Au bout du tunnel, il y a toi
Le nécromancien ne pouvait pas l'entendre, ni la voir, les couleurs dansait par très harmonieusement sur ses paupières. Il se sentait si mal. Il avait beau sentir cette présence, ce manteau, cette main, il n'était plus seul. C'était un peu ça qui le sauvait pour le moment. Il ne l'entendais pas très clair, comme d'habitude. Mais déjà ce qu'il savait l'aidait.
Ce que Maxence pouvait pas prévoir. C'est le liquide qui s'était glissé entre ses lèvres. Il sentait ses membres se raidir. Il suffoquait, il avait mal, il se sentait pris comme emprisonné dans un cocon solide. Il ne pouvait pas s'agiter, sa respiration était difficile. Au lieu de s'arranger, les illusions se moquaient de lui. Il voulait hurler. Qu'on le sort de cet était qui le serrait à en mourir, s'il n'était pas déjà mort. Il paniquerait plus. Cette situation était sauf plaisante. Il voulait que ça cesse. Pourquoi il avait bu cette horreur ?
Il sentait se sforces l'abandonner, les bruits de ses illusions s'éffacer, poour devenir plus réelle, plonger dans un rêve des plus horrible. Il était en plus incapable de bouger. ET ça ne semblait pas vouloir partir.
«
Pas bouger... Arrêtez ça... »
Sa voix était faible, ses mouvements arrêté par la potion rendait les paroiles difficiles à dire. Comme si sa langue pesait dix tonnes. Ça durait en plus, des heures entières, il se sentait si mal, à court d'air pur. Comme si il allait devenir bleu, il était sûrement un peu. Les yeux fermés sûrement devenu vitreux. Il était trop loin, les sensation horribles, se multipliant comme des lapins en saison des amours. Il tombait dans les pommes. Presque sans vie. Il allait devenir poussière avent l'heure pour finir.
C'est bien des heures plus tard qu'il émergeait plus tard, la sensation d'opressement partie, mais les douleurs toujours là. Il ne savait pas où il était, ça ne ressemblait à rien de ce qu'il avait vu. Sûrrement encore une illusion, son don se retournais contre lui. Il voulait s'accrocher à quelque chose de réel, sortir de ce pli dimensionnel pour de bon. Comme la toupie d'un film des héros. Il devait trouver quelque chose.
«
Vous êtes là ? Madame ? »
Car Maxence ne l'avait entendu, il faisait face à un silence de plomb. Les voix s'étaient tu dans sa tête. Le paysage ressemblait à rien de réel pour lui. Une caricature d'un dessin animé. Les couleurs se mélangeait, rendant le sol presque mou. Ses gestes étaient devenus moins douloureux donc... Mais marcher n'était pas une bonne idée.
«
Madame ? »