tw uniquement réponses 15 et 16.
« Alors ? Heureux ? »
Allongé comme un Romain sur son divan, avec ton petit sourire en coin séducteur et ce levé de sourcils aguicheur, tu observes l'homme allongé sur le matelas à côté de toi.
T'as du mal à rester sérieux. Et pourtant, tu avais rêvé de sortir cette bêtise. C'est qu'il fallait la trouver, l'occasion parfaite. La crème de la crème des imprévus, ceux-là même qui allaient provoquer la surprise, l'étonnement et la confusion.
Ah tu n'attendais que de voir sa tête mais tu ne tiens plus et tu brises ce semblant de sérieux par un rire joyeux que toi seul sais faire retentir.
À l'aise plus que dans les apparences, celles que tu gardes quand tu n'es pas tout seul, cette persona qui au final est quand même bien en toi.
T'es con parfois. Il a fallu quelques mois pour t'ouvrir un petit peu à Cassian, tout secret que tu es (il pouvait déjà entrer dans ta chambre, ce qui était une grande avancée, du moins pour toi).
Ce pauvre Cassian que tu attrapes par la taille pour ramener sa peau nue contre la tienne.
« Revenez là, Cher Ami, je n'en ai pas fini avec vous. »
Si tu pensais pouvoir t'enfuir Cass', c'est raté.
Tu dégages une mèche de cheveux de son visage, juste pour lui déposer un énième baiser sur les lèvres. Tu l’observes, avec ce petit sourire adouci... Puis espiègle. Voilà la leçon à retenir : toujours endormir la vigilance de sa proie par un bisou ou une caresse sur les reins. Et surtout, toujours quand elle est fatiguée sur la couette.
Joueur, bête et euphorique, tu roules avec lui sur le matelas. Tu finis sur le dos, mais qu'importe, tu aimes bien être sur le dos aussi. C'est ainsi que tes doigts de vilain malandrin viennent chatouiller les côtes à portée. Tu veux l'entendre rire, c'est aussi simple que ça. Mais toutes les bonnes choses doivent se terminer, et tu calmes tes mains très vite. Tu souris, un dernier baiser comme une promesse d'arrêter de l'embêter.
Ah t'es tellement bien là.
Notes
349 mots
un vrai gamin je te l'accorde