I understood I was society's trash, but-
identité
Nom : Tanaka (Sasaki)
Prénom : Yumi (Yumiko)
Date de naissance : 05/05/1960
Date de mort : 11/01/1977
Nationalité : Japonaise
Langues parlées :
[X] Anglais (elle est nulle)
[X] Japonais (native)
[X] Autre(s) : Vietnamien (native)
Race : Poltergeist
Personnage de l'avatar : Satsuki Kiryūin - Kill la Kill
Prénom : Yumi (Yumiko)
Date de naissance : 05/05/1960
Date de mort : 11/01/1977
Nationalité : Japonaise
Langues parlées :
[X] Anglais (elle est nulle)
[X] Japonais (native)
[X] Autre(s) : Vietnamien (native)
Race : Poltergeist
Personnage de l'avatar : Satsuki Kiryūin - Kill la Kill
description physique
Couleur de peau : Teint asiatique pâle, plus souvent éclairé par les néons de Kabukicho que par le soleil. Elle prend pourtant une belle couleur cuivrée quand elle bronze grâce à quelques jobs d'été en plein air.
Couleur des cheveux : Aile de corbeau, c'est plus classe que juste dire "noirs". Ironiquement, il lui arrive de les teindre pour copier sa pigmentation naturelle, lorsqu'elle porte une bague chimérisante qui les colore d'un bleu-violet qu'elle juge immonde. Selon la qualité des potions, ils conservent parfois des reflets ou demeurent plus proches de l'indigo.
Longueur des cheveux : Ils tombent raides jusqu'au bas des hanches. Leur santé est également entretenue avec des potions si besoin, mais la plupart du temps elle fait simplement des masques à l'huile. Toutefois, si elle doit travailler et que sa chevelure la gêne, elle les coupe au ras de la nuque, puis elle les fait repousser plus tard.
Couleur des yeux : Elle dira qu'ils sont "basalt" à l'origine. Or ils sont régulièrement rendus bleus par le port de sa bague spéciale, quant elle a été rechargée gracieusement auprès de nécromancien·ne·s, menacé·e·s de se faire désactiver leur pouvoir en cas de refus.
Corpulence : Elle essaie de brûler un maximum de graisse. Le tracé de ses abdominaux est finement visible quand elle les contracte. Ses muscles dorsaux sont également plutôt définis. Moins c'est "gracieux" ou typiquement "féminin", et plus elle est contente.
Taille : 1m62
Style vestimentaire : Elle est rarement vue habillée d'autre chose que de tenues de lycéenne revisitées qu'elle coud elle-même. Quand ça lui arrive de se vêtir de façon plus classique, elle a finalement un look assez versatile, tantôt rock, tantôt champêtre.
Habitudes : Elle parle volontairement d'une voix grave et autoritaire, de la manière la moins féminine possible. Son attitude est également très masculinisée.
• Elle s'assoit généralement à la yankii-zuwari et quand des sièges sont disponibles, elle garde les jambes écartées pour prendre un maximum de place.
• Elle crapote plus qu'elle ne fume, car elle n'aime pas ça, mais le geste est comme inscrit dans sa mémoire musculaire. Pourtant ça ne l'apaise pas.
Autre : Sa bague chimérisante lui confère des traits félins si discrets qu'ils passent facilement inaperçus si l'on n'y prête pas attention.
• Elle se rappelle avoir été complexée par ses sourcils épais et moquée pour ça dans son enfance, elle laissait alors sa frange pousser bien davantage. À présent, elle semble au contraire les aimer pour la dureté qu'ils ajoutent à ses expressions.
• Parfois exaspérée d'être bloquée dans un corps de mineure alors que certaines situations requièrent qu'elle soit perçue comme adulte – elle a quand même passé la soixantaine –, elle consomme au compte-goutte des potions de vieillissement qu'elle vole ou fait fabriquer de force à des nécromancien·ne·s en échange de leur épargner des actes de vandalisme ou de harcèlement – et bien sûr, toujours en rappelant qu'elle a la capacité de leur dérober leur énergie ectoplasmique.
Couleur des cheveux : Aile de corbeau, c'est plus classe que juste dire "noirs". Ironiquement, il lui arrive de les teindre pour copier sa pigmentation naturelle, lorsqu'elle porte une bague chimérisante qui les colore d'un bleu-violet qu'elle juge immonde. Selon la qualité des potions, ils conservent parfois des reflets ou demeurent plus proches de l'indigo.
Longueur des cheveux : Ils tombent raides jusqu'au bas des hanches. Leur santé est également entretenue avec des potions si besoin, mais la plupart du temps elle fait simplement des masques à l'huile. Toutefois, si elle doit travailler et que sa chevelure la gêne, elle les coupe au ras de la nuque, puis elle les fait repousser plus tard.
Couleur des yeux : Elle dira qu'ils sont "basalt" à l'origine. Or ils sont régulièrement rendus bleus par le port de sa bague spéciale, quant elle a été rechargée gracieusement auprès de nécromancien·ne·s, menacé·e·s de se faire désactiver leur pouvoir en cas de refus.
Corpulence : Elle essaie de brûler un maximum de graisse. Le tracé de ses abdominaux est finement visible quand elle les contracte. Ses muscles dorsaux sont également plutôt définis. Moins c'est "gracieux" ou typiquement "féminin", et plus elle est contente.
Taille : 1m62
Style vestimentaire : Elle est rarement vue habillée d'autre chose que de tenues de lycéenne revisitées qu'elle coud elle-même. Quand ça lui arrive de se vêtir de façon plus classique, elle a finalement un look assez versatile, tantôt rock, tantôt champêtre.
Habitudes : Elle parle volontairement d'une voix grave et autoritaire, de la manière la moins féminine possible. Son attitude est également très masculinisée.
• Elle s'assoit généralement à la yankii-zuwari et quand des sièges sont disponibles, elle garde les jambes écartées pour prendre un maximum de place.
• Elle crapote plus qu'elle ne fume, car elle n'aime pas ça, mais le geste est comme inscrit dans sa mémoire musculaire. Pourtant ça ne l'apaise pas.
Autre : Sa bague chimérisante lui confère des traits félins si discrets qu'ils passent facilement inaperçus si l'on n'y prête pas attention.
• Elle se rappelle avoir été complexée par ses sourcils épais et moquée pour ça dans son enfance, elle laissait alors sa frange pousser bien davantage. À présent, elle semble au contraire les aimer pour la dureté qu'ils ajoutent à ses expressions.
• Parfois exaspérée d'être bloquée dans un corps de mineure alors que certaines situations requièrent qu'elle soit perçue comme adulte – elle a quand même passé la soixantaine –, elle consomme au compte-goutte des potions de vieillissement qu'elle vole ou fait fabriquer de force à des nécromancien·ne·s en échange de leur épargner des actes de vandalisme ou de harcèlement – et bien sûr, toujours en rappelant qu'elle a la capacité de leur dérober leur énergie ectoplasmique.
précisions
Orientation & Co. : Cisgenre, saphique, demi-sensuelle et acorsexuelle.
Périsprit : une balle de baseball. Plus particulièrement, celle qui est posée sur l'autel où sa famille prie pour son repos dans le monde des vivants.
Porte-bonheur : ... une batte de baseball.
Rituels de prédilection : courage, croissance, et purification. Elle a appris le premier par elle-même, les deux autres lui ont été enseignés pour le travail dans les champs.
Aversions :
• Elle déteste les nécromancien·ne·s et n'a pas le temps ni l'envie d'écouter les arguments de type #notallnecro. Au moins ne cherche-t-elle pas à les tabasser tous·tes.
• Elle n'aime pas les américain·e·s, sans se souvenir vraiment pourquoi.
• Elle éprouve une haine féroce à l'encontre des Yakuza, peut-être même supérieure à celle qu'elle a contre les hommes tout court.
Hobbies :
• Elle peut gratter trois notes sur une guitare électrique sans que ça sonne trop dégueu, et hurler dans un micro comme une métalleuse, quitte à faire une cure de tisanes au miel ensuite.
• Elle affirme savoir jouer de la batterie, mais en vérité, elle se fiche du rythme et tape dessus en guise de défouloir, ce qui rend ses "performances" inaudibles.
• Pas terrible au baseball, elle aimerait s'améliorer. On ne la verra jamais s'entraîner avec sa batte en métal fétiche, il ne faudrait pas qu'elle l'abîme.
• Elle a un carnet rempli de croquis de vêtements qu'elle coud ensuite. Entrer dans ses bonnes grâces signifie pouvoir la solliciter pour réaliser des costumes de cosplay.
• Plus largement, elle dessine plutôt bien les silhouettes humaines, elle met un point d'honneur à savoir reproduire les proportions de tout type de morphologies. Mais si elle entre dans les détails qui lui sont inutiles, elle a le niveau de faire des henohenomoheji déformés (des têtes à toto) en guise de visage.
• Elle fait de beaux arrangements floraux et fabrique de petits objets décoratifs avec des matériaux recyclés, en évitant le verre cependant.
• Elle rage quand elle perd contre d'autres personnes, celleux qui savent la laissent gagner aux jeux vidéo pour préserver leurs écrans d'une explosion. Elle est d'ailleurs bannie de la plupart des salles d'arcade – ça ne l'empêche pas d'y revenir.
• Elle écoute des podcasts et des livres audio, notamment des œuvres féministes. En revanche, lire la gonfle rapidement.
Périsprit : une balle de baseball. Plus particulièrement, celle qui est posée sur l'autel où sa famille prie pour son repos dans le monde des vivants.
Porte-bonheur : ... une batte de baseball.
Rituels de prédilection : courage, croissance, et purification. Elle a appris le premier par elle-même, les deux autres lui ont été enseignés pour le travail dans les champs.
Aversions :
• Elle déteste les nécromancien·ne·s et n'a pas le temps ni l'envie d'écouter les arguments de type #notallnecro. Au moins ne cherche-t-elle pas à les tabasser tous·tes.
• Elle n'aime pas les américain·e·s, sans se souvenir vraiment pourquoi.
• Elle éprouve une haine féroce à l'encontre des Yakuza, peut-être même supérieure à celle qu'elle a contre les hommes tout court.
Hobbies :
• Elle peut gratter trois notes sur une guitare électrique sans que ça sonne trop dégueu, et hurler dans un micro comme une métalleuse, quitte à faire une cure de tisanes au miel ensuite.
• Elle affirme savoir jouer de la batterie, mais en vérité, elle se fiche du rythme et tape dessus en guise de défouloir, ce qui rend ses "performances" inaudibles.
• Pas terrible au baseball, elle aimerait s'améliorer. On ne la verra jamais s'entraîner avec sa batte en métal fétiche, il ne faudrait pas qu'elle l'abîme.
• Elle a un carnet rempli de croquis de vêtements qu'elle coud ensuite. Entrer dans ses bonnes grâces signifie pouvoir la solliciter pour réaliser des costumes de cosplay.
• Plus largement, elle dessine plutôt bien les silhouettes humaines, elle met un point d'honneur à savoir reproduire les proportions de tout type de morphologies. Mais si elle entre dans les détails qui lui sont inutiles, elle a le niveau de faire des henohenomoheji déformés (des têtes à toto) en guise de visage.
• Elle fait de beaux arrangements floraux et fabrique de petits objets décoratifs avec des matériaux recyclés, en évitant le verre cependant.
• Elle rage quand elle perd contre d'autres personnes, celleux qui savent la laissent gagner aux jeux vidéo pour préserver leurs écrans d'une explosion. Elle est d'ailleurs bannie de la plupart des salles d'arcade – ça ne l'empêche pas d'y revenir.
• Elle écoute des podcasts et des livres audio, notamment des œuvres féministes. En revanche, lire la gonfle rapidement.
Caractère
Altière
Colérique
Contestataire
Grossière
Cancre
Antisociale
Violente
Misandre
Meneuse
Franche
Solidaire
Protectrice
Dynamique
Soigneuse
Touche-à-tout
Économe
Amnésique
Haptophobe
résumé
1977-80
- 1977 : Décédée dans un accident de moto particulièrement traumatisant, Yumiko arrive devant la Faucheuse pratiquement sans aucun souvenir, perdue, horrifiée par la diffusion de la scène de sa mort, et déjà pleine de rancune quand au sentiment d'abandon que lui laisse le traitement expéditif de l'Agence.
- Après plusieurs mois dans le monde des morts, elle passe plus de temps dehors à racketter des inconnus qu'à tenter de s'intégrer à sa colocation – qu'elle menace et vole tout autant. Torturée par des cauchemars de son ancienne vie, en désespoir de cause, elle s'apprête à boire une potion pour tenter de resusciter. Heureusement, une de ses colocataires l'arrête à temps et la prévient des dangers de ce type d'arnaques, dont elle-même a été victime autrefois, la transformant en zombie.
- 1978 : Elle devient ainsi sa première amie, qui l'aide à gagner quelques Øssements de manière légale et à enquêter sur son passé. Étonnamment, elle la suit pour commettre quelques petits délits, notamment à l'encontre des nécromancien·ne·s. Yumiko finira par découvrir que malgré une façade calme et timide, elle fréquente un groupe de chimères délinquantes, dans l'espoir d'un jour elle-même avoir le courage de se faire injecter.
- 1979 : Yumiko rejoint alors le même cercle qu'elle, partageant ses ambitions, allant jusqu'à promettre que lorsque son amie sera prête, elles deviendront chimères ensemble. Or à mesure que de rares souvenirs lui reviennent, elle découvre qu'elle se sent mystérieusement attirée vers des lieux clés de son passé. Obsédée par la maison qui se trouve à l'emplacement de celle de son enfance, elle finit par y entrer par effraction, découvrant à l'intérieur son premier périsprit.
- Devenir poltergeist l'empêchant de se transformer en chimère, elle reste néanmoins solidaire avec son amie, l'encourageant à franchir le pas. Cette dernière décide à l'inverse de renoncer également à sa métamorphose, choisissant de garder sa place aux côtés de Yumiko plutôt que de rejoindre un groupe auquel elle n'a plus accès. Toutefois, ledit groupe réagit à cette décision par un mépris que Yumiko ne parviendra pas à tolérer, déclenchant une bagarre perdue d'avance, lui coûtant même sa santé mentale après un cri.
- 1980 : Sortie de l'hôpital psychiatrique après plusieurs mois de soins, elle découvre que sa rébellion a provoqué une scission au sein du groupe de chimères, décriées pour leur attitude insultante envers les femmes refusant la transformation. Parmi celles qui l'ont quitté, plusieurs choisissent finalement de suivre Yumiko à la place.
1990-99
- 1990 : Yumiko est à la tête d'un nouveau groupe fondé avec les femmes qui l'ont suivie 10 ans plus tôt, et qui s'est agrandi pour compter une vingtaine de membres. Ces dernières se font remarquer pour leur défiance constante de l'autorité notamment par leurs actes de vandalisme et d'intimidation.
- 1994-95 : Une nouvelle membre pose cependant problème en poussant la violence à un autre niveau, ce qui rend plus frileuse la plus proche amie de Yumiko, craignant des débordements graves. Or elle ne parvient pas à faire entendre raison à la cheffe du groupe et rien n'est fait pour arrêter la fauteuse de trouble. Malheureusement, cela conduira cette dernière à mener une action kamikaze qui lui sera bel et bien fatale, en se jetant dans le monde des vivants.
- 1995-99 : Malgré des tentatives pour se remettre du drame, Yumiko n'est plus que l'ombre d'elle-même par la suite. Rongée par la culpabilité, envahie d'idées noires, elle rejette les thérapies comme le monde extérieur en général, au point de se détacher de son rôle de cheffe, jusqu'à finalement tout envoyer au diable en quelques années. Elle chasse son entourage, seule sa plus proche amie demeure à ses côtés, en toutes circonstances, jusqu'à ce qu'elle remonte la pente.
2000-24
- 2000 : Grâce au soutien patient de son amie, avec qui elle finit par emménager, Yumiko commence à tourner la page sur les erreurs et les regrets accumulés dans le passé, tant dans le monde des morts que dans celui des vivants. Elle se fait désormais appeler Yumi Tanaka pour signifier ce tournant dans son existence, puis elle renoue par la suite avec son ancien groupe qui, même au ralenti, a subsisté en son absence.
- 2023 : Tout au long de ce quart de vingt-et-unième siècle, le clan bénéficiera de l'essor d'internet pour recréer un engouement autour de lui et attirer encore plus de membres. Malgré le travail que cela représente de gérer tout ça, Yumi encourage son amie de toujours à penser un peu plus à ses propres rêves de voyage, jusqu'au jour où elle l'accompagne à la gare pour la voir partir.
- Maintenant : Yumi est prête à revenir vivre à l'Agence. Allez savoir si l'Agence est prête à voir revenir Yumi .
Le clan G.T.O.
Le premier ou la première qui lui parle encore de ce "Great Teacher Onizuka" se prend une claque sans sommation. G.T.O. est un hommage au mouvement qu'avait engagé la militante féministe Mitsu Tanaka, le Guruppu Tatakau Onnatachi (cependant, ce dernier n'a jamais été désigné par l'acronyme de ses caractères en romaji). D'ailleurs, Yumi a choisi son nom de famille par admiration pour elle. Les membres se font appeler les Banshii, parce que ça ressemble un petit peu à "Sukeban", "Yankii" et à "Banchō", et parce qu'elles aiment signaler leur présence juste en hurlant en bande au milieu de la nuit.
Esthétique :
Leur signe de reconnaissance consiste au minimum à exhiber un badge brodé quelque part sur leur tenue. La base de l'uniforme de lycéenne japonaise à jupe longue est appréciée mais pas obligatoire. Le port d'armes d'auto-défense est recommandé par Yumi. Concernant les vraies armes (en particulier les katanas, puisque les mangas et animes mettant en scène des Sukeban idéalisées les ont rendus populaires), elle n'accepte que des copies factices.
Popularité :
Yumi n'imagine pas son clan dépasser les quelques dizaines voire une centaine de représentantes, cantonnées à Tokyo. Néanmoins, avec l'avènement d'internet, son groupe a pris de l'aisance à faire parler de lui et à attirer du sang neuf.
Règles :
Dans l'esprit de faire de son clan un refuge pour ses membres, elle ne cautionne pas la violence intestine. De plus, Yumi s'est éduquée sur les notions d'inclusivité, ce qui a conduit à d'autres changements par rapport au passé. Quelques-unes de ces règles sont :
Les transgressions mineures entraînent des sanctions légères sur la base d'excuses "publiques" et de services à rendre.
Les transgressions graves ou répétées impliquent un bannissement total, une dépossession du badge et des biens prêtés par le clan, voire la destruction des possessions oubliées de l'ex-membre.
Admissions :
Les hommes, cisgenres, transgenres, ou plurigenres, ne peuvent faire partie du clan.
Plusieurs races de fantômes peuvent aussi se retrouver dans le collimateur de G.T.O. sous certaines conditions. Le dénominateur commun réside dans la capacité à transformer définitivement une personne, même sans son consentement éclairé :
Les nécromancien·ne·s sont refusé·e·s dans absolument tous les cas. Yumi est en mesure de les identifier, alors elle va jusqu'à bannir les lémures ayant eu la malchance d'évoluer dans ce sens.
Les vampires ne sont accepté·e·s qu'à condition de se nourrir à la poche de sang ou qu'après avoir tué leurs victimes au préalable, les empêchant ainsi de devenir vampire à leur tour.
Les chimères doivent renoncer à la possibilité de posséder une ou des seringues de produit chimérisant, et faire le serment de ne pas faire la propagande de leur espèce auprès des autres lémures.
Activités notables :
Il existe quelques sous-groupes au sein de G.T.O. qui portent des sobriquets, telles que les motardes qui organisent des courses nocturnes, les voltigeuses qui transforment la ville en skate-park ou en parkour géant, les graffeuses qui repeignent les murs à leur image, les raveuses qui rassemblent les foules autour de la musique, et les sentinelles qui sont bien décidées à faire la boolice à la place de la boolice, par exemple en surveillant et en réprimant les activités des nécromancien·ne·s.
Il n'est bien sûr pas défendu d'arborer plusieurs casquettes, les étiquettes n'existant qu'à titre indicatif.
"Quartier général" :
Le clan G.T.O. s'est établi aux abords d'un quartier résidentiel de Tokyo, sur un terrain vague que les membres ont complètement transformé au fil des décennies. De nos jours, des containers et cabanons peinturlurés s'y dressent, savamment assemblés en guise de locaux éclectiques, qui peuvent servir autant à faire des pseudo-réunions officielles qu'à réparer sa bécane ou juste s'abriter de la pluie.
Tout autour, on trouve pêle-mêle des rampes de skate-park improvisées, des piles de pneus, des restes de feux de camp, des cages de foot montées de travers, des œuvres d'art dégingandées, des balançoires usées et pour une raison obscure, plusieurs marelles tracées au sol... En somme, c'est une cour de récréation chaotique. D'ailleurs, ça attire les enfants de passage, et iels y sont généralement bien reçu·e·s – qu'importe le genre et le sexe, d'ailleurs.
Situation financière :
G.T.O. n'est pas un groupe existant légalement, tant parce qu'il se revendique anti-système que parce que nombre des actions qu'il mène sont répréhensibles. Par conséquent, il ne bénéficie d'aucune subvention. Une caisse commune s'est créée grâce au dévouement des Banshii qui, lorsqu'elles ont un travail, utilisent une partie de leur salaire pour la renflouer. Cet argent commun sert à payer des locaux, du matériel, ou à soutenir les membres en difficultés comme les zombies qui n'arrivent pas à payer de bons soins. Des cagnottes en ligne existent également afin d'encourager à faire des dons au nom de la solidarité féminine et de la liberté d'expression.
Déboires judiciaires :
G.T.O. est bien connue et la plupart de ses actions sont documentées... par la boolice. En voici une liste assez représentative :
À noter heureusement que Yumi a la présence d'esprit d'empêcher l'infliction de dommages irréversibles, aux individus comme à l'ensemble de la société en général. Elle éteint également toute velléité guerrière au sein du clan, elle refuse la création de champs de bataille ouverts, en particulier dans les lieux publiques. Le vrai problème que pose le clan actuellement réside dans la quantité de délits que ses membres accomplissent plutôt que dans leur gravité.
Esthétique :
Leur signe de reconnaissance consiste au minimum à exhiber un badge brodé quelque part sur leur tenue. La base de l'uniforme de lycéenne japonaise à jupe longue est appréciée mais pas obligatoire. Le port d'armes d'auto-défense est recommandé par Yumi. Concernant les vraies armes (en particulier les katanas, puisque les mangas et animes mettant en scène des Sukeban idéalisées les ont rendus populaires), elle n'accepte que des copies factices.
Popularité :
Yumi n'imagine pas son clan dépasser les quelques dizaines voire une centaine de représentantes, cantonnées à Tokyo. Néanmoins, avec l'avènement d'internet, son groupe a pris de l'aisance à faire parler de lui et à attirer du sang neuf.
Règles :
Dans l'esprit de faire de son clan un refuge pour ses membres, elle ne cautionne pas la violence intestine. De plus, Yumi s'est éduquée sur les notions d'inclusivité, ce qui a conduit à d'autres changements par rapport au passé. Quelques-unes de ces règles sont :
- Ne pas s'agresser entre membres du clan.
- Ne pas voler lae personne spéciale d'un·e autre membre.
- Ne pas tromper les règles de sa ou ses relation/s avec une ou plusieurs personnes spéciales.
- Ne pas se droguer.
- Ne pas être déloyal·e envers le clan.
Les transgressions mineures entraînent des sanctions légères sur la base d'excuses "publiques" et de services à rendre.
Les transgressions graves ou répétées impliquent un bannissement total, une dépossession du badge et des biens prêtés par le clan, voire la destruction des possessions oubliées de l'ex-membre.
Admissions :
Les hommes, cisgenres, transgenres, ou plurigenres, ne peuvent faire partie du clan.
Plusieurs races de fantômes peuvent aussi se retrouver dans le collimateur de G.T.O. sous certaines conditions. Le dénominateur commun réside dans la capacité à transformer définitivement une personne, même sans son consentement éclairé :
Les nécromancien·ne·s sont refusé·e·s dans absolument tous les cas. Yumi est en mesure de les identifier, alors elle va jusqu'à bannir les lémures ayant eu la malchance d'évoluer dans ce sens.
Les vampires ne sont accepté·e·s qu'à condition de se nourrir à la poche de sang ou qu'après avoir tué leurs victimes au préalable, les empêchant ainsi de devenir vampire à leur tour.
Les chimères doivent renoncer à la possibilité de posséder une ou des seringues de produit chimérisant, et faire le serment de ne pas faire la propagande de leur espèce auprès des autres lémures.
Activités notables :
Il existe quelques sous-groupes au sein de G.T.O. qui portent des sobriquets, telles que les motardes qui organisent des courses nocturnes, les voltigeuses qui transforment la ville en skate-park ou en parkour géant, les graffeuses qui repeignent les murs à leur image, les raveuses qui rassemblent les foules autour de la musique, et les sentinelles qui sont bien décidées à faire la boolice à la place de la boolice, par exemple en surveillant et en réprimant les activités des nécromancien·ne·s.
Il n'est bien sûr pas défendu d'arborer plusieurs casquettes, les étiquettes n'existant qu'à titre indicatif.
"Quartier général" :
Le clan G.T.O. s'est établi aux abords d'un quartier résidentiel de Tokyo, sur un terrain vague que les membres ont complètement transformé au fil des décennies. De nos jours, des containers et cabanons peinturlurés s'y dressent, savamment assemblés en guise de locaux éclectiques, qui peuvent servir autant à faire des pseudo-réunions officielles qu'à réparer sa bécane ou juste s'abriter de la pluie.
Tout autour, on trouve pêle-mêle des rampes de skate-park improvisées, des piles de pneus, des restes de feux de camp, des cages de foot montées de travers, des œuvres d'art dégingandées, des balançoires usées et pour une raison obscure, plusieurs marelles tracées au sol... En somme, c'est une cour de récréation chaotique. D'ailleurs, ça attire les enfants de passage, et iels y sont généralement bien reçu·e·s – qu'importe le genre et le sexe, d'ailleurs.
Situation financière :
G.T.O. n'est pas un groupe existant légalement, tant parce qu'il se revendique anti-système que parce que nombre des actions qu'il mène sont répréhensibles. Par conséquent, il ne bénéficie d'aucune subvention. Une caisse commune s'est créée grâce au dévouement des Banshii qui, lorsqu'elles ont un travail, utilisent une partie de leur salaire pour la renflouer. Cet argent commun sert à payer des locaux, du matériel, ou à soutenir les membres en difficultés comme les zombies qui n'arrivent pas à payer de bons soins. Des cagnottes en ligne existent également afin d'encourager à faire des dons au nom de la solidarité féminine et de la liberté d'expression.
Déboires judiciaires :
G.T.O. est bien connue et la plupart de ses actions sont documentées... par la boolice. En voici une liste assez représentative :
- Vandalisme (graffitis, squattage et dégradation de bâtiments ou terrains privés et publics, destruction de biens en tout genre...)
- Agressions morales (harcèlement et cyber-harcèlement, chantage, menaces...)
- Agressions physiques (coups et blessures, racket...)
- Délits divers (conduite sans permis, vols...)
À noter heureusement que Yumi a la présence d'esprit d'empêcher l'infliction de dommages irréversibles, aux individus comme à l'ensemble de la société en général. Elle éteint également toute velléité guerrière au sein du clan, elle refuse la création de champs de bataille ouverts, en particulier dans les lieux publiques. Le vrai problème que pose le clan actuellement réside dans la quantité de délits que ses membres accomplissent plutôt que dans leur gravité.
Trivia
À propos du cri des Banshii :
C'est un peu pour faire un pied de nez aux chimères qui avaient rendu folle Yumi à une certaine époque que les Banshii hurlent pour tout et pour rien : pour se saluer, pour faire la fête, pour exprimer leur rage ou juste pour casser les oreilles de tout le monde. D'ailleurs, tout est prévu : puisqu'il y a des Banshii qui sont également des chimères, une distribution de casques et de boule quiès est prévue pour les nouvelleaux – c'est aussi à ça que sert le budget du groupe. Comme ça, ça reste bien nuisible pour tout le monde, sauf pour les fautif·ve·s... dans la majorité des cas, puisqu'il n'est pas exclu que certain·e·s soient trop puissant·e·s ou qu'il y ait des oublis de se couvrir les oreilles.
Pour soulager la douleur à la gorge dont souffrent les Chimères qui crient, Yumi peut charger d'énergie quelques héliotropes quand elle en a encore la possibilité. En revanche, elle n'accomplit pas systématiquement le rituel de murmure, parce que sa manière de l'accomplir, en faisant trop attention à ne pas toucher l'autre personne, semble trop amoindrir son efficacité pour que c'en vaille la peine. Elle compte sur la bienveillance d'autres poltergeists du clan au besoin.
À propos de ses interférences de poltergeist :
Son humeur instable perturbe régulièrement son environnement malgré elle. Claquer les portes, elle s'y fait, même si ça lui est déjà arrivé en pleine face. Son vrai handicap, c'est que les objets composés entièrement ou partiellement de verre autour d'elle ont tendance à se fissurer, voire à exploser dès qu'elle a le sang un peu trop chaud. Il arrive même qu'elle parvienne à endommager les miroirs et fines couches de verre qui entrent dans la composition des écrans à cristaux liquides.
Elle a renoncé à l'idée d'avoir un modèle de portable récent, elle se satisfait d'un vieux flip phone dont la vitre d'affichage, aussi petite soit-elle, est d'ores et déjà finement nervurée. Pour la même raison, elle ne possède pas d'ordinateur personnel, juste une clé usb et un disque dur externe qu'elle branche à des postes publiques. Elle pense même à boire uniquement à la bouteille en plastique, à la gourde ou avec un gobelet.
Sa chambre est le seul endroit où elle parvient à peu près à garder les choses intactes, et c'est une des raisons pour lesquelles elle n'autorise pratiquement jamais personne à l'y rejoindre, pour ne pas risquer de faire éclater sa bulle – au sens littéral. Elle y préserve au mieux son radio réveil, sa Nintombo Game Boy, un appareil photo à pellicule, un baladeur MP3...
Bien sûr, il peut aussi arriver qu'elle fasse exprès de se laisser envahir d'émotions vives, car elle a conscience de l'aspect spectaculaire de cette capacité digne des plus grands films d'épouvante. Elle s'en sert pour exprimer sa contrariété sans prendre la parole, pour intimider ou pour apeurer, pour saccager certains endroits, pour détruire certains objets, ou tout simplement en guise de catharsis. Évidemment, ça fait partie des multiples raisons pour lesquelles elle accumule les heures de TIG.
À propos de son haptophobie :
Pour en revenir à sa chambre, l'autre raison principale pour laquelle elle n'autorise personne à l'intérieur est liée à sa crainte de voir ses affaires "souillées" par le toucher des autres. Et si par miracle elle accepte de prêter quelque chose à quelqu'un, il faut s'attendre à ce qu'elle passe un coup de chiffon ou de lingette désinfectante dessus en récupérant son bien.
Elle se sait non seulement difficile à vivre en colocation en raison de son caractère, mais également parce que sa phobie lui servirait apparemment "d'excuse" pour minimiser sa participation aux tâches ménagères quotidiennes dans les espaces communs. Au mieux, elle passe le balai et l'aspirateur parce que les manches sont faciles à nettoyer d'abord. Avec un peu de chance néanmoins – ou de malchance, selon le point de vue –, elle acceptera de contribuer pour des tâches plus rares, mais plus difficiles comme réparer des fuites ou des courts-circuits.
Elle porte parfois des mitaines pour réduire le contact avec ce qu'elle touche sans savoir si c'est "propre" – même si son problème n'est pas la saleté –, or la sensation d'avoir les mains comprimées ou les doigts légèrement entravés dans la souplesse de leurs mouvements lui déplaît fortement.
Depuis qu'elle est poltergeist et qu'elle s'intéresse à l'apprentissage de certains rituels, elle a remarqué que tous ceux lui demandant de poser ses mains directement sur quelqu'un d'autre sont beaucoup plus pénibles à réaliser. Parfois, il arrive même que le fait de devoir toucher le même objet que sa cible suffise à la mettre dans l'inconfort. Les résultats qu'elle produit alors sont souvent médiocres à inexistants, voire dans le pire des cas, complètement altérés.
D'ailleurs, contrairement à d'autres poltergeists qui saisissent réellement les périsprits pour les déplacer, Yumi ne les touche absolument jamais directement : même quand elle tend la main vers ceux-ci, quelques millimètres de séparation entre l'objet et sa peau demeure avant qu'elle ne provoque leur déplacement, qui se fait donc entièrement par télékinésie.
À propos de sa "batte de baseball porte-bonheur" :
Sa batte lui a été offerte peu de temps après qu'elle ait raconté à ses ami·e·s un vague souvenir d'avoir joué avec son frère au baseball quand elle était jeune enfant. Personne n'a le droit d'y toucher à part elle, évidemment.
Elle a réussi à la faire signer par des membres de l'équipe féminine du Japon dans le monde des vivants en 2008 lors de leur victoire en Coupe du Monde, en la confiant à une vampire qui est allée assister au match pour elle. Elle protège les autographes avec du vernis et du film transparents.
Elle se promène souvent avec, en la mettant dans un sac de sport adapté ou en la gardant en main, mais en aucun cas elle ne s'en sert pour frapper réellement quoi que ce soit – ou qui que ce soit. Elle ne l'utilise même pas dans le sport pour lequel elle a été conçue...
À propos de sa bague chimérisante :
Elle appartenait autrefois à sa plus précieuse amie, qui s'en servait pour cacher sa véritable apparence derrière des traits raciaux qu'elle rêvait d'acquérir réellement un jour. Cette dernière a fini par la lui confier symboliquement, le jour où elle a décidé d'accepter sa nature de zombie à la place.
La première fois que Yumi a essayé elle-même par curiosité cette bague après l'avoir faite recharger, elle a cru qu'elle ne fonctionnait qu'à moitié, et que la nécromancienne qu'elle avait missionné avait eu l'audace de l'arnaquer. C'est une inspection visuelle plus minutieuse de la part de son amie qui leur a permis de découvrir qu'en vérité, outre les cheveux bleu-violet pétant selon la lumière, l'illusion s'avère juste étonnamment discrète, si ce n'est pas observé sous les bons angles ou dans les bonnes circonstances.
Ses yeux ont pris une teinte bleutée et semblent réfléchir la lumière dans l'obscurité – bien qu'à son plus grand désarroi, cela ne soit pas la manifestation d'une vraie nyctalopie –. Ses oreilles présentent une pilosité plus fournie le long de la conque et dans le pavillon, ses dents apparaissent plus acérées, sa langue semble hérissée de papilles abrasives, et l'intérieur de ses mains et de ses pieds paraissent plus sombres, endurcies par des coussinets. Elles supposent donc que la transformation simule une injection de félidé, mais il est compliqué d'en définir l'espèce avec si peu de signes distinctifs. Ce pourrait être un chat de salon comme une panthère, voire un mélange. Quant à la couleur singulière de ses cheveux... Aucune foutue idée.
Yumi a d'abord réagi avec déception face à ce résultat peu probant ; cependant, elle continue de la porter depuis que son amie lui a confié que la couleur de ses yeux lui plaît, lui rappelant les siens avant sa zombification. Mais en ce qui concerne la chevelure : c'est niet, elle refuse cette espèce de coloration qui pourrait nuire aux épileptiques. Puis elles sont bien d'accord sur le fait que ça fait beaucoup trop neko girl d'eroge débile.
À noter que Yumi a déjà essayé de reproduire la couleur des iris avec des potions. Or le rendu n'est pas toujours exactement le même selon la qualité. C'est pourquoi elle préfère à la place garder la bague, composer avec ses faux traits raciaux, et se reteindre les cheveux, car ça lui importe peu que leur noir ne soit pas toujours parfait.
C'est un peu pour faire un pied de nez aux chimères qui avaient rendu folle Yumi à une certaine époque que les Banshii hurlent pour tout et pour rien : pour se saluer, pour faire la fête, pour exprimer leur rage ou juste pour casser les oreilles de tout le monde. D'ailleurs, tout est prévu : puisqu'il y a des Banshii qui sont également des chimères, une distribution de casques et de boule quiès est prévue pour les nouvelleaux – c'est aussi à ça que sert le budget du groupe. Comme ça, ça reste bien nuisible pour tout le monde, sauf pour les fautif·ve·s... dans la majorité des cas, puisqu'il n'est pas exclu que certain·e·s soient trop puissant·e·s ou qu'il y ait des oublis de se couvrir les oreilles.
Pour soulager la douleur à la gorge dont souffrent les Chimères qui crient, Yumi peut charger d'énergie quelques héliotropes quand elle en a encore la possibilité. En revanche, elle n'accomplit pas systématiquement le rituel de murmure, parce que sa manière de l'accomplir, en faisant trop attention à ne pas toucher l'autre personne, semble trop amoindrir son efficacité pour que c'en vaille la peine. Elle compte sur la bienveillance d'autres poltergeists du clan au besoin.
À propos de ses interférences de poltergeist :
Son humeur instable perturbe régulièrement son environnement malgré elle. Claquer les portes, elle s'y fait, même si ça lui est déjà arrivé en pleine face. Son vrai handicap, c'est que les objets composés entièrement ou partiellement de verre autour d'elle ont tendance à se fissurer, voire à exploser dès qu'elle a le sang un peu trop chaud. Il arrive même qu'elle parvienne à endommager les miroirs et fines couches de verre qui entrent dans la composition des écrans à cristaux liquides.
Elle a renoncé à l'idée d'avoir un modèle de portable récent, elle se satisfait d'un vieux flip phone dont la vitre d'affichage, aussi petite soit-elle, est d'ores et déjà finement nervurée. Pour la même raison, elle ne possède pas d'ordinateur personnel, juste une clé usb et un disque dur externe qu'elle branche à des postes publiques. Elle pense même à boire uniquement à la bouteille en plastique, à la gourde ou avec un gobelet.
Sa chambre est le seul endroit où elle parvient à peu près à garder les choses intactes, et c'est une des raisons pour lesquelles elle n'autorise pratiquement jamais personne à l'y rejoindre, pour ne pas risquer de faire éclater sa bulle – au sens littéral. Elle y préserve au mieux son radio réveil, sa Nintombo Game Boy, un appareil photo à pellicule, un baladeur MP3...
Bien sûr, il peut aussi arriver qu'elle fasse exprès de se laisser envahir d'émotions vives, car elle a conscience de l'aspect spectaculaire de cette capacité digne des plus grands films d'épouvante. Elle s'en sert pour exprimer sa contrariété sans prendre la parole, pour intimider ou pour apeurer, pour saccager certains endroits, pour détruire certains objets, ou tout simplement en guise de catharsis. Évidemment, ça fait partie des multiples raisons pour lesquelles elle accumule les heures de TIG.
À propos de son haptophobie :
Pour en revenir à sa chambre, l'autre raison principale pour laquelle elle n'autorise personne à l'intérieur est liée à sa crainte de voir ses affaires "souillées" par le toucher des autres. Et si par miracle elle accepte de prêter quelque chose à quelqu'un, il faut s'attendre à ce qu'elle passe un coup de chiffon ou de lingette désinfectante dessus en récupérant son bien.
Elle se sait non seulement difficile à vivre en colocation en raison de son caractère, mais également parce que sa phobie lui servirait apparemment "d'excuse" pour minimiser sa participation aux tâches ménagères quotidiennes dans les espaces communs. Au mieux, elle passe le balai et l'aspirateur parce que les manches sont faciles à nettoyer d'abord. Avec un peu de chance néanmoins – ou de malchance, selon le point de vue –, elle acceptera de contribuer pour des tâches plus rares, mais plus difficiles comme réparer des fuites ou des courts-circuits.
Elle porte parfois des mitaines pour réduire le contact avec ce qu'elle touche sans savoir si c'est "propre" – même si son problème n'est pas la saleté –, or la sensation d'avoir les mains comprimées ou les doigts légèrement entravés dans la souplesse de leurs mouvements lui déplaît fortement.
Depuis qu'elle est poltergeist et qu'elle s'intéresse à l'apprentissage de certains rituels, elle a remarqué que tous ceux lui demandant de poser ses mains directement sur quelqu'un d'autre sont beaucoup plus pénibles à réaliser. Parfois, il arrive même que le fait de devoir toucher le même objet que sa cible suffise à la mettre dans l'inconfort. Les résultats qu'elle produit alors sont souvent médiocres à inexistants, voire dans le pire des cas, complètement altérés.
D'ailleurs, contrairement à d'autres poltergeists qui saisissent réellement les périsprits pour les déplacer, Yumi ne les touche absolument jamais directement : même quand elle tend la main vers ceux-ci, quelques millimètres de séparation entre l'objet et sa peau demeure avant qu'elle ne provoque leur déplacement, qui se fait donc entièrement par télékinésie.
À propos de sa "batte de baseball porte-bonheur" :
Sa batte lui a été offerte peu de temps après qu'elle ait raconté à ses ami·e·s un vague souvenir d'avoir joué avec son frère au baseball quand elle était jeune enfant. Personne n'a le droit d'y toucher à part elle, évidemment.
Elle a réussi à la faire signer par des membres de l'équipe féminine du Japon dans le monde des vivants en 2008 lors de leur victoire en Coupe du Monde, en la confiant à une vampire qui est allée assister au match pour elle. Elle protège les autographes avec du vernis et du film transparents.
Elle se promène souvent avec, en la mettant dans un sac de sport adapté ou en la gardant en main, mais en aucun cas elle ne s'en sert pour frapper réellement quoi que ce soit – ou qui que ce soit. Elle ne l'utilise même pas dans le sport pour lequel elle a été conçue...
À propos de sa bague chimérisante :
Elle appartenait autrefois à sa plus précieuse amie, qui s'en servait pour cacher sa véritable apparence derrière des traits raciaux qu'elle rêvait d'acquérir réellement un jour. Cette dernière a fini par la lui confier symboliquement, le jour où elle a décidé d'accepter sa nature de zombie à la place.
La première fois que Yumi a essayé elle-même par curiosité cette bague après l'avoir faite recharger, elle a cru qu'elle ne fonctionnait qu'à moitié, et que la nécromancienne qu'elle avait missionné avait eu l'audace de l'arnaquer. C'est une inspection visuelle plus minutieuse de la part de son amie qui leur a permis de découvrir qu'en vérité, outre les cheveux bleu-violet pétant selon la lumière, l'illusion s'avère juste étonnamment discrète, si ce n'est pas observé sous les bons angles ou dans les bonnes circonstances.
Ses yeux ont pris une teinte bleutée et semblent réfléchir la lumière dans l'obscurité – bien qu'à son plus grand désarroi, cela ne soit pas la manifestation d'une vraie nyctalopie –. Ses oreilles présentent une pilosité plus fournie le long de la conque et dans le pavillon, ses dents apparaissent plus acérées, sa langue semble hérissée de papilles abrasives, et l'intérieur de ses mains et de ses pieds paraissent plus sombres, endurcies par des coussinets. Elles supposent donc que la transformation simule une injection de félidé, mais il est compliqué d'en définir l'espèce avec si peu de signes distinctifs. Ce pourrait être un chat de salon comme une panthère, voire un mélange. Quant à la couleur singulière de ses cheveux... Aucune foutue idée.
Yumi a d'abord réagi avec déception face à ce résultat peu probant ; cependant, elle continue de la porter depuis que son amie lui a confié que la couleur de ses yeux lui plaît, lui rappelant les siens avant sa zombification. Mais en ce qui concerne la chevelure : c'est niet, elle refuse cette espèce de coloration qui pourrait nuire aux épileptiques. Puis elles sont bien d'accord sur le fait que ça fait beaucoup trop neko girl d'eroge débile.
À noter que Yumi a déjà essayé de reproduire la couleur des iris avec des potions. Or le rendu n'est pas toujours exactement le même selon la qualité. C'est pourquoi elle préfère à la place garder la bague, composer avec ses faux traits raciaux, et se reteindre les cheveux, car ça lui importe peu que leur noir ne soit pas toujours parfait.
derrière l'écran
Prénom/surnom : Aitosan
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