at least when you meet your end, you will be graced with my presence
_Grim
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Identité
Nom : Natsumi • 夏生
Prénom : Ren • れん
Date de naissance : 22/01/2000
Date de mort : 17/08/2024
Origine(s) : Japonais
Langues parlées :
[ X ] Anglais • couramment
[ X ] Japonais • langue maternelle
[ ] Autre(s) : __________
Race : Poltergeist
Personnage de l'avatar : Ren • de moi
Prénom : Ren • れん
Date de naissance : 22/01/2000
Date de mort : 17/08/2024
Origine(s) : Japonais
Langues parlées :
[ X ] Anglais • couramment
[ X ] Japonais • langue maternelle
[ ] Autre(s) : __________
Race : Poltergeist
Personnage de l'avatar : Ren • de moi
Description physique
Couleur de peau :
mort pâle
Couleur des cheveux :
noir jais
Longueur des cheveux :
mi-long, nuque, dégradé
Couleur des yeux :
effet secondaire de la potion pour le polissage : de l'extérieur vers l'intérieur, bleu foncé, bleu clair, jaune, marron
Corpulence :
morphologie en V, sec comme un hareng
Taille :
1m73
Style vestimentaire :
emo casu, t-shirts tombants, pantalons amples variés, favorise bijoux noirs ou en argent, vernis à ongles noir, porte parfois une pierre en pendentif selon ses besoins du moment
Habitudes :
se ronge les doigts et les lèvres (sèches), se frotte l'arrière du crâne dans une situation sociale ou quand il est concentré, se balade souvent avec un Walkman, dort nu et au milieu du lit (pas assez de place pour son ego)
Autre :
veines saillantes, effet secondaire du remède pour le polissage : rouge sous les yeux
Petit texte :
Ren est un fantôme, parmi les vivants comme les morts.
Dans les rues animées de Tokyo, il n'était qu'une ombre, encapuchonnée, tête baissée, dos voûté, poches fourrées de mains crispées, se frayant un chemin au milieu d'une mer de corps tout aussi sombre. Mais il était l'Ombre des ombres, l'incarnation même du “tu ne veux pas me connaître, ni me toucher, ni me voir, ni même reconnaître mon existence”, il n'avait besoin d'aucun autre déguisement, il devait simplement être et se laisser guider par ses égoïstes pulsions. Il ne coupait pas ses cheveux que lorsqu'ils glissaient de derrière ses oreilles pour se prendre dans ses cils trop longs à son goût. Les trous dans ses vêtements ne le dérangeaient pas, ils l'amusaient parfois, une nouvelle occasion de déchirer davantage ce pantalon qu'il gardait depuis le lycée, et lorsqu'ils devenaient trop grands, quelques anneaux suffisaient à faire tenir le presque lambeau de tissu. Il avait néanmoins une petite extravagance : il se peignait les ongles en noir, tentative vaine pour le décourager de se les ronger et aussi, il l'admettait sans rougir, par flemme de se les couper régulièrement. Il avait cette tendance à sublimer et de faire tout ce qui le desservait en choix esthétique. Il appelait ce phénomène “dénaturé par nature” et ne cherchait pas vraiment à en faire sens, parce qu'il n'avait pas besoin de l'expliquer. Il aurait bien voulu croire qu'il se fichait pas mal de son apparence, mais il manquait cette innée capacité que certains ont à pouvoir se mentir à eux-mêmes. Ren considérait son corps physique composé de 1% ce qu'il voyait, 49% ce qu'il ne pouvait pas voir et 50% sa voix. Sa voix était son pouvoir, son arme, et parfois même son amour. Il aime s'entendre, l'entendre, chanter, hurler, bruiter, chuchoter, racler, haleter, lui échapper, être son propre être fait d'air. Un air précieux.
De son corps, il a gardé ses cheveux, ses sourcils épais, ses longs cils, son nez enfantin, son sourire narquois. Mais, le plus important est qu'il ait gardé sa voix, bien sûr. Ren reste Ren, la Mort n'a pas réussi à lui arracher son identité, et il l'aimait pour ça. En échange, Elle lui a pris l'ombre sous son regard, la fardant d'un rouge vif qui attire l'oeil. Et le pire est le vide infini de ses yeux, il est persuadé que le Roi devait le jalouser, c'est la seule explication qu'il ait trouvé pour que ces couleurs se retrouvent là, jurant contre le naturel noir et blanc. Ren a passé 24 ans à étouffer sa soif de vie, et voilà qu'elle lui revient en pleine face. La vérité est qu'il s'agit d'un effet secondaire d'un remède contre le polissage.
mort pâle
Couleur des cheveux :
noir jais
Longueur des cheveux :
mi-long, nuque, dégradé
Couleur des yeux :
effet secondaire de la potion pour le polissage : de l'extérieur vers l'intérieur, bleu foncé, bleu clair, jaune, marron
Corpulence :
morphologie en V, sec comme un hareng
Taille :
1m73
Style vestimentaire :
emo casu, t-shirts tombants, pantalons amples variés, favorise bijoux noirs ou en argent, vernis à ongles noir, porte parfois une pierre en pendentif selon ses besoins du moment
Habitudes :
se ronge les doigts et les lèvres (sèches), se frotte l'arrière du crâne dans une situation sociale ou quand il est concentré, se balade souvent avec un Walkman, dort nu et au milieu du lit (pas assez de place pour son ego)
Autre :
veines saillantes, effet secondaire du remède pour le polissage : rouge sous les yeux
Petit texte :
Ren est un fantôme, parmi les vivants comme les morts.
Dans les rues animées de Tokyo, il n'était qu'une ombre, encapuchonnée, tête baissée, dos voûté, poches fourrées de mains crispées, se frayant un chemin au milieu d'une mer de corps tout aussi sombre. Mais il était l'Ombre des ombres, l'incarnation même du “tu ne veux pas me connaître, ni me toucher, ni me voir, ni même reconnaître mon existence”, il n'avait besoin d'aucun autre déguisement, il devait simplement être et se laisser guider par ses égoïstes pulsions. Il ne coupait pas ses cheveux que lorsqu'ils glissaient de derrière ses oreilles pour se prendre dans ses cils trop longs à son goût. Les trous dans ses vêtements ne le dérangeaient pas, ils l'amusaient parfois, une nouvelle occasion de déchirer davantage ce pantalon qu'il gardait depuis le lycée, et lorsqu'ils devenaient trop grands, quelques anneaux suffisaient à faire tenir le presque lambeau de tissu. Il avait néanmoins une petite extravagance : il se peignait les ongles en noir, tentative vaine pour le décourager de se les ronger et aussi, il l'admettait sans rougir, par flemme de se les couper régulièrement. Il avait cette tendance à sublimer et de faire tout ce qui le desservait en choix esthétique. Il appelait ce phénomène “dénaturé par nature” et ne cherchait pas vraiment à en faire sens, parce qu'il n'avait pas besoin de l'expliquer. Il aurait bien voulu croire qu'il se fichait pas mal de son apparence, mais il manquait cette innée capacité que certains ont à pouvoir se mentir à eux-mêmes. Ren considérait son corps physique composé de 1% ce qu'il voyait, 49% ce qu'il ne pouvait pas voir et 50% sa voix. Sa voix était son pouvoir, son arme, et parfois même son amour. Il aime s'entendre, l'entendre, chanter, hurler, bruiter, chuchoter, racler, haleter, lui échapper, être son propre être fait d'air. Un air précieux.
De son corps, il a gardé ses cheveux, ses sourcils épais, ses longs cils, son nez enfantin, son sourire narquois. Mais, le plus important est qu'il ait gardé sa voix, bien sûr. Ren reste Ren, la Mort n'a pas réussi à lui arracher son identité, et il l'aimait pour ça. En échange, Elle lui a pris l'ombre sous son regard, la fardant d'un rouge vif qui attire l'oeil. Et le pire est le vide infini de ses yeux, il est persuadé que le Roi devait le jalouser, c'est la seule explication qu'il ait trouvé pour que ces couleurs se retrouvent là, jurant contre le naturel noir et blanc. Ren a passé 24 ans à étouffer sa soif de vie, et voilà qu'elle lui revient en pleine face. La vérité est qu'il s'agit d'un effet secondaire d'un remède contre le polissage.
Précisions
Périsprit • cassettes audio
Mort • Méningite
Occupation • employé à Burger Corpse, chaîne de restauration rapide équivalent à Burger King
Hobbies • karaoke, doublage, truc d'utaite, collecter des objects rétro pour enregister ou écouter de la musique, horreur (films, jeux vidéos, podcasts...)
Autre • supporte très mal trop de lumen ou de décibel, nul pour les tâches ménagères, sait coudre, prend extrêmement soin de sa voix, pas pudique, dort comme une tombe quand il n'a pas de cauchemar, couche-tard, a eu le polissage
Mort • Méningite
Occupation • employé à Burger Corpse, chaîne de restauration rapide équivalent à Burger King
Hobbies • karaoke, doublage, truc d'utaite, collecter des objects rétro pour enregister ou écouter de la musique, horreur (films, jeux vidéos, podcasts...)
Autre • supporte très mal trop de lumen ou de décibel, nul pour les tâches ménagères, sait coudre, prend extrêmement soin de sa voix, pas pudique, dort comme une tombe quand il n'a pas de cauchemar, couche-tard, a eu le polissage
Caractère
SARCASME
HUMOUR NOIR
IRONIE
INSOLENT
FRANC
CAUCHEMARS
FATIGUÉ
FIER
EGOCENTRÉ
DEPERSONNALISATION
CRISES EXISTENTIELLES
Mais de quoi tu parles ?! T'es mort. Tu n'existes plus, tu n'es plus rien. Tu peux crier tant que tu le veux, ça ne fera pas de toi quelqu'un de moins mort. C'est pas en réveillant les voisins avec tes chansons d'ado rebel aux idées noires que tu vas retrouver ta vie d'avant. Peut-être même que ce que tu considères comme « ta vie » et tes souvenirs, ce n'est qu'un long rêve très détaillé, un bug dans la matrice de ton cerveau qui a dû dysfonctionner. Peut-être même que tu n'existais pas plus que maintenant, un jour t'as simplement ouvert les yeux avec cette fausse connaissance de ta mort. Mais si t'as pas vraiment vécu, alors t'es pas vraiment mort... ? Tu ne supportes pas d'être vu comme un menteur, toujours propre à lui-même, mais tu te mens à toi-même. Tu prends les autres de haut, mais t'es rien sans eux, parce que ton mirroir ne t'aide pas à comprendre ce que tu es. Essaies de les prendre au sérieux. Tu penses pouvoir dominer la mort en en riant, tu joues les bouffons pour oublier d'y penser, mais tu cries au lieu de chanter, tu cries dans ton sommeil. Mais pourquoi t'as peur de ton oreiller ? T'as peur d'une vilaine migraine ? Peut-être que tu devrais arrêter de me briser les tympans et dormir comme un mort. T'aurais moins l'air d'un zombie.
Je t'ennuie ? Je pensais qu'on avait l'éternité devant nous ?
Histoire
tw - maladie, procédure médicale, erreur médicale, négligence sur enfant
AVANT
Ses parents étaient peu présents, ils travaillent comme des démons pour satisfaire leur patron. Ren eut une enfance libre, sans règle et se forgea seul une identité questionable. Il développa très jeune de sales habitudes. Se coucher tard, manger ses prêts préparés, grignoter des cochoncetés, sortir avec ses amis faire les cons, se mettre à dos le voisinage... Sans être un petit voyou, il avait la réputation d'être le sale gosse sans manière du quartier. Ses parents, coupables de ne pas se montrer davantage présents dans son éducation, lui pardonnaient la plupart de ses fautes.
À l'école, il ne faisait pas parti du groupe des populaires, rien qu'un gosse moyen avec des centres d'intérêts communs aux garçons de son âge. Jusqu'à ce qu'il finisse sa mue au lycée. Les élèves de sa classe commencèrent peu à peu à tendre l'oreille lorsqu'il était interrogé. Sa voix devint son plus précieux atout. Un jour, ses amis plaisantèrent en le comparant à un seiyuu, ce qu'il prit comme un compliment et en fit un objectif.
Dès lors, il s'entraînait à faire des impressions, il passait beaucoup de temps à s'entraîner avec un dictaphone de l'âge de pierre et achetait des cassettes audio de seiyuu vendues à divers évènements. Il ne ratait pas une occasion de rejoindre un karaoke, car le bruit courrait que chanter augmentait ses chances. Il fut refusé de nombreuses fois à l'école de seiyuu, alors il travaillait à mi-temps dans un kombini, ses parents étaient affligés par son manque d'ambition et lorsqu'il atteignit 24 ans, ils lui furent gentiment comprendre qu'il était temps pour lui de quitter la maison familiale et de trouver sa place dans le monde. Il travailla alors à temps plein au kombini qui l'embauchait depuis plusieurs années. Il donna son Line à deux clientes qui lui proposèrent un gokon au karaoké, et il eut une brève relation avec l'un d'elle, il n'avait développé aucun sentiment pour elle avec le temps et avait fini par mettre fin à la relation et se consacrer davantage à ses enregistrements. Les priorités... Il avait récemment fait son entrée dans le monde des Utaite, uploadant des enregistrements sur nico nico puis sur youtube, dans l'optique de se faire remarquer par une agence de seiyuu. Malheureusement, son nombre de followers ne grandissait pas aussi rapidement qu'il l'avait espéré et dût cumuler plusieurs petits boulots en plus du kombini pour payer les factures, qui ne faisaient que gonfler depuis quelques années.
Ren pensait qu'il avait la vie devant lui.
MORT • 10 FÉVRIER 2024
Un soir, une migraine lui prit alors qu'il commençait son premier shift dans un karaoke qu'il avait l'habitude de fréquenter. Il avait quitté son travail plus tôt que prévu, disant au revoir à son nouveau contrat au passage. Il était difficile pour lui de trouver le chemin vers son appartement, le tambourinement dans sa tête se faisait de plus en plus violent et ses yeux se troublaient alors qu'il tentait encore de distinguer les nombres éblouissants sur les bus qui défilaient dans les rues. À chaque fois que son épaule heurtait celle d'un passant, un marteau s'abattait dans son crâne, il aurait juré à plusieurs reprises que ce dernier s'était fendu. Puis, la douleur était devenue telle qu'il ne pouvait plus penser à rien. Les lumières et les bruits le rendaient fou, fou de douleur. Le temps n'existait plus, et sa conscience s'effritait petit à petit.
Une femme trébucha sur quelque chose qu'elle ne vit que du coin de l'oeil et tomba. Le téléphone qu'elle tenait à la main n'avait pas survécu à la chute. Lorsqu'elle se retourna, sur le point de faire payer à ce jeune sans-abri de bloquer le trottoir, la scène l'arrêta, interdite. Elle interpella le jeune homme, sans réponse, et se précipita pour l'inspecter. Avec l'aide d'autres passants, il fut porté sur un banc public non loin en attendant l'arrivée des secours.
Ren se souvient des lumières de l'ambulance, de la nuit de Tokyo sous les couleurs du Nouvel An chinois, il se rappela avoir promis à un ami de le rejoindre après le travail, il ne pourrait pas venir malheureusement, tant pis pour lui... Ren se souvient du lit étrange sur lequel il était allongé dans les couloirs bondés de l'hôpital. Il se souvient demander dans une plainte faible et répétée de l'eau, et un refus amer. Ren se souvient des quatres infirmiers le tenant pour lui faire une ponction lombaire alors que l'anesthésiant ne fonctionnait pas et qu'il ne pouvait pas s'empêcher de se redresser violemment chaque fois que la grosse aiguille entrait dans sa chair. Ren se souvient de l'attente, l'attente interminable, l'attente infinie dans ces maudits couloirs blancs. Il avait toujours détesté le blanc. Ren se souvient... Ren ne se souvient plus de rien...
APRÈS
Jusqu'à son réveil.
Ce ne fut que lorsque l'écran montra son corps froid reposant dans le lit d'hôpital, toujours en attente d'être pris en charge, que Ren comprit véritablement ce qu'il se passait. La Faucheuse... Le Roi... Des sans-têtes, des vampires, des femmes-oiseaux... La mort ne ressemblait en rien à ce qu'il avait imaginé. Pas qu'il l'avait beaucoup imaginée à son jeune âge, mais assez pour se poser des questions sur l'après.
Le premier jour, il s'enferma dans sa chambre, dans une des coloc' qu'Azazel lui avait attribué. Il resta près d'une semaine à contempler le plafond blanc et sa mort. Il repensa à ses parents, ses amis et ses rêves. Une infection plus tard, BOOM ! Il avait tout perdu ! Si simple. Alors qu'il avait eu l'impression de commencer enfin sa vie, de travailler enfin vers un futur qu'il se construisait.
Son ventre se mit à gargouiller. Quand il ne pouvait plus s'entendre fulminer, il sortit et vit le monde des morts pour la première fois. Il marcha pour la première fois dans une crotte de chien fantôme et il rit, pour la première fois. La mort n'était qu'une succession de premières expériences, pas si différente de la vie.
Ren se mit à chercher du travail, il enchaîna les petits boulots, se fit virer ou démissionna, dans l'objectif d'économiser pour acheter du matériel d'enregistrement, à commencer par un ordinateur. Ce fut entre deux livraisons de pizza qu'il vit se balader un périsprit pour la première fois. Il ne réalisa pas ce qu'il vit et l'ignora, mais un mois plus tard il reconnut la masse blanche et s'en approcha. Il en était certain, il s'agissait d'une cassette audio, flottant au milieu d'un passage piéton. Ce n'est qu'en interrogeant un passant qu'il entendit le mot « poltergeist » et comprit sa nouvelle nature. Il se mit à collectionner des cassettes, puis des walkman, puis tout objet rétro permettant d'écouter ou enregistrer un son.
Sa chambre devenue un musée et la crasse s'accumulant dans la coloc', il fut viré de l'appartement, mais la vrai raison était que certains le trouvaient un peu louche pour des raisons inconnues. Selon lui, quand il contracta la maladie de polissage et se mit à disparaître peu à peu, les autres devaient penser qu'il se trouvait une excuse pour fuir les corvées, comme s'il avait besoin d'une excuse ! Et lorsqu'il revint un jour avec une couleur d'yeux différent et des marque sous les yeux, ces changements avaient dû s'ajouter à la liste des excentrités qu'il exhibait.
Il fut alors relogé par Azazel. Une nouvelle coloc', un nouveau boulot au Burger Corpse, un nouveau départ. C'était du moins ce que Ren se disait, car il avait presque l'éternité devant lui pour se faire enfin entendre.
Derrière l'écran
Pseudo/prénom : Ren
Âge : 28-29
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