Je te dirais bien d'aller crever, mais c'est déjà fait !
identité
Nom : Inconnu
Prénom : Plume(tte)
Date de naissance : 12/07/1997
Date de mort : 24/05/2022
Nationalité : Japonaise, d'origine japonaise et indienne
Langues parlées :
[X] Anglais.
[X] Japonais.
[X] Autre(s) : Le mensonge.
Race : Chimère - Perruche inséparable + Libellule
Personnage de l'avatar : Tooth Fairy - Aleikats
Prénom : Plume(tte)
Date de naissance : 12/07/1997
Date de mort : 24/05/2022
Nationalité : Japonaise, d'origine japonaise et indienne
Langues parlées :
[X] Anglais.
[X] Japonais.
[X] Autre(s) : Le mensonge.
Race : Chimère - Perruche inséparable + Libellule
Personnage de l'avatar : Tooth Fairy - Aleikats
description physique
Couleur de peau : Mate
Couleur des cheveux : Vert, avec des mèches jaunes qui ressemblent à des plumes
Longueur des cheveux : Longs (milieu du dos)
Couleur des yeux : Noisettes
Corpulence : Aussi fine qu'une brindille
Taille : 1m62
Style vestimentaire : Très coloré
Habitudes : Elle danse partout où elle va.
Autre : Sa peau s'arrête au niveau de son cou et reprend à ses mains et ses chevilles. Le reste est recouvert de plumes verdâtres. Elle a deux ailes transparentes dans le dos, mais elle n'a absolument pas la force de transporter autre chose que des objets...
Couleur des cheveux : Vert, avec des mèches jaunes qui ressemblent à des plumes
Longueur des cheveux : Longs (milieu du dos)
Couleur des yeux : Noisettes
Corpulence : Aussi fine qu'une brindille
Taille : 1m62
Style vestimentaire : Très coloré
Habitudes : Elle danse partout où elle va.
Autre : Sa peau s'arrête au niveau de son cou et reprend à ses mains et ses chevilles. Le reste est recouvert de plumes verdâtres. Elle a deux ailes transparentes dans le dos, mais elle n'a absolument pas la force de transporter autre chose que des objets...
précisions
♡ Amnésique
♡ Groupe sanguin O-
♡ A toujours faim
♡ Adepte des siestes de longue durée
♡ A beaucoup de mal avec les enfants, car elle a à peu près autant de patience qu'eux
♡ Folle des couleurs, plus il y en a, mieux c'est
♡ Artiste dans l'âme, trop dure avec elle-même pour se lancer
♡ Addict au thé glacé
♡ Transformer les gens en chimère ne fait pas partie de ses priorités.
♡ Extrêmement toxique sur les jeux-vidéos compétitifs.
♡ Groupe sanguin O-
♡ A toujours faim
♡ Adepte des siestes de longue durée
♡ A beaucoup de mal avec les enfants, car elle a à peu près autant de patience qu'eux
♡ Folle des couleurs, plus il y en a, mieux c'est
♡ Artiste dans l'âme, trop dure avec elle-même pour se lancer
♡ Addict au thé glacé
♡ Transformer les gens en chimère ne fait pas partie de ses priorités.
♡ Extrêmement toxique sur les jeux-vidéos compétitifs.
Caractère
Capricieuse
Franche
Sensible
Impulsive
Loyale
Derrière toute cette colère envers autrui se cache pourtant une grande sensibilité. Plume n'a aucun souvenir de sa Vie, pourtant elle ressent un grand vide qu'elle y associe sans problème. Persuadée que l'amour et la tendresse lui manquaient, elle n'est pas encore prête à l'admettre à qui que ce soit, encore moins à réclamer ce dont elle aurait tant besoin. Ceux qui ont pris le temps d'apprendre à la connaître savent qu'il n'y a pas plus loyal et fidèle que la chimère et que si besoin se fait ressentir, elle vous défendra corps et âme. Son sourire est contagieux, son rire un vrai rayon de soleil sous une pluie battante, sa bonne humeur miraculeuse, et si vous parvenez à lui faire baisser sa garde, elle vous le rendra au quintuple. Profondément altruiste, Plume lutte contre ses instincts quotidiennement et prodigue de l'aide avant de s'enfuir en courant, ce qui ne facilite pas son intégration. Peut-être qu'ils avaient raison, quand ils disaient qu'il fallait apprendre à s'aimer soi-même avant d'aimer les autres...
histoire
TW Violence & Meurtre
Dire que l'univers n'a pas fait de cadeaux à Plume serait un euphémisme.
Née à Tokyo, Plume est une japonaise de souche aux mœurs bien ancrées et à l'enfance stricte et compliquée. Son père a toujours vécu dans la métropole japonaise avant de rencontrer sa mère indienne. Le coup de foudre entre eux a été instantané et leur union était parfaite, en mettant de côté les problèmes inhérents à sa couleur de peau bien plus foncée que les autres tokyoïtes. Pour compenser cette apparence, sa génitrice avait pris grand soin de s'enfoncer dans les stéréotypes japonais et d'être bien plus stricte qu'elle ne l'aurait du. Si ses parents ne la couvraient pas d'un amour inconditionnel, elle n'irait pas jusqu'à dire qu'ils la maltraitaient. Elle vivait dans un entre milieu étrange et bordélique, qui annonçait finalement plutôt bien ce qu'allait être le reste de sa vie.
Rapidement, tout s'enchaîne et c'est à l'adolescence qu'un pic d'hormones lui donne le courage nécessaire pour envoyer bouler les exigences de sa mère, devenant le cliché de l'enfant ratée refusant d'aller en cours et portant préjudice à la réputation des siens. Son refus de l'autorité lui valut quelques baffes, sans compter de nombreuses insultes que son père disait nécessaires pour "la remettre dans le droit chemin". Si vous demandez à Plume ce qu'elle en pense, tout du moins si elle pouvait s'en souvenir, elle vous dirait sans doute que c'est un ramassis de foutaises et que se barrer était probablement la meilleure idée qu'elle ait eu. Alors, elle est partie.
Le jour du départ, la veille de ses dix-huit ans, elle se sentit pousser des ailes. Ses bagages étaient faits, sa lettre d'adieu posée devant le frigo et ses amis prévenus de son arrivée. Elle allait rester avec eux jusqu'à trouver un endroit où se loger, un emploi durable, une situation stable qui lui permettrait de ne plus jamais remettre un pied chez ses parents. L'idée de quitter Tokyo, voire le Japon tout entier, lui avait bien évidemment traversé l'esprit. Mais elle manquait de moyens, d'ambition. Qu'allait-elle bien pouvoir faire, sans aucun repère ? Car si Plume était une tête brûlée, elle n'en restait pas moins profondément poule mouillée.
Les années passèrent, Plume enchaînant les petits boulots de misère pour payer le loyer de son appartement qui chatouillait les nuages. Travailler au konbini du coin, faire le ménage dans des bureaux d'avocats, être hôtesse de karaoké... Elle possédait un éventail de capacités diverses et variées, pourtant elle n'en faisait rien. Si ce n'est dilapider son salaire dans des soirées, un peu d'alcool et des restaurants au-dessus de ses moyens. Un de ses employeurs tomba amoureux d'elle et lui proposa un mariage qu'elle accepta expressément, ravie de ne plus être seule. Oh, si elle ne l'aimait pas, elle aimait sa sécurité, son portefeuille et son joli minois, à se demander pourquoi il n'avait pas trouvé mieux qu'elle. Il fallait bien que le retour de bâton arrive un jour, et si elle s'y attendait, elle n'aurait sans doute pas pu imaginer à quel point il allait faire mal.
Deux ans de mariage. Deux belles années, comme les proches du couple aimaient le penser. Néanmoins, derrière d'épais murs, la réalité était bien différente. Plume avait appris à connaître son mari, ses qualités, mais surtout ses défauts. Et bon dieu qu'il en avait, à se damner ! Toujours à laisser trainer ses affaires, à lui demander des comptes sur chacune de ses sorties, à fouiller dans son téléphone, à l'accuser de tromperie. Il allait même jusqu'à la suivre à la sortie du travail pour s'assurer qu'elle ne faisait pas de détours... Un vrai taré, comme on en fait plus. Manque de chance pour lui et pour elle, Plume n'avait pas sa langue dans sa poche et ne comptait pas se laisser faire. Les disputes s'enchaînaient, toujours plus violentes les unes que les autres, il en vint aux mains, elle vit l'ombre d'un couteau au-dessus de sa tête et... Trou noir.
Quand Plume rouvrit les yeux, le décor avait changé. Elle pivota sur ses talons lentement, s'apercevant qu'elle n'était pas seule dans ce qui ressemblait à une salle d'attente, et commença à tourner en rond. " On est où ? " "On fait quoi ici ?" " J'ai autre chose à faire moi. " " Y en a qui bossent !". Le temps était long, terriblement long, et son impatience légendaire lui donnait paradoxalement des envies de meurtre. La porte s'ouvrit après une petite demi-heure, ponctuée par un "ah bah enfin" saupoudré d'un lever de sourcil exaspéré. Il n'y avait plus qu'à régler quelques formalités et elle pourrait retourner à sa vie. Qui n'existait plus.
L'air passablement blasée, Plume s'assit devant l'écran, persuadée qu'elle allait encore devoir se manger un documentaire pourri sur le respect d'autrui, gnagnagna... Pourtant, le film lui rappelait étrangement quelque chose. L'appartement dans lequel l'action se passait également. Oh, l'actrice avait le même collier qu'elle ! Hasard de dingue. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, sa gorge se serrant brusquement. C'était elle. Elle était morte. Des mains de cet enfoiré. Un féminicide parmi tant d'autres, après tout, elle ne ferait pas la une des journaux, si tant est que quelqu'un se rende compte de sa disparition.
" Morte, hein ? Boh. Ça me fait une belle jambe. C'est par là, pour partir ? ". Des questions, elle n'en avait pas. A vrai dire, elle ne voulait pas savoir. Elle se leva doucement de sa chaise pour se diriger vers la sortie, n'accordant que peu d'importance à celui.celle qu'on nommait la Grande Faucheuse. Sa main moite, témoignant de la gravité de la situation, glissa sur la poignée et sa démarche confiante chancela. " Quel est mon nom ? ". Elle ne reçut aucune réponse. Soit elle se foutait de sa gueule, soit elle était muette. Dans tous les cas, ça ne faisait pas son affaire. Son dossier était à l'image de sa vie, un foutoir plein de tâches. Il n'était pas surprenant que son nom soit passé à la trappe. Elle haussa les épaules. Quelle importance ? Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle n'accorderait plus jamais sa confiance à un homme, ou à qui que ce soit d'ailleurs.
Cela fait deux ans que Plume est dans le Monde des Mort(e)s. Ce nom, elle n'a commencé à le porter qu'après sa transformation. Avant, elle s'inventait une nouvelle identité à chaque rencontre. Ils étaient morts, autant en profiter, non ?
Elle a très rapidement subi une injection de la part d'une chimère avec laquelle elle a perdu contact aujourd'hui, sa haine du genre masculin ne passant pas inaperçu. Tout s'est passé très rapidement, entre deux insultes sorties de la bouche de Plume contre un énième homme s'étant permis de lui parler plus de dix secondes. Et comme le destin aime décidément se moquer d'elle, elle s'est mêlée à une perruche inséparable. Peu de temps après, à peine le nécessaire pour s'habituer à sa nouvelle apparence, elle en reçut une deuxième qui était cette fois volontaire, lui prodiguant des ailes transparentes dans le dos.
Dans sa coloc et dans la vie, Plumette n'a pas beaucoup d'amis proches et se contente de relations très superficielles. Elle occupe un petit boulot de livreuse, à défaut d'être mouche, car ses bras ne lui permettent pas de porter plus d'une vingtaine de kilos. Parce qu'en plus d'avoir sale caractère, elle devait aussi être faible physiquement. Dans son quotidien, la chimère affiche un large sourire peu importe la situation et paraît aussi fragile qu'une fleur jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche. Peut-être qu'un jour, elle retrouvera goût à la vie... dans la mort.
Dire que l'univers n'a pas fait de cadeaux à Plume serait un euphémisme.
Née à Tokyo, Plume est une japonaise de souche aux mœurs bien ancrées et à l'enfance stricte et compliquée. Son père a toujours vécu dans la métropole japonaise avant de rencontrer sa mère indienne. Le coup de foudre entre eux a été instantané et leur union était parfaite, en mettant de côté les problèmes inhérents à sa couleur de peau bien plus foncée que les autres tokyoïtes. Pour compenser cette apparence, sa génitrice avait pris grand soin de s'enfoncer dans les stéréotypes japonais et d'être bien plus stricte qu'elle ne l'aurait du. Si ses parents ne la couvraient pas d'un amour inconditionnel, elle n'irait pas jusqu'à dire qu'ils la maltraitaient. Elle vivait dans un entre milieu étrange et bordélique, qui annonçait finalement plutôt bien ce qu'allait être le reste de sa vie.
Rapidement, tout s'enchaîne et c'est à l'adolescence qu'un pic d'hormones lui donne le courage nécessaire pour envoyer bouler les exigences de sa mère, devenant le cliché de l'enfant ratée refusant d'aller en cours et portant préjudice à la réputation des siens. Son refus de l'autorité lui valut quelques baffes, sans compter de nombreuses insultes que son père disait nécessaires pour "la remettre dans le droit chemin". Si vous demandez à Plume ce qu'elle en pense, tout du moins si elle pouvait s'en souvenir, elle vous dirait sans doute que c'est un ramassis de foutaises et que se barrer était probablement la meilleure idée qu'elle ait eu. Alors, elle est partie.
Le jour du départ, la veille de ses dix-huit ans, elle se sentit pousser des ailes. Ses bagages étaient faits, sa lettre d'adieu posée devant le frigo et ses amis prévenus de son arrivée. Elle allait rester avec eux jusqu'à trouver un endroit où se loger, un emploi durable, une situation stable qui lui permettrait de ne plus jamais remettre un pied chez ses parents. L'idée de quitter Tokyo, voire le Japon tout entier, lui avait bien évidemment traversé l'esprit. Mais elle manquait de moyens, d'ambition. Qu'allait-elle bien pouvoir faire, sans aucun repère ? Car si Plume était une tête brûlée, elle n'en restait pas moins profondément poule mouillée.
Les années passèrent, Plume enchaînant les petits boulots de misère pour payer le loyer de son appartement qui chatouillait les nuages. Travailler au konbini du coin, faire le ménage dans des bureaux d'avocats, être hôtesse de karaoké... Elle possédait un éventail de capacités diverses et variées, pourtant elle n'en faisait rien. Si ce n'est dilapider son salaire dans des soirées, un peu d'alcool et des restaurants au-dessus de ses moyens. Un de ses employeurs tomba amoureux d'elle et lui proposa un mariage qu'elle accepta expressément, ravie de ne plus être seule. Oh, si elle ne l'aimait pas, elle aimait sa sécurité, son portefeuille et son joli minois, à se demander pourquoi il n'avait pas trouvé mieux qu'elle. Il fallait bien que le retour de bâton arrive un jour, et si elle s'y attendait, elle n'aurait sans doute pas pu imaginer à quel point il allait faire mal.
Deux ans de mariage. Deux belles années, comme les proches du couple aimaient le penser. Néanmoins, derrière d'épais murs, la réalité était bien différente. Plume avait appris à connaître son mari, ses qualités, mais surtout ses défauts. Et bon dieu qu'il en avait, à se damner ! Toujours à laisser trainer ses affaires, à lui demander des comptes sur chacune de ses sorties, à fouiller dans son téléphone, à l'accuser de tromperie. Il allait même jusqu'à la suivre à la sortie du travail pour s'assurer qu'elle ne faisait pas de détours... Un vrai taré, comme on en fait plus. Manque de chance pour lui et pour elle, Plume n'avait pas sa langue dans sa poche et ne comptait pas se laisser faire. Les disputes s'enchaînaient, toujours plus violentes les unes que les autres, il en vint aux mains, elle vit l'ombre d'un couteau au-dessus de sa tête et... Trou noir.
Quand Plume rouvrit les yeux, le décor avait changé. Elle pivota sur ses talons lentement, s'apercevant qu'elle n'était pas seule dans ce qui ressemblait à une salle d'attente, et commença à tourner en rond. " On est où ? " "On fait quoi ici ?" " J'ai autre chose à faire moi. " " Y en a qui bossent !". Le temps était long, terriblement long, et son impatience légendaire lui donnait paradoxalement des envies de meurtre. La porte s'ouvrit après une petite demi-heure, ponctuée par un "ah bah enfin" saupoudré d'un lever de sourcil exaspéré. Il n'y avait plus qu'à régler quelques formalités et elle pourrait retourner à sa vie. Qui n'existait plus.
L'air passablement blasée, Plume s'assit devant l'écran, persuadée qu'elle allait encore devoir se manger un documentaire pourri sur le respect d'autrui, gnagnagna... Pourtant, le film lui rappelait étrangement quelque chose. L'appartement dans lequel l'action se passait également. Oh, l'actrice avait le même collier qu'elle ! Hasard de dingue. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, sa gorge se serrant brusquement. C'était elle. Elle était morte. Des mains de cet enfoiré. Un féminicide parmi tant d'autres, après tout, elle ne ferait pas la une des journaux, si tant est que quelqu'un se rende compte de sa disparition.
" Morte, hein ? Boh. Ça me fait une belle jambe. C'est par là, pour partir ? ". Des questions, elle n'en avait pas. A vrai dire, elle ne voulait pas savoir. Elle se leva doucement de sa chaise pour se diriger vers la sortie, n'accordant que peu d'importance à celui.celle qu'on nommait la Grande Faucheuse. Sa main moite, témoignant de la gravité de la situation, glissa sur la poignée et sa démarche confiante chancela. " Quel est mon nom ? ". Elle ne reçut aucune réponse. Soit elle se foutait de sa gueule, soit elle était muette. Dans tous les cas, ça ne faisait pas son affaire. Son dossier était à l'image de sa vie, un foutoir plein de tâches. Il n'était pas surprenant que son nom soit passé à la trappe. Elle haussa les épaules. Quelle importance ? Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle n'accorderait plus jamais sa confiance à un homme, ou à qui que ce soit d'ailleurs.
Cela fait deux ans que Plume est dans le Monde des Mort(e)s. Ce nom, elle n'a commencé à le porter qu'après sa transformation. Avant, elle s'inventait une nouvelle identité à chaque rencontre. Ils étaient morts, autant en profiter, non ?
Elle a très rapidement subi une injection de la part d'une chimère avec laquelle elle a perdu contact aujourd'hui, sa haine du genre masculin ne passant pas inaperçu. Tout s'est passé très rapidement, entre deux insultes sorties de la bouche de Plume contre un énième homme s'étant permis de lui parler plus de dix secondes. Et comme le destin aime décidément se moquer d'elle, elle s'est mêlée à une perruche inséparable. Peu de temps après, à peine le nécessaire pour s'habituer à sa nouvelle apparence, elle en reçut une deuxième qui était cette fois volontaire, lui prodiguant des ailes transparentes dans le dos.
Dans sa coloc et dans la vie, Plumette n'a pas beaucoup d'amis proches et se contente de relations très superficielles. Elle occupe un petit boulot de livreuse, à défaut d'être mouche, car ses bras ne lui permettent pas de porter plus d'une vingtaine de kilos. Parce qu'en plus d'avoir sale caractère, elle devait aussi être faible physiquement. Dans son quotidien, la chimère affiche un large sourire peu importe la situation et paraît aussi fragile qu'une fleur jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche. Peut-être qu'un jour, elle retrouvera goût à la vie... dans la mort.
derrière l'écran
Prénom/surnom : On m'appelle l'ovni Med' !
Age : 26 ans
Comment t'es arrivé sur PaB ? Je suis dans l'administration d'un de vos partenaires, eh oui... J'avais dit que j'allais craquer !
Le smiley que tu préfères ici ?
Tu voudrais être rajouté à une coloc ? [X] Oui [ ] Non - explications ici
Age : 26 ans
Comment t'es arrivé sur PaB ? Je suis dans l'administration d'un de vos partenaires, eh oui... J'avais dit que j'allais craquer !
Le smiley que tu préfères ici ?
Tu voudrais être rajouté à une coloc ? [X] Oui [ ] Non - explications ici