"Et bien qu'elle se brise. Je suis très bien ici je te dis." Tu t'énerves, mais ça n'est pas contre elle. Ou du moins, pas de sa faute. Le stress et la fatigue s'accumulent, les conséquences commencent à se voir (et surtout, s'entendre).
"Tu sais très bien ce que je risque." "Juste" la noyade. Ce qui ne doit pas être agréable, même une fois mort. Peut-être que tu perds conscience rapidement, si ça doit se produire. Encore une fois, autant ne pas y penser.
Et bon, pour l'instant, tu es coincée ici. Au moins, tu ne sors pas de l'eau. Mais ça va durer longtemps. Enfin, en théorie, elle vient te décoincer. Lentement, mais surement. En te prenant les mains pour que tu lâches l'échelle.
Bon, tu as failli hurler de peur, tu ne t'y attendais pas (même si elle t'a surement prévenu, peut être que tu ne l'as pas entendu). Mais tu la laisses faire. Tu es "juste" tremblante et terrifiée à l'idée que tu risques de t'enfoncer sous l'eau, sans plus ou moins de raison.
Mais ça n'est pas comme si une peur doit être logique.