

Mais c’était sans compter cette mauvaise habitude qu’à ce pizzaïolo d’agiter les mains dès qu’il parle. A peu de choses près c’était limite si je ne repeignais pas le mur.

La veine pulsante sur ma tempe doit en dire beaucoup sur le fait que ça me gonfle.

— T’as juste un seul putain de truc à faire là Leone. Ne pas bouger. Juste. Tu ne bouges plus. C’est pourtant pas compliqué merde!

Je reprends là où j’en étais après un regard meurtrier en direction de l’autre brun. Il va pas recommencer, il est pas con. Il sait bien que c’est quand même critique comme instant pour s’agiter et que lui aussi risque d’avoir les chaussures repeintes s’il continue comme ça.

Profitant qu’il me parle de karma - mes yeux se sont levés une énième fois au ciel d’ailleurs -, je tente de finir mon affaire rapidement.

— Ouais bah si tu retrouves pas tes clefs moi j’ai un bon nombre de solutions à te proposer pour me débarrasser de ça. Et si tu veux pas que ce soit ton poignet en charpie il va falloir y mettre du tien. J’hésiterai pas à t’exploser le pouce, et là t’auras l’air bien con à agiter tes mains dans tout les sens en parlant.

Je peux me déboiter le mien, avec une potion de soin ensuite ça fera l’affaire… J’ai pas envie de finir avec la gueule d’un cosplayeur mais s’il me faut ça pour me débarrasser de lui, je crois que j’en serais capable, vraiment.

— HA PUTAIN LEONE! Merde à la fin.

Il a encore bougé alors que j’étais sur le point de remonter ma braguette. Y’a des choses critiques dans la vie, dont ça. Le respect, merde! Tu l’as bouffé avec la sauce pesto ou quoi?!

— Et c’était quoi le but de ces putains de menottes hein? Moi je veux bien y mettre du mien mais si tu me dis pas où tu veux en venir, ça peut mettre des plombes avant qu’on arrive à quoi que ce soit.

Je remonte ma braguette, boutonne mon pantalon et me dirige vers le lavabo en trainant ce boulet avec moi pour me laver les mains après m’être remonté les manches sans une once de douceur pour ménager les poignets de Leone.

— Donc vas-y je t’écoute c’est quoi le plan si t’as pas les clefs? Je te traîne toute la journée avec moi? Tu viens dormir chez moi aussi? On partage le pieux, la douche et le petit dej’ tranquille ?

L’ironie dans ma voix doit quand même se percevoir à minima là.

Mon déni ? Le professionnalisme [Ft. Urie] Mouth-shut-up
Invité
Anonymous
Leone J. Chiaramonte
évolution
#3
Terminé11.06.18 0:39

Psycholeone.

En entendant la répartie d’Urie, Leone le fixa de son seul œil en ouvrant grand la bouche, comme s’il était outré par le comportement du jeune homme. En même temps, il avait l’habitude de se faire insulter, surtout par l’autre brun, mais « vieux pervers voyeur », c’était une première. Il porta sa main libre sur son cœur pour accentuer le dramatisme de ses traits.

— Ma queee, commença-t-il en roulant de l’œil, tu sais bien que je suis un angelo d’innocence. Je me sens blessé par tes propos.

Il lâcha ensuite un « humf » très viril, histoire de corroborer son jeu d’acteur à s’arracher les oreilles. En guise de vengeance personnelle digne de la maturité d’un enfant de huit ans, il se retint d’obéir aux vociférations du jeune vampire, malgré leur totale légitimité – il aurait bien applaudi les réflexes du jeune homme, mais tenait à sa main. « Ne pas bouger ». Il claqua sa langue contre son palais. Comme s’il était son gentil toutou. Que nenni ! De toute manière, avec ses habitudes rhétoriques, le grand Sicilien était bien incapable de tenir en place. Alors ne plus bouger les mains ? Mission impossible. Il abandonna donc cette idée, fasciné par la veine sur le front d’Urie, qui semblait grossir à vue d’œil. Le psychologue en resta là, et écouta son acolyte.

— Ma quee pourquoi tant de violence ? Je suis sûr qu’on peut s’entendre, tous les deux, assura-t-il en hochant la tête, un sourire collé sur le visage.

Mais ce qui devait arriver arriva. Au pire moment certainement. Leone loucha sur le pantalon d’Urie en plissant son œil.

— Boh, ça va, dramatise pas, tu t’es pincé ? Pauvre petit, raille-t-il en haussant les épaules.

Si le vampire, qui avait été militaire, s’arrêtait sur ce genre de petit bobo, le psychologue ne donnait Grand sourire, stupide, comme la remarque qui suivit. Regard de braise.

— Tu veux un bisou magique ?

Lui trouva ça poilant, pas sûre qu’Urie soit du même avis. Mais cela dépassait le grand brun, qui se contenta de méditer sur les paroles de son patient – quoi qu’on s’interroge vraiment sur la santé mentale du Sicilien – durant un instant. Il grimaça lorsqu’Urie remonta ses manches pour se laver les mains.

— Ma quee je suis sûr qu’une soirée pyjama te ferai le plus grand bien, mon p’tit Urie, faut te détendre, un peu, s’esclaffa-t-il. Et puis tu pourras tester mon shampoing made in Italia, à l’huile d’olive de la Puglia, un véritable privilège !

En réalité, il évitait tout ce qui impliquait de près ou de loin de dormir chez quelqu’un, mis à part chez des amis au courant pour ses terreurs nocturnes. Il évitait avec la plus grande volonté de dormir dans un autre endroit que chez lui, de toutes façons. Leone, malgré ses grands airs, retrouva un air sérieux en envisageant la recherche des fameuses clefs.

— En tous cas, reprit-il calmement,  pas touche à mon pouce… C’est… utile… un pouce, articula-t-il pour se justifier, sans vraiment trouver d’argument. C’est ma main préférée ! brandit-il finalement en guise de réplique, sa main avec.

De l’eau les éclaboussa et ses doigts heurtèrent douloureusement le robinet. Leone grogna. Son sourire se crispa au milieu de son demi-visage, tandis qu’il serrait les dents, l’air de dire « même pas mal ».

Ft. Urie
Invité
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Urie Kaneki
évolution
#4
Terminé18.06.18 17:49

Mon déni ? Le professionnalisme [Ft. Urie] Eye-shut-up

Mon déni? Le professionnalisme

- J'l'avais dit que le gars était pas pro! -


— Ça pourrait peut-être être une solution pour te faire enfin taire. Mais si tu t’en approches, j’te bouffe.

Mon visage s’est tourné en direction de ce crétin d’italien. Si j’pouvais lui faire ravaler sa langue à ce rigolo… C’est pas que sur sa santé mentale que je m’inquiéterai s’il continue à me jouer des tours de con.

Une information qu’il énonce me fait soudainement écarquiller les yeux tant et si bien qu’on pourrait se méprendre sur leur bridage naturel.

— Mais alors… Ce sont tes cheveux qu’empestent l’olive comme ça?! Et tu vas me dire que tu te fais des gommages à la sauce bolognaise aussi?

Je fronce le nez rien qu’à imaginer cette stupide idée. Mon dégoût est bien visible et se mêle à la grimace de me prendre ces gouttes d’eau. Chaque geste réalisé par l’autre vampire pourrait, à s’y méprendre, être pris comme une touche en plus d’emmerdement envers ma personne. Si on n’avait pas bossé sur ma paranoïa doucement éveillée par chaque acte de quiconque m’approchant, je pense que Leone serait tout bonnement porté disparu.

Mais un de ses gestes atteste du manque de rigueur et de sérieux nécessaires à une machination contre moi.

— Ça t’apprendra à parler comme un pizzaïolo. Tu devrais apprendre à calmer ça avant de perdre malencontreusement un pouce justement. Puisqu’ils sont si utiles. Et j’te signal que c’est toi l’imbécile qui nous a attaché ensemble, pourquoi t’as pas réfléchi avant de te bloquer ta main principale?

J’agite le poignet droit pour élever la main gauche du sicilien au niveau de ses yeux pour qu’il remarque l’évidence même de sa bêtise.

— Maintenant, les clefs Leone. Car comme tu l’as dit, c’est utile un pouce.

Mes doigts de la main gauche se posent sur le poignet lié du brun. J’encercle ce dernier, tel un étau et je ressers mes empruntes peu à peu sur sa peau légèrement halée.

— …

Mes phalanges remontent jusqu’à ce pouce si utile.

— Une dernière proposition utile à me faire, quelque chose de constructif? Car ça risque de faire mal.

Je presse ma prise réduis le peu de distance qu’il y a entre nous jusqu’à ce que le dos de mon geôlier se retrouve plaqué contre la paroi carrelée des toilettes.

— Un.

J’ai bossé ma patience, avant je n’aurais même pas compté. Bravo le psy, tes conseils portent leurs fruits.

— Deux.

J’t’en prie, ne dis rien de constructif, ça me défoulerait peut-être de te le déboiter. Ma proximité devient une menace, et non pas une marque d’affection. J’espère qu’il s’en rend compte.

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Maîtresse de la mort
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#5
Terminé18.06.18 17:49
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'TOUT PEUT ARRIVER' :
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Invité
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Leone J. Chiaramonte
évolution
#6
Terminé22.06.18 0:39

Psycholeone.

La réponse d’Urie fait rire Leone, bruyamment comme à son habitude. Il le sent toutefois plus tendu que d’habitude, peut-être à cause de ce qui semble être pour lui une indésirable proximité. En tous cas, ça fait plusieurs fois que le psychologue se voit menacé de finir mangé par son propre patient. Ironie du sort, compte tenu des circonstances de la mort de ce dernier. D’ailleurs, le médecin ne peut s’empêcher de réfléchir à ces menaces aux airs de pulsions sanguinaires, et s’étonne du recul du vampire par rapport au cannibalisme. Il y voit un progrès, puisqu’il préfère mettre ces promesses sanglantes sur le compte de l’humour – n’extrapolons pas jusqu’à l’affection – et que cela signifie que le traumatisme d’Urie est en bonne voie d’affaiblissement. Comme quoi ça sert de se battre avec son psy. Le borgne se garde toutefois de partager ses pensées, et se contente de noter cette idée dans un coin de son esprit.

Une remarque du jeune homme, devant le lavabo, lui fait pourtant froncer les sourcils, tandis qu’une colère passionnée s’empare de lui, ignorant complètement la grimace qui se dessine sur le visage de son interlocuteur, pourtant démonstrative de son ironie.

— Mais enfin, Urie, t’es complètement malade ? Ma quee il pomodoro, ça détruit la peau, ça agresse, mon épiderme délicat ne pourrait y survivre ! s’exclame-t-il avec les mains, pour se donner des airs de politiques, en en ramenant une contre son cœur, et levant l’autre vers un idéal céleste. Enfin, tu fais ce que tu veux avec ta peau, mais entre ton haleine à l’anchois et ton parfum bolognese dès le matin, excuse-moi mais c’est mort pour la soirée pyjama.

Le Sicilien soupire en levant les mains en signe d’impuissance, et reprend avec un ton dramatique :

— Ma quee vous, gommage à la bolognaise, j’vous jure.

Puis vient le premier châtiment du karma : le coup de robinet dans les doigts. Agitant son poignet, il écoute les paroles d’Urie. Oui, il aurait pu y penser, mais c’est bien là tout l’intérêt.

— Mais, enfin, commence-t-il en levant son œil au ciel, avant de continuer avec un air amusé qui déplaira certainement à son interlocuteur : si je m’étais attaché l’autre main avec ta droite, on aurait du marché à l’envers, réfléchis. Ma quee tout est pensé ! annonce-t-il avec fierté.

Mais lorsqu’Urie lui demande les clefs, c’est un petit sourire forcé qui s’affiche sur la mine du borgne. Une goutte de sueur perle le long de son échine lorsque le poignet de son patient se pose sur sa main, et qu’une lueur mauvaise fait son apparition au fond de son regard. Leone l’observe se rapprocher dangereusement en gigotant, pas très à l’aise face à la situation.

— Ma-ma-ma ma quee ! Pas besoin d’en venir à de telles extrémités voyons ! s’exclame-t-il nerveusement, en louchant de son seul œil sur son pouce.

N’ayant pas de proposition ou de solution sous la main, le Sicilien se contente d’articuler, en essayant de dégager sa main de la poigne d’Urie :

— Si c’est l’olive, le problème, je peux investir dans autre chose !

Mais quelque chose lui disait que ce n’était pas ça ce qui mettait son jeune patient dans tous ses états. Leone plisse son œil en sentant la poigne d’Urie se raffermir sur les phalanges de son pouce. Son dos heurte sans ménagement le carrelage du mur des toilettes. Il grogne, cet endroit demeurant douloureux après le remue-ménage un peu plus tôt. Malgré ses tentatives agitées, l’étau formé par les doigts du vampire ne se desserre pas. Puis vient le décompte, lent, mesuré, sadique. Jusqu’à présent, Leone était persuadé que les menaces d’Urie n’étaient que du bluff… maintenant, il a la ferme impression qu’il va mettre ses promesses à exécution, et ce avec un grand calme. Effectivement, le psy peut se féliciter de ces progrès : plus tôt dans l’année, l’autre lui aurait brisé le pouce depuis longtemps. Peut-être devait-il le menotter plus souvent ? Il verrait bien cela lorsqu’ils se seront débarrassés l’un de l’autre.

En entendant « deux », le visage du Sicilien se décompose. Il n’ose plus rien dire, par peur de perdre plus tôt que prévu son pouce, mais supplie intérieurement le karma d’agir. Or si une chose est certaine, c’est que Leone n’a pas un bon karma, et que celui-ci s’amuse à s’acharner sur lui.

C’est donc en se disant « j’ai perdu une jambe et un œil, j’peux bien perdre un pouce », qu’il s’agite de plus belle, dans l’espoir de repousser Urie, dont la pression s’accentue à chaque seconde.

Il est cependant stoppé dans sa tentative par le bruit si commun d’un pied marchant dans une substance indésirable. Se croyant sauvé par un karma qui aurait puni Urie, il constate avec effroi, en baissant son œil vers le sol sans plus se préoccuper de son pouce prisonnier, que c’est bien sa chaussure en cuir qui gît dans une énorme merde.

Un rire nerveux s’échappe de ses lèvres – jusqu’où la mort s’acharnera sur lui ? Il relève le visage vers Urie avec un rictus indéchiffrable, entre le dégoût, la colère et le désespoir, bref, un bon mélange de type dramaqueen sicilienne.

Profitant de la situation comme d’une arme – car le Leone acculé a toujours un tour dans son sac –, l’ancien soldat lève sa jambe souillée, avant de l’abattre sur le pied de son adversaire en le regardant droit dans l’œil qu’il a en face de lui. « Qu’est-ce que tu dis de ça, hein ? » semble-t-il hurler du haut de ses 130 ans de maturité.

Puis, dans un élan désespéré, Leone pousse Urie sans ménagement, son pied toujours sur celui de ce dernier, et se dirige vers le lavabo meurtrier pour laver sa chaussure – parce que c’est bien connu que cuir et eau font bon ménage. Puis il se met à faire des aller-retours entre le papier toilettes et le lavabo, sans se préoccuper du jeune vampire.

— Ma quee tu pouvais pas faire ça sur une cuvette, comme tout le monde, dis-moi ? demande-t-il avec un faux sérieux à son compagnon d’infortune, en roulant de l’œil.

Le psychologue se retrouve donc en chaussette et menotté à Urie, au beau milieu des toilettes. La scène a de quoi faire rire. Sauf qu’un détail empêche le Sicilien de se détendre : l’aura meurtrière de son patient, dont il évite soigneusement le regard en sifflotant.

Ft. Urie
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Urie Kaneki
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#7
Terminé22.06.18 1:18

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Mon déni? Le professionnalisme

- J'l'avais dit que le gars était pas pro! -


— De telles extrémités?.. Surveille déjà les tiennes, car là tu vas en perdre une. Et t’en as bien d’autres que je pourrais…

Je n’ai pas fini ma phrase, trop occupé à baisser la tête en même temps que l’italien, tout aussi surpris de ce bruit peu ragoûtant qui vient de se produire.

Quant à la suite, je dois avouer que je suis resté sur le cul.

La scène qui vient de se dérouler est totalement surréaliste. Non, pire que ça. Le comportement du sicilien est surréaliste de base, mais là… Là ça dépasse mon imagination. Que dis-je. Ça la surpasse même.

D’une, à quel moment lui vient la magnifique idée de se menotter à moi?

Deuxièmement, à quel moment il croit qu’il va en ressortir indemne?

Putain de petit trois, qui est le gros dégueulasse qui a déposé une pèche ici?!

Et surtout, surtout… A quel moment cet abruti s’essuie le pied sur mes pompes vernies?

Sur mon visage ont dû défiler en à peine une seconde pléthore d’expressions reflétant le dégoût. Si mon faciès est habituellement inexpressif, là il s’est surpassé pour trouver plus d’une façon d’exprimer à quel point la situation me dépasse, me donne une sévère nausée d’insultes et fait arriver à son point culminant mes limites. Déjà qu’elles étaient dépassées depuis belle lurette.

Ce qui m’a ramené l’usage de la parole c’est une de ses remarques à la con et surtout, la façon dont il a de s’agiter alors qu’il vient de me bousiller la pompe.

— Leone…

Un grognement, plus proche du grondement encore. Si on doit faire des analogies ainsi que des schémas explicatifs, là je m’approche d’un volcan en pleine éruption.

— C’est pas parce que t’es borgne et que je suis plus dans ton champ de vision que j’existe plus.

J’ai stoppé ses allers retours et me suis planté devant lui, reprenant où j’en étais sans aucun foutre soupçon d’hésitation. Ma main libre a fait voler la chaussure à l’autre bout de la pièce, la droite a saisi ce poignet qui s’est extirpé plus tôt de la prise. Prise que je reprends avec bien plus de rapidité encore, hors de question que je reste enchainé à ce clown une seconde de plus.

— Là, ta grande bouche tu vas pouvoir l’ouvrir, crois-moi.

Ma main gauche attrape l’index, le majeur, l’annulaire et l’auriculaire pendant que la droite attrape le pouce à contre sens. Dans un mouvement rapide et sans fioriture je force l’articulation.

Je ne vois plus en Leone une personne mais quelque chose dont je souhaite me débarrasser au plus tôt. Je ne le regarde pas, je fixe seulement cette main qui est reliée à la mienne mais plus pour longtemps. N’en ayant pas fini, je fais se serrer tous les doigts du psychiatre ( qui a, au passage, rendu son patient définitivement fou de rage ) et tente de les faire passer par le bracelet de la menotte.

Mais je ne suis pas au bout de mes peines… J’ai beau tirer comme un forcené sur la menotte qui est à son poignet, il semble que celle-ci soit bien trop serrée. Je suis à deux doigts d’enfoncer mon pied dans le ventre du brun pour y prendre appui et continuer à forcer ma prise.

dés :

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Maîtresse de la mort
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#8
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#1 'PILE OU FACE' :
Mon déni ? Le professionnalisme [Ft. Urie] WnzlAIK

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#2 '4 FACES' :
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Leone J. Chiaramonte
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#9
Terminé22.06.18 21:56

Psycholeone.

Visiblement, la technique de camouflage par le déni ne fonctionne pas sur Urie, puisqu’un grondement mauvais parvient jusqu’aux oreilles du Sicilien, qui continue pourtant d’afficher son sourire crispé de marchand de tapis. Leone n’a pas besoin de voir le visage déformé de son patient pour comprendre qu’il va passer un très mauvais quart d’heure. Rectification : plus de kidnapping, c’est bien trop dangereux avec une telle furie. Petit à petit, il se rend compte que les menaces proférées à l’encontre de son pouce ne sont peut-être pas que de violentes promesses en l’air.

Il entend son nom, ferme l’autre œil et s’exclame d’un air désespéré en agitant ses mains et sa chaussure mouillée devant lui:

— Quoi ? Qui ? Ma quee je suis aveugle ! Et sourd !

Le tout avec un accent prononcé, dans l’espoir de faire baisser les bras à Urie – en passant pour une cause perdue, quoi, si c’est pas déjà le cas. Mais le vampire se campe sur ses jambes, empêchant le borgne de continuer ses allées et venues agitées.

— Je sais, je sais que tu existes même sans te voir : ma quee entre la merda et l’anchois, j’ai pas besoin de vue pour capter ta présence.

Bon, ils sont aussi attachés l’un à l’autre, difficile de faire abstraction de la présence du jeune vampire, malgré toute la bonne volonté que peut déployer Leone.

Lorsque qu’Urie envoie valser sa chaussure à l’autre bout de la pièce, le psychologue laisse échapper un « Han ! » indigné et profondément viril, avant de blêmir. Pourquoi ? Il  a tout simplement croisé le regard enragé du brun devant lui, après l’avoir pourtant soigneusement évité. Une goutte de sueur perle sur sa tempe lorsque sa main se retrouve à nouveau enserrée dans la poigne d’Urie.

— Allons, allons, pourquoi toute cette violence ? Si tu préfères un shampoing à la fraise je te jugerai pas ! Ma quee on s’arr–

Il aurait bien voulu terminer sa phrase, mais Urie ne lui en a pas laissé le temps – et n’a cette fois pas compté, comme quoi il faut relativiser leurs « progrès » – et c’est un grognement qui sort de la gorge de Leone, pour bientôt devenir un cri, qu’il tente d’étouffer en se mordant les joues. Bon sang, la mort n’enlève rien à la douleur.

A cet instant précis, le Sicilien se demande pourquoi il est devenu psychologue dans ce monde. Il aurait pu couler des jours tranquilles, sur sa chère Sicile, loin des autres. Non, il a fallu que son masochisme certain prenne le dessus, pour lui faire décrocher ce poste. Pauvre de lui.

Il ferme son œil en serrant les dents, manquant de glapir. L’autre vampire a décidé que lui péter le pouce ne suffit pas et que s’acharner dessus est une bonne idée. Une flopée de jurons italiens dépassent les lèvres du Sicilien, la plupart terminant en « –putana ».

— Eh ! T’as pas fini ? Tu vois pas que rien qu’avec ça c’est les urgences ? Dio mio mais arrête !

Il est incapable de bouger sa main principale à cause de la douleur qui se repend dans son avant-bras, mais essaie d’éloigner Urie de l’autre, en agrippant son visage et en poussant très fort, à grand renfort de grognements mécontents.

— Allez, ça sert à rien, t’es bien défoulé maintenant que tu m’as pété le pouce, donc tu te calme. Inspiiire. Expiiire. Doucemeeeent.

Imitant un bœuf en pleine séance de yoga, Leone essaie surtout de reprendre le contrôle de sa main, et observe l’extrémité touchée.

— Requiescat in pace, souffle-t-il d’un air solennel.

Son doigt n’a pas l’air cassé, mais il n’échappera pas à l’entorse. Il peste entre ses canines. Mais un mouvement à l’autre bout des menottes l’empêche de se concentrer plus longtemps sur sa perte.

— Mais tu fous quoi ? demande-t-il d’un air consterné.

Il en perd ses bonnes manières, et son « ma quee » pourtant si agréable aux oreilles d’Urie, tant ce dernier le sidère. L’abus de violence est mauvais pour la santé, et surtout condamné, enfin, en théorie. Mais le voilà qui essaie à son tour de se déboiter le pouce pour échapper à leur prison mutuelle.

Pour éviter ça, le Sicilien agrippe la main libre du vampire de la sienne pour la maintenir en l’air. Comment faire pour convaincre Urie de ne pas se mutiler ? Il cherche un instant ses mots, en fixant son compagnon d’infortune droit dans l’œil.

— Non.

L’esprit légèrement retourné par la douleur, le psychologue ne trouve rien à dire à son patient, et se contente d’une phrase monosyllabique, mais qui a le mérite d’être claire. De sa main prisonnière, il tire dans tous les sens sur les menottes pour empêcher Urie de parvenir à ses fins. Son pouce le lance, mais il ignore du mieux qu’il peut cette douleur.


— Tu sais que tu vas finir en taule ? articule-t-il au beau milieu de son effort, d’un air très sérieux.

Le constat est simple, mais Leone ne peut s’empêcher de surenchérir :

— Et si tu vas en taule, c’est arrivederci le shampoing à la fraise et les séances de psy !

Grand sourire plein de dents.

— Mais t’en fais pas va, je m’arrangerai pour être ton psy en prison, ma quee je sais que tu ne peux pas te passer de moi ! raille-t-il en agitant leurs menottes.

Lui-même commence à ne plus être très convaincu par cette idée. Quoique : qui aime bien châtie bien, non ? Peu importe.

D’un coup, sans prévenir Urie – pour la énième fois – Leone s’élance vers sa chaussure. « S’élance » parce qu’il ne veut pas poser son pied à terre : il saute donc, plonge même, s’étend de tout son long vers sa pompe souillée et jetée là, loin, hors de sa portée, en tirant de toutes ses forces sur le bras de l’autre vampire.

Ft. Urie
Maîtresse de la mort
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La Faucheuse
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