"Ce n’est pas comme si je me suis dit que c'est amusant de se jeter sous les roues des voitures." Heum... on ne va rien dire. Oui voilà. Tu te contredis un peu. Beaucoup, en fait.
"Je n'ai pas très faim de toute façon." Enfin si. Mais tu veux l'écouter. Mais il ne veut pas. C'est nul.
"Je vais finir par croire que vous me prenez pour une gamine. Je suis adulte !" On se demande pourquoi. C'est étrange, tout le monde pense ceci. Et tu détestes ça.
Non, tu ne comptes pas changer. Ça demande de faire du travail sur soi et... oui bon.
"Il ne faut pas s'en ficher comme ça, c'est tout." Et pourtant avec ce que tu fais, comme il l'explique si bien... et il touche un point sensible.
"Ce n’est pas pareil !" La pire défense du monde. Ça n'est pas comme si la dernière fois qu'il y a eu ce genre de soucis, tu as fini par te disputer avec un ami (encore), par pleurer (beaucoup, encore) en le suppliant de rester, que ça n'a pas fonctionné (comme d'habitude) et qu'en rentrant dans ta chambre complètement en déprime, de rage, tu as cassé un truc.
Et ça n'arrive pas régulièrement non plus.
"Mes amis me comprennent donc c'est bon." Une petite voix. C'est bien plus compliqué que ça, et ça n'est pas entièrement vrai. Ceux qui te soutiennent dans tes... activités dangereuses ont besoin d'aide également.
"Et il n'y a pas que vous." Par contre la suite...
"Non, vous ne me ramenez pas." Tu BOUDES. Tu VEUX passer plus de temps avec lui, alors tu ne vas pas le laisser faire. Pas sûr que ce soit mieux que t'effondrer en larme parce qu'il te "repousse".
"Sinon il va y avoir un autre cas de force majeure." Super, du chantage. Et tu ne veux pas impliquer les autres, bien sûr. Si ça, ce n’est pas, être impulsif. Mais tu ne veux pas arriver jusqu'a la.
"je veux juste être gentille avec vous..." Ah, super, tu vas commencer à pleurer. Les émotions commencent à prendre le dessus et ça va être... sportif.