Peek a Boo ! •• V.4.2
Peek aBoo !
Forum RPG paranormal • v.4.2 • Rp libre
Tout commence après la mort : découvrez un au-delà chatoyant où les rires remplacent la douleur.

Bienvenue

dans le Monde des Morts


Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.

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Yvan, son ex-compagnonpour Abraham Zakarian

起死回生

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Pom Warren
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#1
Terminé12.03.17 18:12

Un jour, on m'a dit que j'étais syndicaliste,



Je sais même pas ce que ça veut dire.


Salle des archives. Trois heures et trente-trois minutes. Heure du crime. Personne dans les couloirs sinueux si ce n’est le méconnu Pom Warren qui marchait d’un pas égal. Il portait un sweat à capuche noir avec l’inscription rouge sanguine « Je suis @"Alex Fletcher" » au-dessus d’un dessin de personnage aux cheveux rouges et avec un cache-œil de pirate.

Il portait également un jean d’un gris sombre, des rangers, des mitaines, un bonnet en laine d’un vert sapin et un sac à dos militaire. Ce qui était le plus visible demeurait son visage pâle où un sourire moqueur était dessiné depuis qu’il avait quitté son appartement pour se rendre dans lesdits couloirs. Etages, étages, grimper ou descendre. Après des péripéties, il se retrouva à l’heure dite devant la salle des archives. Pas besoin de crocheter cette dernière, la porte avait été laissé ouverte. Pom s’y engouffra, chercha l’interrupteur et alluma une lumière crépitante aux nuances inquiétantes et chancelantes comme il ne s’en faisait plus. L’atmosphère était digne d’un film d’horreur ou d’un bon polar, et pourtant le crime qu’allait commettre Pom n’avait rien d’effrayant ou de mortel.

Petits pas, après petits pas, des écouteurs dans les oreilles et des musiques s’enchaînant de manière aléatoire, heureusement que spotidyth existait, même si Dadine lui avait dit que deezdeath était tout aussi bien. Peu importait dans le fond, Pom pensait que les ossements qu’il dépensait était justifier et il aimait trop la musique pour s’en passer. Même si dans les archives, il ne pouvait écouter que des musiques enregistrées – sa connexion était ridiculement base, voire inexistante dans les lieux.

Laissant ses doigts glisser sur les archives, Pom eu un sourire diabolique. Sa main venant regarder un dossier. Eh bien, c’était quoi cette histoire de navet ? Il n’y comprenait rien. C’était du baratin. Reposant le dossier sur une étagère, il attrapa un autre papier, une convocation à un bal – il fallait dire que des fêtes, il y en avait sans arrêt ici. En voulant reposer le papier, Pom bouscula une pochette et des flyers s’envolèrent pour retomber sur le sol.

Fronçant du nez, Pom se dit qu’il n’allait pas faire toutes les allées ni fouiner partout. Cela risquait d’être barbant ! Et il n’en avait pas du tout l’envie. C’était à ses yeux  une perte de temps. Il retourna à l’allée principale, allant jusqu’à un bureau qui devait appartenir au spectre occupant le rôle d’archiviste. Un rôle qui devait avoir été oublié avec le nouveau roi ou alors celui qui s’en occupait était particulièrement feignant et mauvais. Les archives étaient un véritable foutoir.

Pom posa quelques potions colorées sur le bureau et il se concentra. Eloigné ainsi des chambres et des âmes vivantes, il chercha des émotions dans la pièce et réalisa brutalement : que ce n’était plus aussi difficile qu’avant de contrôler son pouvoir. Bien sûr qu’il avait encore des erreurs, l’abus de drogue était bien un signe qu’il avait encore besoin de s’empêcher de le laisser trop agir, mais : les couleurs, il les préservait mieux. Il les voyait de plus en plus distinctement. Pom pouvait tout à fait imaginer un arc en ciel et le voir se faire devant lui. Il voyait la colère, l’amour et pouvaient mixer les émotions.

Riant amusé, Pom attrapa les sentiments d’euphorie et d’hilarité puis il se mit à les secouer, les mélanger et les enferma dans une fiole. Puis, il choppa le registre des inscriptions et renversa la fiole dessus. Le registre se teinta très légèrement d’un jaune claire, mais bien que le liquide ait dû le mouiller, il demeura sec. Puis, Pom se saisit d’une autre potion et la déposa sur le bureau. Il l’avait préparé, il y a déjà un bout de temps et l’avait raté. La fois où il avait rencontré Alex, dans le bureau de Joshua, ce fut un amusant échec.

Aujourd’hui la potion contenant de petites graines vertes et roses scintillaient. Pom la déposa soigneusement sur le bureau, laissant un lierre grimpant glisser sur le bois. Il récupéra de justesse son sac, avant que celui-ci ne soit emporté par une branche. L’ensemble des archives commença à se verdir, à se changer en un lieu apocalyptique où la nature commencerait à reprendre ses droits. Pom songea qu’il devrait remercier l’amie qui l’avait aidé à améliorer. Lentement, Pom chercha dans son sac et tranquillement il se mit à accrocher un duplicata d’un poster de Joshua qui devait bien mesure un mètre soixante.

3h33, heure du crime.


Créer un maelström en pomoerium Sans-t33


Joyeusement, Pom se mit à rajouter des informations sur son imprimé ! Voilà, voilà.  Encore quelques petits détails, et il pourrait partir. Ne croyez pas que Pom haïssait vraiment Joshua. Pom ne le connaissait pas. Il ne pouvait pas le haïr, il voulait juste pouvoir se permettre d'avoir le droit de s'opposer ! De ne pas avoir à croire qu'un type venu de nul part pouvait connaître naturellement sa mort et ses choix, alors que Pom ne savait absolument rien de lui que ce qui avait été dit lors d'un reportage télévisé et dans les ouvrages (forcément censurés.)
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Ael Shanks
évolution
#2
Terminé14.03.17 23:27

Ael x Pom
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J’avais passé la soirée sur la plage. J’y allais souvent à la tombée de la nuit. C’était le seul endroit que j’avais trouvé où je pouvais à la fois concocter mes potions à l’abris des regards et en même temps me sentir libre. J’aimais avoir les pieds dans le sable, sentir ce froid sur ma peau, sentir l’eau parfois même venir me chatouiller les orteils. Je pouvais y passer mes nuits mais ce soir là un vent glacial venu de la mer s’était engouffré dans la bais de Tokyo. L’air était glacial et je n’avais plus qu’à rentrer.

En vérité, je ne savais pas trop quoi faire de ma soirée. Après tout ce qui s’était passé avec Raven, j’essayais petit à petit de m’accepter, moi et mon pouvoir. Mais je n’osais toujours m’en servir sans elle à mes côtés. Alors, à la place, j’avais passé les dernières semaines à réviser mes potions, encore et encore. J’avais même réussi à mettre un peu de moi à l’intérieur, à concentrer de la joie, de la peine, de la colère dans ces petites fioles remplies d’un liquide transparent et inodore. Mais ce n’était pas ce soir que j’allais progresser davantage.

Je rentrai chez moi tranquillement. Il y avait de l’agitation ce soir. Les gars jouaient à la console, comme à leur habitude et Chaerin n’était pas avec eux. Surement dans sa chambre ou à la douche. Peut-importe, je n’allais pas la déranger. Alors je me rendis dans ma chambre, Lexa me suivant toujours à la trace. Je la caressai, lui donnai un os et m’installai sur mon lit, écouteurs dans les oreilles.

J’avais beau faire tous les efforts du monde, je n’arrivais tout simplement pas à me reposer. J’en étais incapable. Mes membres s’agitaient sans cesse tout seuls, j’en tremblais presque. Je ne pouvais certainement pas rester là les bras croisés, il fallait que je bouge. M’entraîner me ferait sans doute un bien fou, me défoulerait un peu et je pourrais enfin fermer les yeux tranquillement.

Je me déshabillai donc afin d’enfiler ma tenue de sport favorite : Mon jogging gris et mon débardeur noir. Malgré mon manque cruel d’exercices ces derniers temps, mes muscles étaient toujours aussi bien taillés, toujours aussi finement visibles. Tant mieux, je n’aurais pas à retourner à l’entrainement de manière drastique.
Je pris mon sac, de l’eau, mes clefs et quelques affaires en plus, dis au revoir à mes colocs et me rendis au niveau -1. Il était déjà une heure du matin. Heureusement que la salle de sport restait ouverte de nuit.

J’entrai. Le lieu était désert et tant mieux. Je posai mes affaires et commençai par m’étirer. Je pris la corde à sauter qui pendait contre le mur et me mis à sauter sur place encore et encore. La sueur commençait à perler sur mon corps. Je continuai par quelques frappes, quelques exercices de musculation. Je me sentais bien ici. L’air qui entrait dans mes poumons me redonnait vie à chaque inspiration. Ça faisait un bien fou.
Je continuai un moment avec de décider d’arrêter. Il était trois heures et quart. Je prendrai ma douche à l’appartement, je n’avais aucune envie de me doucher, ici, la nuit. Je pris alors mes affaires et sortit dans le couloir.
Je marchai un moment quand j’entendis une sorte de brouhaha non loin de moi. J’accélérai le pas. Il était peut-être arrivé quelque chose de grave. Je me mis à courir en direction de la salle des archives. Le bruit venait de là. J’arrivai vite devant la porte. Ma course ralentit et mes yeux s’écarquillèrent. Je les frottai doucement, voulant être sûre de ce qu’il se passait devant moi.

Du vert, il y avait du vert partout. Et des fleurs. Vous en voulez vous des fleurs ? La salle en était remplie. Une douce odeur vint alors chatouiller mes narines. Au final c’était presque agréable de se retrouver ici. Mais très vite mon cerveau reprit le dessus sur mes émotions et mon regard se durcit. Que se passait-il ici ? Ce lieu si calme à son habite, ce lieu que j’aimais tant et où j’avais passé une bonne partie de mes premières années, venait de se transformer en une jungle quasi tropicale. Il ne manquait que quelques oiseaux et grenouilles et le tour était joué.

J’avançai donc doucement dans ce repère, cherchant réponses à mes questions quand j’entendis le bruit d’une feuille qu’on défroisse. Je me tournais doucement sur la gauche, et là, près du bureau se trouvait.. un jeune homme sûrement, de dos. Il était en train d’accrocher ce qui semblait être une affiche sur le mur. Une affiche de Josh recouverte d’idioties. Je n’aimais pas juger les gens, mais vu son style, vu sa façon de se tenir, vu ses actions et se petit rictus que j’entendais ici, il fallait énormément de coïncidences pour qu’il ne soit pas la cause de tout cela.

Je n’aimais pas interférer dans ce genre de situation mais je ne pouvais pas laisser ça comme ça. Enfin.. IL ne pouvait pas laisser ça comme ça, laisser les archives dans cet état. Alors je m’approchai doucement et m’arrêtai prêt du bureau.

- "Excusez-moi ?"

Je venais quasiment de chuchoter. Et bien Ael, ce n’est pas comme ça que tu te feras entendre. Je m’étais connue bien plus confiante. Dans un regain de cet ancien moi, je pris alors ma voix la plus autoritaire qui soit.

- "EXCUSEZ-MOI ! Êtes-vous l’auteur de tout ça ?"

Finalement je n’attendais même pas de finir ma phrase que je me retrouvai vite près de lui, lui attrapant l’épaule pour qu’il me donne vite une réponse. Je n’aimais pas ça, je n’aimais pas ce genre de petit voyou.

© PRIDE
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Pom Warren
évolution
#3
Terminé15.03.17 0:55

C'est comme un moustique dans une chambre,



C'est piquant et agaçant.


SLes plantes grimpent, se développent, des feuilles grandissent et des fleurs s’ouvrent. L’amusement est clair dans le cœur du vandale et il est concentré à sa tâche. Si concentré qu’il n’entend pas la porte laissée entrebâiller par maladresse s’ouvrir. Il n’entend pas les semelles sur le plancher, la respiration délicate, ni l’odeur de femme et de sueur. Il n’entend rien, si ce n’est brutalement, une voix féminine qui s’excuse. Pourquoi s’excuse-t-elle ?

Ce n’est pas une employée de l’agence. Une employée ne s’excuserait pas. Une employée utiliserait ses pouvoirs de nécromanciens pour le calmer immédiatement et lui faire répondre de ses actes par quelques actes de travaux généraux. Ranger les archives, nettoyer un couloir, s’occuper de quelques jardins et gérer quelques salles. Pom devait le reconnaître : son dossier du monde des morts devait être dans un des tiroirs de Joshua qui avait dû mettre un post-it rouge dessus à force de travaux généraux reçus. La bonne blague !

La voix est comme les ongles d’une maîtresse sur un tableau noir. Elle est stridente et insupportable. Seulement ce n’est pas ce qui l’horripile sur le gens, pas même le sentiment de la femme à son encontre alors qu’il ne la connait pas : d’où se permet-elle de le juger. C’est cette main sur son épaule, dont il se saisit, de sa main opposée, avant de faire une pirouette sur lui-même, dansant presque, pour se retrouver face à face. C’est cette main qui l’ennuie. On ne le touche pas ! Pas sans le prévenir, pas sans son accord. Pas sans que ça ne vienne de lui. Elle était sérieuse, il était rieur. Elle était plus petite que lui, tout aussi pâle avec des cheveux sombres de jais. Une enfant en débardeur noir, jogging gris et qui sentait la transpiration. Une adolescente ! Encore une femme morte trop tôt et qui vivrait désormais un temps presque éternel pour un vivant.

Elle est jolie. Très jolie. Il ne peut le nier. Elle a un petit nez malin, des yeux de renards sombres, une chevelure qui semble trop douce et un visage magnifique. Il s’en fout ! Pom se fout des apparences. Mais elle lui dit quelques choses ! Merde, quoi ! Il n’oublie que rarement un visage.

Peut-être sur une photographie ? Peut-être quelqu’un lui en a parlé ? Peut-être que …


Il se croyait seul et le voilà surpris. Elle lui rappelait quelqu’un et d’ailleurs, le bracelet à son poignet se mit à briller davantage, diffusant une fumée lumineuse d’un rouge intense. Cruauté perpétuelle. Ce visage, d’où pouvait-il lui rappeler ? Qui lui en avait parlé ? Pom chercha une brève seconde, maintenant retourné face à elle. Il se rapprocha, lentement, des mèches de cheveux rouges venant se faufiler sur son front. Que venait-elle faire ici, cette horrible petit fouineuse ? Une souris dans les archives ferait mieux de rester cacher quand une panthère y est rentrée. De quoi se mêlait-elle, cette petite fille aux cheveux effrayants ressemblant à un mélange de la fillette du cercle et d’une religieuse à l’époque de l’inquisition ? Elle ferait mieux d’aller prendre une douche que de traîner dans les archives. D’ailleurs ! Depuis quand s’habillait-on en sportif pour venir faire le rat de bibliothèque ?  

Ce n’était pas une heure de toute façon pour faire du sport, pour aller au archive. Les gentilles petites filles sages devraient être couchées depuis longtemps. Rentre chez toi, ma petite ! Maintenant. Car le regard amusé de Pom ne dit rien qui vaille.

Du fait, il garda sa main dans la sienne, s’avançant d’un pas, se penchant pour mettre son visage face aux siens : « Je t’excuse ! »

Un rire suivi ses paroles comme une cascade dans cette forêt dense. Il se demanda d’ailleurs où le mènerait cette folle danse. Souvent quand Pom commettait une action, il avait l’impression d’être en face d’une toile avec des fusains dans les mains. Il avait l’impression de dessiner aléatoirement une peinture qui pouvait donner un chef d’œuvre ou une catastrophe. Le brouillon de cette rencontre n’était pas très positif. Elle était une tâche qui venait se poser sur son travail. Pourquoi fallait-il qu’elle soit rentrée au moment où il était là ? Quelques minutes plus tôt, il n’aurait pas eu le temps de faire son forfait. Quelques minutes plus tard, il aurait eu le temps de la voir venir et de disparaître avant d’être surpris. Mauvais timing.

Peu importait, son sac à dos – nouvellement acheté, il avait égaré l’autre – à son épaule, Pom s’éloigna pour sortir une nouvelle potion de son sac. Il était trop tard pour nier être l’auteur des faits et il était trop contingent pour simplement partir et abandonner son projet.

Et Pom se redresse, ses yeux pétillent de malice, alors qu’il la fixe : « Ma petite, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat. »

Et disant cela, l’homme ouvre une boîte. Des morceaux de papier colorés tombent sur le sol. De toutes les couleurs, chacune contenant une émotion. Pom a travaillé dur dernièrement pour cette bêtise. Il a laissé du temps à réfléchir, à peaufiner, à aller dans des boutiques de nécromanciens. Ce papier, ce n’est que des confettis sur le sol. Jusqu’à ce qu’il laisse tomber la potion dessus. Le liquide vibre, telle une fumée, qui aurait été attiré par le sol et nous le plafond. Une fumée qui s’enfonce par terre.

Et aussitôt, la fumée se pose sur le papier et les papiers s’envolent. Si eux devraient tomber, eux s’envolent. C’est une multitude de papillons colorés qui tournent autour de Pom, puis vers Ael, et les fleurs. Pom sourit tendrement : il voudrait que les gens voient les couleurs telles que lui les voit constamment.

Il soupire, fixant Ael :

«Si tu restes ici, tu deviens ma complice. Alors, tu devrais juste filer prévenir la sécurité ou assumer ton rôle ! Moi, j’ai du boulot, comme tu le vois. »


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Ael Shanks
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#4
Terminé16.03.17 2:37


Ael x Pom
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Il était agile. Il attrapa ma main et en un rien de temps il était face à moi. Il m’avait tellement surprise que j’en oubliais ce contact. Il ne devait pas me toucher, pas peau contre peau. Je devais vite me débarrasser de sa main. J’essayai un instant de m’extirper de cette situation mais quelques secondes plus tard et il était déjà là, à quelques centimètres de mon visage. Je rougis.

- "Je t’excuse ! "

Il rit. Comment ça il m’excuse ? Rah, je venais à peine de le rencontrer qu’il me mettait déjà hors de moi. Et ce n’était pas bien. J’avais passé des semaines à essayer de contrôler mes émotions pour justement essayer de contrôler mes pouvoirs. Et voila qu’en quelques minutes un parfait inconnu venait de me mettre dans tous mes états. Je n’aimais pas que l’on me parle avec tant de désinvolture et de sarcasme. C’était une chose qui, avec le temps, n’avait jamais changé finalement.
Il attrapa son sac à dos, me lâcha enfin et en sortit une fiole. Il était nécromancien, tout comme moi. Il fallait donc que je redouble de vigilance. Je n’avais aucune idée de ce qu’il allait me faire ou faire à vrai dire parce qu’à l’heure actuelle, il semblait davantage se préoccuper de son plan plutôt que de moi. C’était tant mieux. Je le regardai alors les sourcils froncés attendant qu’il fasse quelque chose. Je ne savais pas tellement si j’allais attendre qu’il finisse son action et me déchaîner sur lui ou bien si je commençais déjà par cette étape là. J’étais en colère certes mais j’étais également très curieuse. J’avais croisé de nombreux nécros ces derniers temps et à chaque fois j’en étais ressortie pleine d’enseignements. Viktor avait cette capacité de faire toutes sortes de potions toutes aussi merveilleuses que dangereuses et Issui, lui s’était transformé en une espèce de Hulk. Oh et avec une de ses potions j’avais également détruit la moitié de son appartement. Dans tous les cas, côtoyer des nécromanciens n’était pas sécurisant mais au moins j’étais davantage formée.

Je n’avais aucune idée des pouvoirs du jeune homme et ma curiosité finit par gagner. J’attendrai qu’il s’exécute. Je le regardai alors à nouveau fixement, patientant.

- "Ma petite, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat."

Et voila, il me remit en colère en quelques secondes. Je voulu parler mais il agit avant. Je ne compris pas exactement ce qu’il se passait mais en un rien de temps des dizaines de morceaux de papier virevoltaient au dessus de nous. J’étais abasourdie par ce spectacle. Ce n’était que quelques morceaux de feuilles arrachées, rien d’autre mais c’était magnifique. La scène en elle-même était magnifique.
J’étais là, dans cette immense salle remplie d’arbres et de fleurs, les yeux vers ce plafond qui nous servait de ciel et je regardais, je regardais avec tout l’émerveillement possible ce qu’il se passait autour de moi. Et il gâcha tout.

- "Si tu restes ici, tu deviens ma complice. Alors, tu devrais juste filer prévenir la sécurité ou assumer ton rôle ! Moi, j’ai du boulot, comme tu le vois."

Mon rôle ? Mon rôle ? Il m’énervait mais d’une telle force. J’avais simplement envie de le gifler pour le remettre à sa place. Cela faisait longtemps que je n’étais pas entrée dans une telle colère. Ce n’était pas grand chose mais le manque de respect me mettait toujours si hors de moi. Il ne fallait pas que je le frappe parce que clairement, j’aurai pu lui faire mal. Alors j’essayai de me contenir un peu. Je sentais mon corps se réchauffer. Pas seulement mes mains, non tout mon corps.

- "Je vais te.. "

Oh il me faisait rager mais à un point. Mes mains se mirent à briller. Intensément. Je sentais cette force en moi, celle que j’avais délaissé pendant tant de semaines. Je sentais ce pouvoir, cette magie circuler dans mes veines. Je rageais. Mais tellement. Un halo de lumière s’empara de mon corps et la multitude de papier qui tournait autour de moi commença à se rapprocher. Certains me frôlèrent et changèrent de couleur pour devenir d’un pourpre intense, d’autres s’étaient éclipsés à l’autre bout de la pièce. Mais ceux qui m’avaient touché, ceux-là.. et bien étrangement je les sentais connectés à moi. Étrangement je n’avais qu’un envie, les renvoyer à leur expéditeur.
D’un geste de bras ceux-ci changèrent alors de cible pour se jeter sur l’homme au bonnet vert. Il se fit rapidement prendre à son propre piège. Je regardai la scène avec un rictus sur les lèvres. Et très vite cette réalité me rattrapa. Je sortis instantanément de ce rêve tout aussi véritable que l’était ma mort et compris alors que ce que je venais faire allait être difficile à gérer.

J’avais clairement la capacité de contrôler les émotions et là, maintenant, je venais sans doute de les transposer ailleurs, de les transposer sur ce qui venait d’attaquer le nécromancien. Il allait être touché par tous ces sentiments, par tout ce que j’avais mis sur ces papiers volants. Je ne savais pas ce qui allait se passer à présent, pas exactement ; la seule chose que j’espérais au fond de moi, c’est que parmi toute cette colère, mes pouvoirs aient pu déceler et transposer autre chose que de la haine.
Je fis un pas en arrière, le visage crispé. J’étais dans la merde.

© PRIDE
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Pom Warren
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#5
Terminé16.03.17 3:32
Pile : Contrôlé
Face : Non contrôlé

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Maîtresse de la mort
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La Faucheuse
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#6
Terminé16.03.17 3:32
Le membre 'Pom Warren' a effectué l'action suivante : laisser faire le hasard


'PILE OU FACE' :
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Pom Warren
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#7
Terminé16.03.17 4:14

Ma fumée de paumé,



elle la transformé en flamme.


Une flèche  tirée sans être prévenu qui le transperce, une balle de revolver, un impact. Une violence. Une furie. Une colère. Le rire de la cascade s’est éteint et la cascade s’est enflammée. Les poings se serrent. Il va la fracasser ! Lui casser sa jolie petite gueule !

Les yeux de Pom s’écarquillent comme jamais auparavant. Rouge. Rouge colère. Rouge furie. Rouge.





Inspire Pom.





Expire Pom.




Un battement de cœur vient d’être loupé. Un battement des paupières aussi. La colère vrille, autour de lui, autour d’elle, dans cette forêt d’archive. Vide. Plein. Emotion. Empathie. C’est une nécromancienne. Pas n’importe quelle nécromancienne.




Jamais auparavant Pom n’avait rencontré une autre personne douée pour manipuler les sentiments comme lui. Il a déjà rencontré quelqu’un capable de convaincre par la parole, un manipulateur de réalité et bien d’autres nécromanciens. Pas quelqu’un pouvant manipuler les émotions. Déjà car son pouvoir était souvent la conséquence de mort prématurée chez les spectres. Il était hypersensible : il ressentait chaque émotion avant de pouvoir les transférer.

Il ne sait pas si elle est comme lui. Si elle voit des couleurs en permanence. Si elle ressent les émotions des gens. Il ne sait pas. Il sait juste qu’à cet instant : à cette seconde, à cette petite millième de seconde, il est connecté à elle. Elle est connectée à lui. L’émotion qu’elle ressent, elle lui rejette et lui-même fait de même. C’est deux miroirs qui se font face. C’est deux pouvoirs qui s’amplifient par leurs simples connexions.

Elle ne ressent peut-être pas les émotions ; il ne sait pas. Mais elle peut les contrôler.

Les morceaux de papier semblent flamber. Des flammes, un feu brûlant.

Que vient-elle de faire ?


Et la colère sourde vrille ses tempes. La colère violente, la colère vibrante. Il a avancé des pas les séparant, les morceaux de papiers rougies de flammes dansent autour d’eux, les enrobent, semblent incapables de choisir un camp. Il va la tuer !

Il est furieux. Pom n’est jamais en colère. Jamais. Pas même quand l’inconnu du Quai l’a frappé au sol et qu’il a été ridiculisé. Même pas en voyant les gens le filmer. Ou à l’idée d’être sur les réseaux sociaux quelques parts. Cette émotion, Pom l’empêche. Elle est comme la tristesse. Il l’évite, l’envoie ailleurs. Il ne l’a ainsi jamais vraiment totalement ressenti. Jamais sans le rire qu’il s’oblige à récupérer en permanence. Il est exaspéré, agacé, ennuyé, il râle ! Mais il n'est pas furieux !

La colère, là, il ne peut la contrôler …  

JE PEUX. Je ne suis pas faible, se murmure-t-il, alors qu’il tend la main pour attraper Ael par les cheveux. Son geste, il l’arrête, confus : si tu frappes, elle gagne !

« … Petite idiote. » Bafouille-t-il, alors que sa main se tendit pour recevoir la colère dans sa paume. Celle qu’il sent en Ael, la sienne. Rapidement, ses mains font un moulinet dans l’air, vont rapidement puis de plus en plus lentement. Jusqu’à s’arrêter. Alors, il serre cette boule colorée que d’habitude personne ne voit et la remue, légèrement, en change les couleurs.

La multitude de papillons vrillant d’un rouge vif se changa en une flamme vibrante. L’émotion devint une petite fumée dans une unique main. L’action est rapide et avec cette même rapidité Pom à envoyer l’émotion à Ael : laissant ce rire s’imprégner dans le corps de la demoiselle.

Ael contrôle les flammes, Pom contrôle la fumée.

Les lépidoptères ressemblent désormais à des oiseaux de papier et virent d’un orange plus doux. Un orange qui se retourna en direction d’Ael, un rire doux, une joie intense. Pom lui renvoie le ballon, il lui renvoie l’émotion. Il lui renvoie son trouble et ses questions.

L’intensité de l’action le laisserait presque à bout de souffle, il tend sa main gauche, attrape l’un des morceaux de papier, il le laisse se poser sur lui. Cette enfant est complémentaire à lui. Elle peut attraper l’émotion qu’il créé. Il lui donne sa joie, il transforme sa colère mais elle peut changer en un instant les émotions qu’il fabrique.

Elle est dangereuse. Pom doit sans cesse contrôler son pouvoir, il doit se droguer pour le calmer. Il doit s’empêcher de contaminer tout le monde ou de laisser des émotions – les siennes – le faire mal agir. En une seconde, il pourrait devenir un monstre rendant les gens malheureux, heureux, amoureux. En quelques secondes, il pourrait faire du mal.

Elle aussi.

«  … »

Il demeure immobile, intrigué, curieux. Il ne bouge pas, ses yeux vrillant de la même couleur que les morceaux de papier. Il l’observe. Qu’est-ce qui vient de se passer ? Il ressentirait presque le cœur de l’autre dans le sien. Il a presque l’impression qu’Ael peut être en lui et qu’il pourrait s’il osait rentrer en elle. L’orange se mélange des papillons jaunes qui se créent, une émotion provenant de Pom qu’Ael doit désormais ressentir. De la curiosité et l’incompréhension.

Il y a des êtres qui ne doivent jamais se rencontrer.

« T’es bel et bien ma complice. »  

Il rit, il rit. Il est curieux. Mais les petites tâches bleues qui viennent perler autour d’eux, bleues et vertes, signifient autre chose : il flippe. Il ne réalise pas la chance qu’il a de porter des mitaines. Il ne réalise pas le danger si un contact physique avait eu lieu. Il ne réalise même pas à quel point la verdure autour d’eux s’est illuminé de leurs couleurs, s’activant de leurs émotions, et à quel point ils ont manqué de mettre le feu aux archives. Pom ne réalise rien qu’un fait :

Elle l’a contaminé. Elle a créé une lumière d’émotion venue de nulle part. Cette émotion n’existait pas : avant d’être dans les mains de cette femme.

« … Partez, mademoiselle. »

Il fait demi-tour, immédiatement, retourne vers son sac pour y ranger ses affaires. Il doit fuir, tout simplement ! Ils sont un danger public dans la même pièce et s’ils ne voulaient pas créer un pouvoir unique, sans le faire exprès, s’il ne voulait pas contaminer l’ensemble des habitants de ce sous-sol, ou d’ailleurs, ils ne devaient pas se côtoyaient.

Le souffle est court, il sent sa main trembler alors qu’il récupère son feutre noir. Il était un danger pour elle.

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Anonymous
Ael Shanks
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#8
Terminé16.03.17 21:01


Ael x Pom
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Qu’avais-je donc fait ? Encore une fois, encore une fois je n’avais pas su me contrôler. J’étais totalement impuissante face à eux, face à ces pouvoirs qui finalement me rongeaient plus qu’autre chose. J’avais promis de faire attention et en quelques secondes j’avais tout abandonné. Je ne sais pas pourquoi je me sentais si faible près de lui. Il y avait quelque chose, une sensation, qui me faisait perdre le contrôle. J’avais déjà été en colère, j’avais déjà ressenti des émotions fortes, surtout ces derniers temps mais jamais à ce point. Jamais mon corps n’avait réagit de la sorte. Étais-je condamnée à transmettre tout ce que je ressens aux autres à la montre faiblesse de ma part ? Serais-je obligée de vivre comme ça ? Sans aucun contrôle sur ma vie ? Sur mes choix ? Je ne voulais pas de cette vie là et pourtant j’étais là, devant lui, pétrifiée de ne pas savoir quoi faire, de ne pas être capable d’arranger quoi que ce soit.

Et je le voyais s’énerver, encore et encore. Pourquoi étais-je si douée dans mes sorts ? Pourquoi ne m’étais-je pas trompée ? Non j’avais réussi à foutre ce bordel de sentiments sur ces foutus morceaux de papier et maintenant c’était lui qui ressentait toute ma colère, tous mes doutes.
Mon coeur se serra. Il battait fort, trop fort. Je ressentais encore et encore et j’en avais mal, j’en tremblais.

Tout s’agitait autour de nous. Cette belle pièce douce et si vivante venait de s’embraser, littéralement. Je me haïssais davantage et il devait s’en doute ressentir la même chose. J’étais si en colère, si furieuse contre lui, contre moi. Et j’avais peur, j’avais si peur en vrai, de lui faire du mal. Je serrai les poings, essayant de me calme, mais rien à faire ma colère l’avait alimenté et maintenant c’était à son tour de m’alimenter. Je n’étais pas assez forte pour tenir tête à mon propre pouvoir. Tellement pas.

Alors il s’avança vers moi, furieux comme jamais, il s’avança prêt à me frapper ? Oui. C’était peut-être la solution. M’assommer pour que tout se calme. Il ne le fit pas. Pourquoi ? Non fais le, fais le, fais le.

- "… Petite idiote."

Je ne compris pas ce qui se passa par la suite. Décidément avec lui ça en devenait une habitude.
Je ne voyais que des arabesques dans ses gestes puis de la fumée, beaucoup de fumée qui m’entourait et me frappait en pleine face. Puis du orange partout, du papier partout. Je reculai un peu et sentis mon corps devenir entièrement vide. Et puis une explosion retentit en moi, un rictus, un sourire, puis la joie. J’étais apaisée, j’avais une telle envie de rire, une tellement envie de farce, une telle envie d’aller le taquiner. À nouveau j’étais vide, en colère. Comment osait-il me manipuler comme ça ? Oh je venais de faire la même chose. Puis ce rire à nouveau en moi, cette colère, ce rire, cette colère, la joie, la haine. Ma tête tournait si vite et tout s’arrêta d’un coup. Je ne ressentais enfin plus rien. Comme un bug dans le système, dans la faille, j’étais contaminée par un virus qui venait d’anéantir mes émotions. Enfin.

Je le regardai, il faisait la même chose. On se fixait sans un mot entourés par le restant de flamme et de fumée. Je me sentais si reliée à lui. Nous semblions si similaires finalement. Le orange vira au jaune, mon impassibilité devint curiosité. Que s’était-il passé ici ?

- "T’es bel et bien ma complice."

Alors il se mit à rire et je ris aussi. Étais-je obligée de faire la même chose que lui ? Oh mon dieu il m’avait totalement déréglé. Il fallait que je me contrôle. Je soufflais un peu, riais encore parfois, soufflais à nouveau.

- " … Partez, mademoiselle."

Je ne riais plus. Il partait, clairement il partait me laissant, là, toute seule, dans cette incompréhension la plus totale et dans ce gros bordel qu’il avait mit un peu plus tôt. Je n’allais sûrement pas assumer ses erreurs et ses jeux d’insouciant. J’étais tellement obnubilée par son départ que je ne faisais pas attention à tout ce qu’il se passait ici. J’étais perdue et ma poitrine me faisait si mal. Qu’était-il en train de m’arriver ?

- "Ne.. Ne pars pas" chuchotai-je.

Il ne devait pas m’avoir entendu car il récupéra ses affaires et semblait bien décidé à partir. Non ne pars pas s’il te plait. Je le voyais aussi perdu que moi. Je le sentais encore dans mon sang. Étions-nous si connectés que ça ? Je ne voulais pas me laisser emporter par cette curiosité mais elle était plus forte que moi, encore une fois. Alors je m’avançai vers lui, doucement ? Vite ? Je n’en savais trop rien, tout était confus.

Je venais de rencontrer mon double, ou du moins un semblant de mon double. Je voulais le connaitre, il voulait fuir. J’étais débutante dans mon domaine et pourtant si dangereuse en vrai. Dangereuse parce que je savais que ma force était incroyable, dangereuse parce que je n’en avais aucun contrôle. Mais lui semblait être capable de me contrôler, de se contrôler. Enfin, il venait tout de même de transformer ma colère en rire, de calmer cette situation qui avait dégénéré à cause de moi. C’était la première fois que j’étais à la fois apeurée et rassurée. Tout se mélangeait encore et il ne devait surtout pas partir.

- "Attends !"

Un cris de détresse raisonna dans la pièce.

Pile :


Face :


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Maîtresse de la mort
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La Faucheuse
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#9
Terminé16.03.17 21:01
Le membre 'Ael Shanks' a effectué l'action suivante : laisser faire le hasard


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#10
Terminé17.03.17 2:10
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