please tell me im a monster
@Polar
@Polar
T’as envoyé un message à Alarick.
Pour t’excuser.
Pour t’expliquer.
Concluant sur un “si tu veux plus me voir, je comprendrai.”
T’as jamais eu de réponse.
Du moins, pour le moment.
T’as bien chialé et t’as toujours la larme à l’oeil quand t’y penses.
Ca aide en rien l’image que tu as de toi-même.
Un monstre.
Mains dans les poches, tu te diriges vers un endroit connu.
Lalaland.
T’as besoin de te confier.
T’as besoin de conseils.
Et vite.
Enfin.
Tu penses juste le laisser tranquille.
A jamais.
Mais t’as quand même besoin d’en parler, pour pas répéter la même erreur.
Maintenant, tu te balades avec mille pilules, au cas où.
Tu te demandes même si tu vas pas arrêter les pilules pour réellement chasser.
Ou juste te rendre à la Camarilla par toi-même.
Quoi qu’il en soit.
Tu t’arrêtes devant le salon de thé.
Pour voir Polar.
Une grande inspiration, tu pousses la porte.
Tu sais que c’est la fin du service.
Tu dois déranger :
« H-Hey… »
Tu tentes un sourire.
Il tremble violemment.
T’as déjà envie de pleurer.
Tu essuies tes yeux.
Pas ici.
Pas maintenant.
Et puis-
Tu mérites pas de pleurer.
Car c’est toi le coupable.
Le bourreau.
T’es pas la victime, Zech.
Alors te comporte pas comme tel.
Pour t’excuser.
Pour t’expliquer.
Concluant sur un “si tu veux plus me voir, je comprendrai.”
T’as jamais eu de réponse.
Du moins, pour le moment.
T’as bien chialé et t’as toujours la larme à l’oeil quand t’y penses.
Ca aide en rien l’image que tu as de toi-même.
Un monstre.
Mains dans les poches, tu te diriges vers un endroit connu.
Lalaland.
T’as besoin de te confier.
T’as besoin de conseils.
Et vite.
Enfin.
Tu penses juste le laisser tranquille.
A jamais.
Mais t’as quand même besoin d’en parler, pour pas répéter la même erreur.
Maintenant, tu te balades avec mille pilules, au cas où.
Tu te demandes même si tu vas pas arrêter les pilules pour réellement chasser.
Ou juste te rendre à la Camarilla par toi-même.
Quoi qu’il en soit.
Tu t’arrêtes devant le salon de thé.
Pour voir Polar.
Une grande inspiration, tu pousses la porte.
Tu sais que c’est la fin du service.
Tu dois déranger :
« H-Hey… »
Tu tentes un sourire.
Il tremble violemment.
T’as déjà envie de pleurer.
Tu essuies tes yeux.
Pas ici.
Pas maintenant.
Et puis-
Tu mérites pas de pleurer.
Car c’est toi le coupable.
Le bourreau.
T’es pas la victime, Zech.
Alors te comporte pas comme tel.