Peek a Boo ! •• V.4.2
Peek aBoo !
Forum RPG paranormal • v.4.2 • Rp libre
Tout commence après la mort : découvrez un au-delà chatoyant où les rires remplacent la douleur.

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dans le Monde des Morts


Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.

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Yvan, son ex-compagnonpour Abraham Zakarian

起死回生

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Maîtresse de la mort
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#21
Terminé16.05.17 0:49
Le membre 'Teodora Svensson' a effectué l'action suivante : laisser faire le hasard


'PILE OU FACE' :
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Toulouze Ka
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#22
Terminé16.05.17 18:20


L'amour
c'est de la merde...
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Des visages rougis par l'alcool. Des rires gras. Des bouteilles se passant de main en main. De la musique. Bien trop forte. Bien trop dérangeante. Et des remarques. Des sifflements. D'abrutis qui n'auraient apparemment jamais vu deux être aussi proche l'un de l'autre. Des cons, comme beaucoup d'autres, qui disparurent lentement à la fermeture des portes. Un moment d'absence, de pause non désirée, qui ne ressemblait en rien à ce qu'ils vivaient dans cette petite boite en métal. Heureusement que les portes s'étaient fermées. Il n'aurait pu dire ce qu'il aurait pu faire si celles-ci étaient restées bloquées, les laissant à la vue de tous. Heureusement qu'elles s'étaient refermées.

Teodora appuyait toujours sur le bouton avec frénésie, ses pommettes étant presque aussi rouge que le contour de ses yeux légèrement gonflés. Était-ce à cause de la gêne ? De la colère ? De la surprise ? Avait-il même réellement envie de savoir. Le cocon dans lequel il se trouvait se refermer lentement dans un bruit strident et grinçant, le laissant un peu à côté de ses baskets alors qu'il se demandait à nouveau ce qu'il pouvait bien faire. Après ce qu'il avait dit, et ce qu'il avait voulu dire, les possibilités de poursuite n'étaient pas nombreuses. La fuite n'était plus une option, l'ascenseur faisant un peu trop ce qu'il désirait. Elle n'était d'ailleurs plus d'actualité, le zombie préférant de loin rester là que sortir de l'habitacle. Mais maintenant ? Il faisait quoi au juste ?

Parle lui pour voir.

Ses doigts étaient agrippées à la manche de sa veste. Assurément. Désespérément. Il les avait senti s'accrocher à sa nuque quand il l'avait embrassé, caressé la naissance de ses cheveux avant de disparaître sans pour autant aller bien loin. Ils restaient là, tout proche, le retenant comme si ils avaient peur qu'il parte à nouveau. C'était sûrement ce qui l'effraie le plus. Non. C'était ce qui l'effraie le plus. Être séparé à nouveau. Plus que la colère. Plus que la rage. Plus que la folie. C'était bien l'absence que la jeune femme craignait. Toulouze le comprenait. Il le comprenait totalement. L'absence, c'était pire que tout. L'absence et le silence. Mais le reste n'était pas mieux. Elle le comprenait. Elle le lui avait dit, que son point de vue n'était pas absurde. Qu'il avait raison. Pourtant, elle voulait rester. C'était surréaliste...

- Tu es vraiment sûre de toi ?

Voix rauque. Absence de colère. Crainte sous-jacente. Le zombie ne l'avouerait certainement jamais mais il était effrayé au possible d'être avec elle. Pour la simple et bonne raison qu'il pouvait lui faire bien plus de mal que n'importe qui d'autre et ce à ses dépends. Ce n'était pas comme s'il désirait être ainsi avec elle. Bien au contraire. Cependant, il ne contrôlait jamais rien quand tout le reste prenait le dessus. La haine et la colère. Que se passerait-il si un jour il allait trop loin ? Toulouze ne voulait pas y penser. C'était repenser à ses cauchemars, à ses visions, alors même qu'il savait que de telles choses ne pouvaient décemment arriver. Ils étaient déjà morts après tout. Ils étaient morts.  Il ne pouvait pas la tuer... mais il pouvait lui faire du mal...

Ses doigts attrapèrent ceux accrochés à sa manche, les enlaçant doucement, tout doucement. Telle de la porcelaine de Chine. Son pouce caressait la peau de Teodora, sans qu'il ne le veuille véritablement, par simple réflexe. Souvenirs de moments bien trop tendre ne ressemblant pas à celui-ci. Revenir en arrière était impossible. Aller de l'avant était compliqué. Mais rester là n'était plus une alternative.

- Tu tiens réellement à moi à ce point là ? Tu veux rester que tu dis mais tu resterais si je finissais par devenir complètement fou ? Tu resterais si je devenais bien pire que je le ne suis ? Parce que je peux faire bien pire que ce que j'ai déjà fait avec toi, que ce que j'ai pu faire après la plage. Franchement, tu ne veux ni voir ni savoir de quoi je suis capable...


Les yeux ancrés dans les siens. Encore et toujours. Il ne pouvait tout simplement pas détourner son regard du sien. Il avait besoin de le voir. Il avait besoin de la voir. Il avait besoin d'elle, bien plus qu'il ne voulait l'accepter. C'était insensé mais c'était réel. Il l'aimait vraiment plus qu'il ne voulait le croire.

- Tu resteras, pas vrai...

Murmures faible. Lasse. Toulouze savait déjà ce que la métisse allait lui répondre. Il savait déjà qu'elle était résolue à rester là, tout près de lui et à ne jamais partir. Et cela le dérangea à peine en réalité. Elle n'avait même pas besoin de répondre. Il savait déjà comment les choses allaient se terminer. S'il faisait un effort pour ne pas tout faire foirer.

Avec : Teo
Mots : 799

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Teodora Svensson
évolution
#23
Terminé16.05.17 23:10
« OH, YOU AGAIN »
Wait for me
ft.
TouTeo
Les portes grincent et se ferment si lentement qu'elle se demande une minute si elles ne vont pas lâcher l'affaire au beau milieu, laissant les fêtards rire et y aller en commentaires, dont elle aurait préféré ignorer certains, les effets de l'alcool désinhibant les discours et les paroles. Dans un ultime râle les deux pans métalliques finissent par se cogner l'un contre l'autre, les laissant de nouveau dans le silence, elle lâchait le bouton maintenant, soulagée de ne pas avoir à rester exposée aux yeux de tout un étage qui aurait forcément mené à une situation qui aurait dérapé, les connaissant. Cette brève interlude les laissant légèrement désarçonnés elle ne savait plus trop quoi faire ou lui dire, le regardant toujours dans les yeux, ne le lâchant pas. Mais au fond elle avait senti qu'il ne fuirait plus, qu'il ne le pouvait plus ou qu'il ne voulait plus mais en tout cas elle le sentait plus là avec elle qu'il ne l'avait été depuis qu'ils étaient coincés là, peut être parce que pour une fois il ne songeait plus à tout prix à sortir de l'habitacle.

Elle n'eut pas tant le temps de réfléchir à comment relancer la conversation, même s'il n'avait pas fini sa phrase avant que l'ascenseur ne fasse encore des siennes. C'est Toulouze qui lui parlait, c'était sa voix grave, dénuée de colère, mais teintée d'hésitation, elle arrivait à comprendre mais ne les partageait pas, elle savait qu'ils arriveraient bien à trouver un équilibre, malgré tout ce qu'il pouvait lui dire il semblait lui même avoir compris que quoi qu'il lui dise, elle ne le lâcherait pas. Elle hochait la tête, les yeux bleu clair dans les yeux bleu foncé, elle savait, elle savait qu'il pouvait être dangereux, elle savaient qu'ils flottaient tous les deux dans des trucs pas nets qui pouvaient leur retomber dessus, mais vu leur chance mutuelle, de toute façon ça finissait toujours par atteindre l'autre.

Et quitte à ce qu'ils vivent dangereusement et qu'ils partagent leurs risques elle préférait encore être avec lui et que ça en vaille la peine. Ils se tombaient toujours dessus de toute manière et généralement quand ils étaient dans des situations dérapantes. Ils avaient beau avoir tenté de se fuir et de s'éviter ça n'avait pas fonctionné, elle préférait encore le savoir avec qu'elle que de ne pas savoir du tout où il était, qu'être seule à nouveau. Alors elle hochait la tête, laissant ses mèches tomber sur ses yeux. Elle ne respirait toujours pas de manière équilibrée mais c'était cette fois plus du à leur proximité que de ses récents sanglots. Elle hochait de la tête aux certitudes qu'elle lisait dans ses yeux, il savait déjà qu'elle était sûre d'elle, qu'elle ne partirait pas.

« Oui, je suis sûre de moi. J'ai eu le temps de tourner et retourner la question crois moi. »

Et ce n'était pas peu dire sachant le nombres d'heures passées à y penser, à se demander ce qu'il se passait, parfois à nier, parfois à être perdue. Elle sentait les doigts de Toulouze s'enrouler à nouveau autour des siens, ceux qui tenaient son sweat-shirt et comme ça avait déjà été le cas depuis quelque temps elle remarquait à quel point son contact réussissait à l'apaiser. Il était délicat et doux, elle sentait son doigt caresser sa peau, la faisant sourire doucement, un tout petit vrai sourire alors qu'elle refermait ses propres doigts sur les siens, sentant d'autant plus sa chaleur. Il lui disait ce qu'il craignait, ce qui l'avait sûrement bloqué, elle comprenait de plus en plus mais contrairement à lui, ça ne lui faisait pas si peur, pas autant qu'à lui.

« C'est une possibilité, tu pourras perdre la raison un jour, je le sais. Je me doute, je sais déjà tout ça Toulouze, mais si tu veux tout savoir je pense que si jamais c'est une possibilité alors tu as plus de chances que ça n'arrive pas si tu n'es pas tout seul et puis... »

Elle haussa les épaules, s'il croyait sincèrement qu'il était le seul à qui elle pouvait faire face alors il se trompait, même s'il pouvait devenir l'un des plus dangereux.

« Et puis je sais me défendre Toulouze, et je sais analyser les situations, d'autant plus que je te connais. »

Et honnêtement là, présentement, elle se fichait de quoi il était capable, tout comme elle savait avec persuasion qu'elle saurait toujours trouver une fenêtre pour s'en sortir sans trop de dommages collatéraux, d'autrement qu'elle savait en plus qu'il saurait lui dire le moment venu ce qu'il fallait qu'elle fasse. Elle emmêlait ses doigts aux siens, tournant légèrement la tête sur le côté pour mieux le regarder sous ses mèches pétrole coulant sur son visage qui avait séché, un sourire aux lèvres.

« Oui, je resterai, et je pense que tu as compris que c'est sûrement une des choses que je vais commencer à ne plus te laisser passer pas vrai ? »

Elle se mordait la lèvre, pour s'empêcher de rire, elle ne voulait pas risquer de l'énerver de trop, pas maintenant.
Invité
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Toulouze Ka
évolution
#24
Terminé17.05.17 15:47
L'amour
c'est de la merde...
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Un sourire. Bien plus franc que les précédents. Bien plus franc que tous les autres. Il ressemblait presque à celui qu'elle avait quand elle prenait le petit cochon poilu entre ses bras. Le genre de sourire qu'elle lui lançait très rarement. Pour le coup, cela lui fit très bizarre de voir la nécromancienne affichait une telle expression, surtout après la discussion qu'ils avaient eu, après tout ce qu'il avait pu lui dire ou lui faire. Après tout ça. Elle lui souriait ainsi. C'était un peu dingue tout de même.

Ses doigts étaient enlacés à ceux de Teo, le plus naturellement du monde. C'était juste naturel, comme si cela avait toujours dû être ainsi. Et pas autrement. Juste d'être là, avec elle. C'était à la fois étrange et évident, clair comme de l'eau de roche. Mais un peu difficile à accepter. Surtout après tout ce qui avait pu se passer. Cependant, le zombie n'avait aucune envie de se prendre la tête davantage, et encore moins avec elle. Il avait assez donné et il avait assez subi pour comprendre qu'éviter l'inévitable finirait juste par le rendre bien plus aigri et dangereux qu'il ne l'était déjà. Que son lot de visions et de cauchemars finiraient par le rendre dingue, que sa colère ne s'apaiserait jamais, que sa rancœur resterait là, le dévorant. Cela servait à quoi qu'il vive de cette façon alors qu'il pouvait juste rester avec la métisse, tenter de se calmer et essayer de maîtriser la situation. Certes, ça ne ressemblait pas à une promesse de paradis mais c'était bien mieux que l'enfer qu'il avait pu vivre jusqu'à présent. C'était bien mieux que tout le reste. C'était la meilleure option.

Un soupir lui échappa, faible et long. Mélange d'abandon et d'acceptation. Teo ne changerait pas d'avis, jamais. Elle resterait toujours collée à ses baskets et quelque part, ça lui allait parfaitement. Il n'allait pas lui balancer de nouvelles horreurs à la figure pour la faire fuir, ça ne marchait pas. Et il n'en avait pas envie. Qu'elle reste, si c'était ce qu'elle voulait. Lui, c'était ce qu'il désirait en tout cas. D'un mouvement bien trop doux, chose qui ne lui ressemblait pas, il attrapa la jeune femme pour la caler contre lui, l'enlaçant enfin comme il avait pu le vouloir pendant de longues minutes. Par instinct, son visage se logea dans son cou, lui permettant s'enivrer de son odeur alors qu'il marmonnait avec lassitude contre son peau.

- Franchement t'es chiante. Tu peux pas juste faire comme j'te le dis ? Pourquoi je suis tombé amoureux de toi au juste ?

C'était sorti tout seul, comme beaucoup d'autres choses. Toulouze ne s'était pas attendu à dire un truc pareil mais maintenant que c'était fait, il ne pouvait plus réellement reprendre ses paroles. Sauf s'il lui disait qu'il avait menti, chose qui risquerait de la blesser. Non, mieux fallait ne rien ajouter, la serrer plus fort dans ses bras et arrêter d'être aussi compliqué. C'était d'ailleurs bien plus clair et plus simple à présent. Juste à cause de quelques mots prononcés par inadvertance. Comme quoi, l'humain était bien étrange.

Atmosphère cotonneuse. Air doux. Chaleur ambiante. C'était calme et tranquille. On n'entendait à peine les basses mises à fond dans le couloir bondé de monde, ni leurs pas, ni leurs voix. On n'entendait plus rien. Plus rien que leurs souffles et leurs battements de cœur. C'était extrêmement agréable, malgré l'étroitesse du lieu. Le zombie n'avait plus réellement envie de quitter cet engin de malheur, bien qu'il n'était pas pour que l'ascenseur s'écrase et s'encastre sur eux. Mais rester là ne le dérangeait plus le moins du monde. Au moins, il était avec Teodora.

Se redressant un peu, il plongea son regard sombre dans celui plus clair de la jeune femme. Les perles pales de la nécromancienne étaient rougies de trop avoir pleuré, une faible grimace étirant les lèvres de Toulouze qui passa sa main libre sur ses joues, effaçant les dernières traces de ses sanglots. Il se jugera intérieurement de ne plus lui faire subir une telle chose, même s'il était dans un état totalement instable et que si quelqu'un d'autre devait la mettre dans cet état, qu'il le lui ferait tout simplement payer.

- Écoute, on va essayer... mais si il arrive quoi que se soit, ne reste pas. Tu peux peut-être te démerder ou te défendre mais si ça dégénère vraiment... barres toi juste...

C'était un peu compliqué de lui dire cela, alors qu'il savait parfaitement que Teo ne serait pas d'accord avec ce qu'il pouvait penser. Mais le basané ne pouvait décemment pas s'imaginer lui faire quoi que se soit. Il préférait la prévenir plutôt que de ramasser les pots cassés. Surtout si le pot était la nécromancienne.

- Et fais pas la maligne en me disant que tu peux gérer. Fais juste ce que je te demande pour le coup.

Le zombie n'attendit pas une réponse immédiate, ses doigts pinçant le nez de la jeune femme en représailles d'un refus qu'il n'avait même pas eu mais qu'il savait existant. Teodora était tout de même sacrément têtue et si elle lui avait dit qu'elle resterait, quoi qu'il lui arrive ou qu'il advienne, c'était qu'elle le ferait. Il n'y avait à dire, cette nana allait le rendre dingue.

Enfin t'es déjà dingue d'elle donc bon...

Faible sourire moqueur. Câlineries tranquilles. Regard tendre. Toulouze avait encore envie de l'embrasser – pour ne pas dire qu'il ne désirait faire que cela. Seulement, au moment de se pencher vers la métisse, la boite de métal refit des siennes. Poussant un juron, le zombie observa les boutons qui étaient tous illuminés, pour ne pas changer. Satané boite de ferraille. Où allait-elle les emmener cette fois ?

Si elle ne se scratche pas.

Avec : Teo
Mots : 956



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Maîtresse de la mort
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#25
Terminé17.05.17 15:47
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'4 FACES' :
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Teodora Svensson
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#26
Terminé26.05.17 3:25
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Teodora était loin d'imaginer ça, loin d'imaginer ces sentiments là, la puissance qu'ils prendraient une fois révélés, elle sentait ses doigts sur sa main, caressant sa peau, le niveau de complétude qu'elle ressentait et pourtant elle y avait pensé des milliers de fois, ne s'était jamais imaginé ça. Ça avait si mal démarré et pourtant, pourtant elle était là, il était là devant elle et elle n'entendait plus les bruits parasites, elle ne voyait que Toulouze juste devant elle, ses pupilles si bleues, différentes des siennes qui ne le lâchaient pas. Elle lui souriait, vraiment, parce qu'elle ne le faisait pour personne sauf pour ses animaux, et lui. Il était le seul à réussir à lui soutirer ce rictus trop vrai pour elle, trop franc et trop fragile. C'était pour ça qu'elle ne le laissait jamais transparaître, parce qu'il en disait trop long sur elle, il disait toutes ses faiblesses, toute sa fragilité et en même temps toute sa force en si peu, si facile à écraser. Mais étonnement, ce que personne sauf elle aurait pu faire, elle lui faisait une confiance entière, c'était peut être une erreur, mais elle savait qu'elle ne se trompait pas, elle savait qu'elle aurait pu le suivre les yeux fermés. D'aucuns auraient dit qu'il était dangereux, elle le savait, tout comme elle pouvait l'être même si on s'en doutait moins, mais elle savait aussi que volontairement il trouverait toujours un moyen pour lui épargner le plus possible, ce qu'il s'était évertué à faire, elle le savait, ce qui était le mieux pour elle, tout comme elle s'était tuée à faire en sorte de le préserver. Mais le temps n'était plus à ça, ils savaient tous les deux qu'ils représentaient un possible danger pour l'autre sans arriver à se séparer ne serait-ce que d'un centimètre alors qu'elle serrait un peu plus fort ses doigts autour de ceux de Toulouze.

Il soupirait encore, mais différemment, et elle aimait ce soupir, comme elle aimait ses grognements. Elle aimait Toulouze c'était un fait, elle arrivait presque à reconnaître un soupir d’exaspération d'un grognement de colère, elle l'avait tant analysé, elle avait si souvent tenté de démêler ses expressions et ses manifestations d'humeurs qu'elle arrivait plus ou moins à comprendre, parfois moins que plus et parfois le contraire. Il savait, qu'elle ne le laisserait pas, qu'elle resterait collée à lui, qu'elle continuerait à se mêler de ses affaires, qu'elle continuerait de se mêler de ses affaires tout autant qu'elle ne doutait pas qu'il ferait de même. Et enfin, sans qu'elle ne s'y attende il l'avait rapprochée de lui, elle avait senti automatiquement tout son corps se coller à celui du zombie, le visage de Toulouze se loger dans son cou alors qu'elle passait ses bras autour de sa tête, ses longs doigts fins retrouvant ses cheveux et son odeur qui lui avait tant manqué, cette odeur particulière qui avait été si présente dans leur chambre et qui commençait déjà à s'effacer, à lui manquer. Elle s'en enivrait, respirant dans son cou comme il le faisait pour elle, le serrant un peu plus fort, presque pour lui dire à quel point ele avait attendu pour retrouver son contact, à quel point elle avait failli ne pas le laisser à chaque fois qu'il était parti, qu'elle l'avait laissé.

Elle l'entendait marmonner des mots qui la firent rire, oui elle était chiante, incroyablement chiante, il le savait, elle en avait connaissance, elle était un fantôme on ne peut plus chiant, chiant comme on en fait plus. Un genre de chiant qui ne vous lâche pas, qui s'impose. Elle était comme ça Teodora, une morte plus chiante qu'une armée de vivants, même avant, même avant les lumières, la moquette, les tremblements, le monde des morts, elle était née comme ça, avec un potentiel de chiante jamais égalé. Elle riant doucement, le nez toujours dans le cou du zombie. La suite la surprit plus, elle s'était attendue à tout sauf à ça, qu'il lui avoue comme ça, qu'il lui dise de but en blanc, mais son cœur se serrait alors qu'une vague de chaleur gagnait son visage et qu'un sentiment étrange faisait bouger tout son ventre. Il la serrait plus fort alors que ses doigts à elle venaient de nouveau caresser la naissance de ses cheveux, un sourire malicieux aux lèvres, rien que pour lui.

« Peut-être justement parce que je ne fais pas comme tu le dis ? »

Elle n'en savait rien en vrai, elle ne comprenait pas qu'on puisse l'aimer, mais elle était incroyablement contente que l'on puisse, surtout lui, qu'il puisse. Il s'écartait un peu, rien que pour essayer d'essuyer le reste de ses larmes tandis qu'il lui parlait de nouveau, il lui demandait de le laisser si ça tournait mal, elle voulait juste lui dire non, lui dire qu'elle resterait, mais elle savait qu'elle devait faire un effort, elle connaissait ses limites. La métisse le connaissait dans ces moments là et ne doutait pas qu'elle n'avait pas vu le pire alors elle hocha la tête en se mordant la lèvre.

« Tu sais quoi, je vais te dire oui, oui si jamais je vois que je ne peux rien faire, oui si tu me dis à tout prix que je dois m'en aller. »

Elle penchait un peu la tête comme pour le défier, oui elle était capable de le suivre, de l'écouter, de savoir quand il fallait qu'elle s'en aille.

« Mais pas avant que j'aie fait tout ce que je pouvais d'accord ? Après promis, je cours très vite. »

Elle riait un peu en imaginant la scène, sa main toujours liée à la sienne alors qu'elle mourait d'envie de l'embrasser, de se lover dans ses bras et d'y rester jusqu'à la fin de sa retombée en poussière tandis qu'il lui pinçait le nez et qu'elle ne pouvait pas s'empêcher de rire alors qu'elle passait sa main le long de sa joue et de sa mâchoire, il se penchait vers elle et elle n'avait qu'une envie, l'accueillir à bras ouverts avant que la boîte de malheur ne fasse encore des siennes, lumignons des boutons tous allumés tandis que l'habitacle se stabilisait à nouveau au milieu de deux étages et elle ren riait un peu, il avaient vraiment la poisse quand même. Elle attrapait déjà son sac au sol, sortant son portable, le secouant devant le nez de Toulouze.

« On parie qu'on a toujours pas de réseau ? »

Elle n'y croyait pas trop mais sait-on jamais, elle lui adressait un sourire en coin, la main toujours liée à celle de Toulouze, ne le lâchant pour rien au monde, un regard doux alors qu'elle regardait plus les yeux de Toulouze que l'écran alors qu'elle contrôlait le réseau.

HRP :
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Présence: présent·e
#27
Terminé26.05.17 3:25
Le membre 'Teodora Svensson' a effectué l'action suivante : laisser faire le hasard


'PILE OU FACE' :
L'amour c'est de la merde en boite - Page 3 Ohuu
Invité
Anonymous
Toulouze Ka
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#28
Terminé26.05.17 14:23
L'amour
c'est de la merde...
Midnight into morning coffee Burning through the hours talking Damn... I like me better when I'm with you

Il n'avait rien d'autre à lire dire. Que pouvait-il bien lui dire de toute façon ? Elle l'avait prise dans ses bras, l'avait serré contre lui, avait passé sa main dans ses cheveux. Elle lui avait sourit. De cette façon qui la rendait juste diablement adorable et attirante. Le genre de sourire qu'elle lui servait rarement, qui ne s'affichait pas souvent et qui avait le don de le laisser pantois. Il devait faire quoi au juste quand elle le regardait de cette manière et lui souriait ? Franchement, il ne pouvait rien faire du tout. Toulouze avait juste envie de la garder près de lui jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien d'eux, du monde entier même et qu'elle continue de lui sourire ainsi. Si c'était ainsi qu'ils allaient passer les prochaines décennies, ça lui allait parfaitement.

Le zombie ne s'occupait même plus de l'ascenseur ou du bruit à l'extérieur. Il ne faisait que regarder Teodora. La regarder lui sourire, l'entendre rire doucement, la voir prendre son portable qu'elle lui mettait sous le nez. Mais leurs yeux ne pouvaient décemment pas se lâcher. Comment le pouvaient-ils ? Cela faisait trop longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu, qu'ils n'avaient pas été ainsi, aussi calmes et proches sans se bouffer le nez. Le basané se demandait même si ce n'était pas la première fois qu'ils étaient ainsi, aussi tranquilles et sereins. Dans son cas, c'était la première fois qu'il le ressentait aussi fortement et ce devait être pareil pour la jeune femme. Il ne l'espérait pas, il le sentait au fond de lui, dans sa chair. C'était à la fois très clair et très troublant. Assez pour lui faire se demander si à un moment, ils ne finiraient pas par perdre pied à cause de toute cette histoire. Mais pour l'heure, cela n'avait aucune importance. Le cellulaire de la métisse s'alluma, la barre du réseau étant rempli au maximum.

Un coup de bol !

- Faut croire que des fois tu te trompes.

Dans cette cage de fer totalement pourri, ils réussissaient enfin à capter un signal pour téléphoner à quelqu'un. C'était presque avec soulagement que l'homme se rendit compte de la chose. Ils allaient enfin pouvoir sortir de ce truc -bien que cela ne le dérange pas d'y rester coincé pour toujours avec Teo mais cela ne serait probablement pas vivable plus de six heures. D'un geste machinal, il s'empara de son propre portable et l'alluma avant de constater qu'il ne lui restait que peu de batterie. Un léger grognement lui échappa, sa joue se calant sur le sommet du crâne de la jeune femme qu'il rapprocha de son torse.

Espèce de gros chat va !

Ses doigts se mouvèrent sur l'écran, cherchant un zigoto qui pourrait bien lui répondre et tenter de les faire sortir de cet boite en aluminium. Sauf que l'appareil s'éteignit soudain sur lui, le noir inondant la plaque de verre. Bon, la chance commençait à se faire la malle.

- J'espère que tu vas réussir à appeler quelqu'un sinon on sera vraiment coincé ici.

Marmonnant de mécontentement, le zombie fixa la nécromancienne collée à lui avec bien plus de douceur qu'il n'y paraissait. Il ne pouvait pas vraiment faire autrement après tout, il s'agissait de Teo. Mais il allait falloir qu'il sorte de ce truc. Parce que c'était bien gentil d'être avec elle mais il commençait sérieusement à avoir faim.

Avec : Teo
Mots : 956



HRP :
Invité
Anonymous
Teodora Svensson
évolution
#29
Terminé30.05.17 23:54
« OH, YOU AGAIN »
Wait for me
ft.
TouTeo
Il y avait une chose qui n'avait pas beaucoup changé depuis leurs retrouvailles et la toute dernière fois qu'ils s'étaient vus, une fois qu'ils s'étaient regardés ils ne pouvaient plus réellement se lâcher des yeux, elle ne pouvait pas ne pas le regarder, plonger dans le bleu foncé et infini que représentaient ses prunelles à ce moment. Il y avait toujours eu un truc avec les yeux de Toulouze, elle les avait toujours cherchés, même avant de comprendre, avant même de s'en douter, elle les cherchait, les rencontrait et les suivait où qu'ils aillent, quoi qu'il regarde, et quand c'était elle qu'il regardait ça la faisait frissonner et battre le cœur plus vite, aussi.

Elle savait aussi qu'il la regardait pour ce qu'elle était, qu'il ne se laisserait jamais duper par ses faux airs, il arrivait toujours à deviner juste, à savoir exactement quand elle se maquillait de façade ou quand elle se renfermait derrière ses visages factices. Elle resserrait un peu ses doigts autour des siens tandis qu'il la rapprochait à nouveau de lui et qu'elle calait sa tête au creux de son épaule, ses yeux venant machinalement se poser sur l'écran de téléphone qu'il avait sorti de sa poche. Elle avait entendu et senti le grognement sortir de ses lèvres et gronder dans sa poitrine, la plaque lumineuse venant de s'éteindre alors qu'ils étaient à nouveau plongés dans le noir et qu'elle étouffait un rire, prenant déjà le sien avant de parcourir son répertoire, elle savait qu'elle avait enregistré le numéro d'urgence de l'agence dedans et au pire elle savait très bien qu'en demandant à Miu, la petite japonaise saurait à qui s'adresser et qu'ils seraient sortis de là dans pas trop longtemps, même si être contre Toulouze ne la dérangeait absolument pas, mais c'est qu'elle avait un travail à faire quand même.

D'ailleurs, une fois que son réseau s'était rétabli son téléphone n'avait pas arrêté de sonner, accusant réception de nombreux appels et messages, ils étaient restés coincés depuis plus de temps qu'elle ne l'aurait pensé, c'est qu'entre la dispute, la réconciliation, les épisodes erratiques de l'ascenseur le temps était vite passé et elle aurait déjà du être à son bureau depuis une bonne heure. Elle riait à la remarque du zombie à le peau mate, non elle n'avait pas toujours raison et pour une fois ce n'était pas trop dommage.

« Même les meilleurs font des erreurs, tu devrais savoir ça non ? »

Un sourire en coin et un baiser déposé sur le coin de sa mâchoire avant de composer le numéro de l'agence qui répondit miraculeusement au bout de la cinquième ou sixième sonnerie, pour une fois qu'ils faisaient leur job ceux là, elle n'allait pas s'en plaindre, elle expliquait rapidement la situation, le dos cette fois posé contre Toulouze, entendant l'agitation à l'autre bout du fil qui démontrait clairement que non, ils ne devaient pas être là depuis longtemps, ils devaient squatter la salle de la machine à café depuis un bout de temps vu la paperasse qui semblait voler autour de la bonne femme qui lui assurait qu'elle envoyait quelqu'un immédiatement. La nécromancienne insista un peu tout de même pour la forme, parce que quand on lui disait immédiatement elle aimait bien que justement ça soit immédiat et qu'on ne se paie pas sa tronche et ne voulait pas risquer que ça soit le cas. Ignorant un temps les bips incessants de son cellulaire une fois raccroché elle se tourna de nouveau vers le brun.

« Ils arrivent, enfin trouvent une solution quoi, parce que moi, j'ai réussi à joindre une personne compétente. »

Elle continuait de lui sourire, elle se moquait un peu de lui mais gentiment, et elle savait qu'il le devinerait facilement. Et en effet l'ascenseur commençait déjà à effectuer des grognements synonymes de reprise de vie, tant qu'ils ne s'écrasaient pas, ça lui allait. Elle se demandait juste comment la suite allait se passer, ils allaient de nouveau devoir se séparer étant donné qu'elle devait aller travailler et que Toulouze avait sûrement des choses de prévues aussi, mais elle savait aussi inconsciemment qu'ils ne resteraient pas séparés longtemps cette fois ci. Dans un crissement la lumière revint tandis qu'elle passait sa main libre dans ses cheveux pour les réarranger comme elle pouvait, regardant toujours le zombie dans les yeux alors que doucement et dans des petites secousses la cabine se mouvait à nouveau lentement.

Elle aurait voulu lui demander où il allait après, ce qu'il allait faire mais elle savait aussi que le mitrailler de questions n'était pas une solution et qu'elle le saurait bien à un moment où à un autre. Elle savait aussi qu'il devait connaître à peu près où elle se trouvait à quelle heure et qu'il pourrait aisément la trouver tandis que le contraire n'était pas vrai. En attendant l'ascenseur s'ouvrait à l'étage des appartements et ils fallait toujours qu'elle se change et se lave le visage avant de repartir dans la nuit de Tokyo, sauf qu'elle ne bougeait pas et ne lâchait pas sa main.
Invité
Anonymous
Toulouze Ka
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#30
Terminé31.05.17 0:20
L'amour c'est de la merde en boite - Page 3 Giphy

C'est le dé de la folie L'amour c'est de la merde en boite - Page 3 3946617890

PILE : Toulouze recoince l'ascenseur en mode "osef, on reste là L'amour c'est de la merde en boite - Page 3 621800295"

FACE : Il embarque Teo à l'appartement. Il a encore les clefs donc voila :dor:
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