Peek a Boo ! •• V.4.2
Peek aBoo !
Forum RPG paranormal • v.4.2 • Rp libre
Tout commence après la mort : découvrez un au-delà chatoyant où les rires remplacent la douleur.

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dans le Monde des Morts


Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.

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Cassian C. Sanders
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Vague à l'âme ⸨○⸩ Cassian R80Pa.c100
Pronoms : il, lui
Âge de la mort : 22
Âge post-mortem : 62
Appartement : Courchevel
Métier : étudiant en psycho
Avatar : keith ; voltron
Epitaphes postées : 12108
Øssements7609
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#1
TerminéVen 4 Mai 2018 - 0:14
impedimenta

L'organisation n'étant pas vraiment son fort, à force de déambuler dans la lassitude mortelle, il a fini par développer certaines habitudes soigneuses. Loin de parler du tri et du rangement, toutefois, son emploi du temps se révèle être établi et façonné au fil des années et ce, par ses quelques occupations encore possibles dans le monde des morts. À ceci s'ajoute des lieux prisés volontiers par le jeune homme pour pouvoir répondre à ses besoins traditionnels ; pourrait-on même parler de repaires puisque les activités du garçon, qu'il en soit pour ses travaux auprès de Teodora et Eden ou de ses intérêts personnels, ne sont pas forcément des plus légales.
Pour les livraisons de sa patronne, il privilégiera des endroits discrets mais peu connus des malfaiteurs pour ne pas réduire la réputation de la respectable employeuse à un quelconque trafic parmi tant d'autres. En revanche, pour ses commandes personnalisées, Cassian est bien au courant sur les relais importants de la capitale nippone et le parc de stationnement de l'Agence est sans doute l'une des plus grandes plaques tournantes de la drogue. Il pourrait chercher la qualité comme la vend sa patronne mais, de manière générale, ce junkie-ci préfère se baser sur la quantité pour mener une étude empirique avant qu'elle ne soit qualitative et ainsi pouvoir comparer. Chaque fois, le livreur change comme le fournisseur.

En revanche, le jour se veut exact. Comme tous les premiers et derniers jeudis du mois, il se rend au point de rendez-vous incontournable des dealers comme on lui a indiqué pour le jeudi, date qu'il a convenu. Si le stock est dépensé bien trop vite, il appellera dans le moins mais toujours le même jour. L'instigateur d'une telle tradition ne souhaite pas la perpétuer plus que cela mais puisque sa mort est réglée et convenue sur le défaitisme, Cassian finit par ne plus vouloir un autre jour. Étrange toc qui l'habite désormais.

De la même manière, pour coutume, ce hors-la-loi a tendance à s'inscrire et reproduire les portraits types des gens suspects qui ne font rien de très net grâce à des tenues sobres mais amples et inhibitrices puisqu'utiles pour dissimuler son identité aux yeux des passants peu curieux. Néanmoins, elles peuvent foncièrement éveiller l'intérêt des intrigués mais la naïveté enfantine de Cassian l'empêche de se rendre compte d'une telle chose.
Finalement, lorsqu'il se rend au souterrain, plusieurs clients impatients l'interrogent pour savoir s'il est bien la personne qu'ils ont contacté plus tôt pour obtenir leur achat. Il doit forcément répondre par la négative, toujours étonnamment choqué et ahuri, derrière ses lunettes de soleil douteuses, d'une telle assimilation. Ainsi, il finit par presser le pas et se diriger vers un coin isolé, à la fois à l'abri des regards et des inquiétudes de clients qui ne trouvent pas vendeurs.
Ces retraits dans l'espace, dans un vaste garage, ne sont pas limités mais cela dit toujours les mêmes. Finalement, toujours, Cassian finit par se retirer derrière une ou deux voitures sans vraiment prêter attention à la marque de ces dernières ; qu'elles soient donc des modèles communs ou donc de collection alors que justement, cette catégorie pourrait attirer l’œil de n'importe qui et mettre en valeur l'attente interlope du jeune homme.

Le coffre sur lequel il s'appuie n'est, en revanche, ni commun ni rare mais il a de quoi susciter son intérêt. Cela dit, s'étant assis dessus instinctivement de prime abord, le brun n'a pas remarqué que son siège était plus long que la normale ce pourquoi il a pu se reposer quelque temps. D'ailleurs, par politesse pour le propriétaire, il se relève mais en fin de compte, son poids plume n'a pas tant eu un effet de balance entre l'arrière et l'avant. Il soupire de soulagement en reposant ses yeux puis par sûreté, il contemple les dégâts invisibles en caressant la carrosserie arrière du regard. Cette voiture n'a rien de neuf. Elle était « branchée », à l'époque, mais comme ce mot, elle a fini par se détériorer sur l'échelle de la mode. Toutefois, pour une personne très attachée à ces vagues générationnelles, le modèle de cette voiture l'interpelle. Quand bien même elle n'a absolument rien de moderne ou de vintage pour pouvoir revenir dans la course, Cassian y trouve une pincée de nostalgie ; ou plutôt y retrouve.
Pour confirmer son hypothèse qu'il élabore dans sa tête, le sourcil relevé, il se penche quelque peu vers la façade du coffre dévoilant la marque de la voiture. Une marque américaine, bien entendu, qui se veut identique à laquelle il a pensé. Pas si adepte d'automobile même s'il a toujours rêvé de pouvoir conduire, il réussit presque à identifier cette voiture à peu de choses près.
En examinant l'intérieur du véhicule, les cinq places lui indiquent qu'il n'est pas le modèle auquel il s'attendait. La sienne, si elle n'est pas à la casse à l'heure actuelle, était une cabriolet avec toit décapotable. Du coup, seules places pour le conducteur et son passager étaient disponibles dans la voiture de ses songes. Cela dit, la marque, le coffre et même la couleur rouge vif sont exactement pareils que la voiture qu'Est conduisait de 2006 à peut-être encore aujourd'hui, qui sait.

Soudain, alors qu'il dérive ses ongles délicats sur l'habillage, un trouble s'installe instantanément dans sa tête. Très vite, il s'identifie aux caractéristiques de ces malheureux symptômes dont il est de plus en plus victime. Cela dit, même si son entrevue avec Toulouze est un événement qui a fait émergé à la fois la main secouriste du basané, elle a aussi décuplé les visions mais pas les éléments de reconnaissance. Comme à l'accoutumée, ses oreilles sifflent et ses paupières se ferment. Sa respiration se fait saccadée ; la zone buccale ne pouvant venir en aide non plus, muette et défendue de dire un seul mot. Mais, comme un désespoir, une lassitude, le garçon se bat et ne veut, pourtant bien trop passif, succomber encore une fois intégralement à ce genre de phénomènes violents qui lui font perdre le contrôle de ses mouvements. Sa main griffue raye la portière du conducteur alors que pourtant, ses ongles ne sont pas aiguisés et soigneusement polis.
La lutte n'est cependant pas si vaine. Il s'accroche mentalement comme physiquement à la clinche de la porte, inhibant les tremblements de son bras et le mettant dans une position inconfortable pour ne pas offrir au malin une disposition facile de son corps.

Et pourtant, même si tout n'a pas été dominé, la porte s'ouvre. Le passage vers l'au-delà est accompli quand même. Encore une flou, des hurlements défiant la logique temporelle apparaissent dans son esprit ; des pleurs puis des hurlements puis des questions d'incompréhension. Mais, cette fois-ci, certes, sans chronologie, il semble y avoir une raison à tout cela dans ces images additionnées et simultanées. Grâce à son toucher seulement, les autres sens étant bannis, il doit déplacer les images données par la vision pour en terminer le puzzle.
Plusieurs voitures jouant à une course assez étonnante et allumant, pour certaines d'entre-elles, des lumières alarmantes.
Quelqu'un essaye d'ouvrir une porte métallique et derrière elle, de dégager quelqu'un qui ne semble pas faire ce qu'il faut.
Une petite villa grecque et bleue pour oisillons, décorée de points de couleurs trop bucoliques pour pouvoir représenter la mort. Sur ce qui semble être de la pierre est gravée une date, une précision de plus qui est comme zoomée : 12 février 2018.
Une barricade bravée par un tremplin de fortune.
Une main ensanglantée et renversée, couverte de bouts de verre explosée.

Soudain, la teinte unicolore de la voiture se voit accompagné par un concerto composé d'une harmonie de phares aveuglants jaunes ainsi qu'une alarme stridente pour signaler un vol que le voisin n'a jamais prémédité et voulu. Le cri du véhicule est bien assez puissant pour à la fois alerter tout le monde du problème rencontré au parking mais aussi pour réveiller Cassian de sa vision qui n'avait pourtant rien de dérangeant, pour une fois, puisque moins floue. Comme si l'indication sonore n'est pas suffisante, le garçon sain se relève avant de finir par trouver plus haut une migraine causée par un entrechoc entre le haut de son crâne et le rétroviseur droit du faux cabriolet qui continue, du coup, de hurler.

Une main sur la tête pour panser maladroitement le choc causé, il frappe encore plus bêtement la portière qui n'en finit pas de bouillonner de son. Plusieurs petites mains de la drogue peu habituées des ventes s'enfuient mais le nombre de clients apeurés est plus grand encore, partant dans tous les sens pour trouver une issue, qu'importe si elle est discrète ou grandement surveillée et fréquentée. Face à tous ces départs de vendeurs à la sauvette et clients en fuite se dessine un épicentre coupable qui n'est autre que le bolide rouge toujours joyeux de crier que Cassian est responsable. Ce dernier, d'ailleurs, finit par retirer ses lunettes noires qui peuvent apparemment le rendre anonyme. Ce retrait d'accessoires a pour cause d'attirer, probablement, quelqu'un que, depuis le début, le zombie aurait dû véritablement chercher plutôt que s'amuser à se réfugier dans des coins peu malins. La silhouette masculine et imposante — puisqu'il en faut peu pour dépasser le garçon — s'avance, furibonde. L'inconnu, par sa voix comme seul papier d'identité, est reconnu par le client qui l'associe directement à son interlocuteur lors de leur entretien téléphonique de la semaine dernière. Ce personnage si insultant et si énervé aurait relevé Cassian par le col s'il ne l'avait pas fait lui-même, quelques secondes plus tôt, en s'essuyant un rétroviseur dans son objectif directionnel. À la place, il tient tout de même à rappeler à l'ordre son vis-à-vis en lui rappelant les règles et les attentes convenues qu'il n'a, à priori, pas respecté, par étourderie, sans doute :

— À quoi tu joues là ? Je te cherchais partout ! On avait dit pas loin du poteau G-11 et je te retrouve en D-02 !

Un sourcil relevé pour peu de temps puisque le jeune homme n'a finalement pas besoin de consulter son cellulaire pour se remémorer, grâce à sa bonne mémoire, le numéro et la lettre exacts et de toute manière, au vu de la colère soudaine de la petite main, il ne préfère vraiment pas l'irriter plus que cela et plutôt aller dans son sens en acquiesçant le plus simplement possible. À priori, ça a l'air de fonctionner puisque l'inconnu apaise ses yeux de faucon, moins prédateurs ; quoique plutôt intéressé puisqu'il reste passeur et ne recherche que l'argent du garçon, pas autre chose de plus bien qu'il en dit autrement.

— Korey, c'est ça ? Normalement, je file pas de ça aux mômes mais tu pourrais très bien être un vieux. Conseil d'ami : Si t'es novice dans le milieu — ce qui m'en a tout l'air — prends de la potion de vieillissement pour être pris au sérieux.

Korey. C'est le nom de code qu'il utilise en général et ça change très rarement, comme le jour de rendez-vous. Ce sont les habitudes après tout. Il vaut mieux ne pas révéler son vrai prénom dans toutes ces affaires louches. En revanche, son voisin n'a pas tort du tout. Masquer ses identités sur le papier n'est pas une mauvaise idée, loin de là, mais pourquoi ne pas suivre la tendance sur le plan corporel ? C'est une idée plutôt lumineuse à laquelle il sourit. Toutefois, l'extinction de cet enjolivement des lèvres détecte bien l'impatience du coursier qui n'est pas là pour le faciès angélique de l'adolescent d'apparence.

— Il manque vingt ossements, là ! Tu crois que mes conseils sont gratuits ?

Il est si empressé que son argumentaire devient peu tangible et contradictoire face à ce qu'il put dire précédemment. Effectivement, réclamer de l'argent et se revendiquer comme un « ami » conseiller n'a rien de fort concluant. Cependant, même si la peur n'envahit pas Cassian, il est conscient que ne pas se fier aux sautes d'humeur de ce type risque de lui causer des problèmes et de le tourmenter. L'heure n'est pas à cela, de toute manière. Il se contente de lui hausser les épaules avant de fouiner dans sa poche après quelques ossements perdus pour se débarrasser le plus rapidement de son vendeur qui lui fait un salut même de près après lui avoir confié le sachet de contenu plutôt maigre, lorsqu'il se met à observer à l'intérieur.

Il ne comprend pas. Comme Toulouze lui a indiqué, il est plus facile d'être sensible aux visions de mort lorsqu'on est confronté à un objet appartenant au propriétaire. Or, cette voiture ne peut pas être celle d'Est pour deux raisons. Premièrement, elle n'est pas, encore une fois, similaire à celle où l'américain a pu monter autrefois en tant que passager et coéquipier ; il ne pourrait sentir l'air fendre au dessus de sa tête ou retrouver ses joues rose sous la pression accordée par la célérité des autoroutes avec une telle imitation du cabriolet rouge. Mais surtout, Est n'est pas encore entré dans ce monde et il en a la certitude. Pourtant, Cassian a souvent du mal à croire en ces visions plus migraineuses et doute qu'elles soient capables de pouvoir transcender l'avenir pour le révéler à de pauvres individus que sont les zombies. Il aurait hoché les épaules mais un critère différent l'empêche de rester stoïque. Pourquoi était-ce plus concret que les autres ? Parce que ces chiffres ont défilé dans son esprit et que comme des penseurs mathématiciens, les numérations l'éveillent aux connaissances occultes ? En réalité, la mémoire du jeune homme se reposant principalement sur la visualisation, cela pourrait être possible mais s'il devait résumer cette expérience... Elle était spéciale.

C'est comme si la vision était un saut vers quelque chose de nouveau. On ne peut pas appeler ça une drogue car personne n'est amant des migraines. Cela dit, à la manière des stupéfiants, le jeune homme a ressenti une vague de transe de posséder et, au détriment des ultérieurs phénomènes pourtant assimilables, il n'a pas ressenti une virulente nausée lui venir juste après.
Ici, du clair jaillit de l'obscur. Il a des informations nettes et de la logique, certes, douteuse mais présente. À la manière d'un spectateur, il est cependant rester externe à la narration. En ces instants, il aurait voulu se confondre au rôle du narrateur omniscient pour, comme les romans dévorés, en connaître le contexte, les causes plus que les conséquences, puisqu'un seul épisode ne peut réussir à le satisfaire. Ne sachant vraiment contrôler ceci, il a volonté et croyance de faire frictionner les neurones cérébraux pour répéter cette évasion et en découvrir la suite logique. Mais, bien entendu, rien n'y fait. Ça serait trop beau de voir un de ses vœux s'exaucer aussi simplement.

Assez déçu, il contemple le paysage maintenant désert alors que le dernier vendeur s'est volatilisé après le retour que Cassian ait pu se faire sur lui-même. Dans un moment de solitude, il s'abandonne. Il ne s'aime pas et se frappe encore une fois le crâne douloureux contre cette maudite voiture qui ne veut plus l'aider si ce n'est encore bipait à tut-tête. Le conducteur ne devrait pas tarder à arriver. Il devrait vraiment s'en aller.
Rien ne lui convient et même pas cette fichue drogue, en fait. Comme la cigarette, elle a fait son temps et se consume avant que ses poumons pourris mais immortels se détruisent. La mort est ennuyante. Même l'illicite n'a plus d'intérêt. Sa vraie nature arrive mieux à le faire transiter dans quelque chose de plus fou.
Derrière lui, il jette le paquet à chaussures emballé qu'on lui a offert sur lequel est inscrit de manière hypocrite et inintelligiblement « Pour mon ami Korey. ».
Il n'a pas pris le temps de le déballer ni d'arracher l'étiquette.

邪魔