wagon on firehaha, i'm in danger.
Application de rencontre activée.
Zelda n’a jamais utilisé telle application.
Enfin, hors période maniaque.
Elle remarque que ses épisodes sont bien plus attenués depuis qu’elle suit sérieusement son traitement et sa thérapie.
Enfin bref.
Elle surfe sur tunder pour s’occuper et rencontrer des gens.
Ca peut aboutir à une nuit sans lendemain ou une amitié.
Elle s’en fiche un peu, tant qu’elle peut s’amuser.
En tout cas, elle a aujourd’hui matché avec une femme.
Jules.
Elle la trouve mignonne et sympathique.
C’a bien matché entre elles.
Zelda a proposé de sauter le pas et de se rencontrer en vrai.
Elle a accepté.
Après un bon dîner aux chandelles, les deux femmes marchent dans la nuit éclairée par les lampadaires. Zelda rit beaucoup (trop) aux éclats, quels que soient les mots de son date du jour.
Elle oublie parfois que tout le monde n’a pas autant d’énergie qu’elle mais bon, elle se sent à l’aise quoi.
Elles se mettent d’accord que ça va finir chez Jules - après tout, Zelda habite en colocation. Descendant les escaliers jusqu’au métro, leur conversation se termine jamais.
Peut-être parce que la rousse a du mal avec le silence.
Entrant dans le wagon blindé, les deux parviennent à se faufiler.
C’est serré.
Elle essaye de pas trop coller son date mais c’est presque chose perdue avec les bousculades des virages un peu trop violents.
Elle s’excuse en boucle.
A une certaine station, le plus grand monde descend.
Un soupir de soulagement.
Un sourire contrit.
Elle s’assoit et tapote la place à côté d’elle.
A nouveau, Zelda se remet à parler avant d’être interrompue par un freinage abrupt.
Elle fronce les sourcils :
« Ah ouais, il sait pas conduire, c’lui-là… », peste-elle dans sa barbe.
Elle soupire.
Une voix se fait entendre.
Métro.
En panne.
Coincé.
Au milieu d’un tunnel.
Certainement pas le plus rassurant.
Elle retrousse son nez :
« Bon bah- »
Elle sourit maladroitement :
« J’espère que t’es pas claustro’. »
Elle s’avachit un peu plus sur son siège.
Instinctivement, elle sent que ce sera long.
Zelda n’a jamais utilisé telle application.
Enfin, hors période maniaque.
Elle remarque que ses épisodes sont bien plus attenués depuis qu’elle suit sérieusement son traitement et sa thérapie.
Enfin bref.
Elle surfe sur tunder pour s’occuper et rencontrer des gens.
Ca peut aboutir à une nuit sans lendemain ou une amitié.
Elle s’en fiche un peu, tant qu’elle peut s’amuser.
En tout cas, elle a aujourd’hui matché avec une femme.
Jules.
Elle la trouve mignonne et sympathique.
C’a bien matché entre elles.
Zelda a proposé de sauter le pas et de se rencontrer en vrai.
Elle a accepté.
Après un bon dîner aux chandelles, les deux femmes marchent dans la nuit éclairée par les lampadaires. Zelda rit beaucoup (trop) aux éclats, quels que soient les mots de son date du jour.
Elle oublie parfois que tout le monde n’a pas autant d’énergie qu’elle mais bon, elle se sent à l’aise quoi.
Elles se mettent d’accord que ça va finir chez Jules - après tout, Zelda habite en colocation. Descendant les escaliers jusqu’au métro, leur conversation se termine jamais.
Peut-être parce que la rousse a du mal avec le silence.
Entrant dans le wagon blindé, les deux parviennent à se faufiler.
C’est serré.
Elle essaye de pas trop coller son date mais c’est presque chose perdue avec les bousculades des virages un peu trop violents.
Elle s’excuse en boucle.
A une certaine station, le plus grand monde descend.
Un soupir de soulagement.
Un sourire contrit.
Elle s’assoit et tapote la place à côté d’elle.
A nouveau, Zelda se remet à parler avant d’être interrompue par un freinage abrupt.
Elle fronce les sourcils :
« Ah ouais, il sait pas conduire, c’lui-là… », peste-elle dans sa barbe.
Elle soupire.
Une voix se fait entendre.
Métro.
En panne.
Coincé.
Au milieu d’un tunnel.
Certainement pas le plus rassurant.
Elle retrousse son nez :
« Bon bah- »
Elle sourit maladroitement :
« J’espère que t’es pas claustro’. »
Elle s’avachit un peu plus sur son siège.
Instinctivement, elle sent que ce sera long.