Brisures
Crac. Le son d’un talon de créateur posé sur de la vaisselle brisée.
La créatrice de mode grimaça, puis craignit pour sa chaussure, puis regarda au-delà du premier débris.
Le sol en était jonché, morceaux de céramique et de verre éparpillés dans tout le salon et la cuisine. Ses yeux se portèrent presque automatiquement vers le grand aquarium de l’appartement, mais il était intact, aucune fuite n’était à signaler. Les placards ouverts lui donnèrent son dernier indice : c’était la vaisselle qui se trouvait à ses pieds, en morceaux. Elle n’avait pourtant rien entendu.
Un·e de ses colocataire avait commis cette énorme faute, trop énorme pour être de la maladresse. La Chimère sentit sa gorge gronder en même temps que la colère montait - elle allait être en retard au travail, car il lui fallait absolument tirer cette affaire au clair. Comprendre, trouver un responsable, et quelqu’un pour nettoyer par la même occasion. Shôta, à tous les coups.
« Eh ! » rugit-elle dans la vague direction des chambres à hublots. « Debout ! Venez ici, s’il vous plaît. »
La politesse finale lui arracha les lèvres, mais elle voulait les attirer hors de leurs antres sans les braquer d’office. Il fallait faire preuve de diplomatie. Une compétence qui lui demandait beaucoup de concentration, tout comme celle de retenir son cri. Si tôt le matin… Elle ne tenait pas à passer le reste de sa journée enrouée.
L’agacement lui fit taper du pied, provoquant cliquetis et craquements de verre. Si les brisures coupaient ses Zanotti importées du Monde des Vivant·e·s, elle ne répondrait plus de rien.
La créatrice de mode grimaça, puis craignit pour sa chaussure, puis regarda au-delà du premier débris.
Le sol en était jonché, morceaux de céramique et de verre éparpillés dans tout le salon et la cuisine. Ses yeux se portèrent presque automatiquement vers le grand aquarium de l’appartement, mais il était intact, aucune fuite n’était à signaler. Les placards ouverts lui donnèrent son dernier indice : c’était la vaisselle qui se trouvait à ses pieds, en morceaux. Elle n’avait pourtant rien entendu.
Un·e de ses colocataire avait commis cette énorme faute, trop énorme pour être de la maladresse. La Chimère sentit sa gorge gronder en même temps que la colère montait - elle allait être en retard au travail, car il lui fallait absolument tirer cette affaire au clair. Comprendre, trouver un responsable, et quelqu’un pour nettoyer par la même occasion. Shôta, à tous les coups.
« Eh ! » rugit-elle dans la vague direction des chambres à hublots. « Debout ! Venez ici, s’il vous plaît. »
La politesse finale lui arracha les lèvres, mais elle voulait les attirer hors de leurs antres sans les braquer d’office. Il fallait faire preuve de diplomatie. Une compétence qui lui demandait beaucoup de concentration, tout comme celle de retenir son cri. Si tôt le matin… Elle ne tenait pas à passer le reste de sa journée enrouée.
L’agacement lui fit taper du pied, provoquant cliquetis et craquements de verre. Si les brisures coupaient ses Zanotti importées du Monde des Vivant·e·s, elle ne répondrait plus de rien.
Mila s'apprête à partir au taff et découvre le champ de bataille... Elle appelle "gentiment" ses colocs dans le but de les rouspéter
Je me suis dit que ce serait + sympa de commencer doucement sans qu'il y ait tout de suite les coups sur la porte, j'espère que ça vous va comme début
En passant, je tiens à clarifier que c'est ok de faire court dans vos réponses, surtout comme c'est un rp de coloc avec beaucoup de monde Bref ne vous forcez pas !
Je me suis dit que ce serait + sympa de commencer doucement sans qu'il y ait tout de suite les coups sur la porte, j'espère que ça vous va comme début
En passant, je tiens à clarifier que c'est ok de faire court dans vos réponses, surtout comme c'est un rp de coloc avec beaucoup de monde Bref ne vous forcez pas !