Peek a Boo ! •• V.4.2
Peek aBoo !
Forum RPG paranormal • v.4.2 • Rp libre
Tout commence après la mort : découvrez un au-delà chatoyant où les rires remplacent la douleur.

Bienvenue

dans le Monde des Morts


Peek a Boo ! est un forum rpg dont la v4 a ouvert en février 2023. C'est un forum city paranormal où les personnages sont décédés ; après une vie pas très chouette, iels se sont vu offrir une nouvelle chance et évoluent désormais dans le Tokyo extravagant de l'au-delà.

News

Personnages attendus

Yvan, son ex-compagnonpour Abraham Zakarian

起死回生

❝Have a good death
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Page 1 sur 2 1, 2  
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#1
Terminé08.01.18 3:01
The day I died

where the HELL am I!?

Japon, 5 février 1666, quelques minutes après la mort de Meoquanee…
_________________________________________________________________________

Elle réalisa que ses yeux étaient clos depuis déjà trop longtemps. En les ouvrant, lentement et prudemment, Meo comprit qu'elle marchait. Accrochés à ses deux bras, se trouvaient deux parfaits inconnus qui la traînaient en fixant tout droit devant eux. Ils semblaient insouciants du fait que Meoquanee respirait aussi vite et mal qu'un poisson hors de l'eau et qu'elle frisait l'hystérie. Plus précisément, ces deux-là semblaient en avoir vu d'autres, affichant tout de même une légère expression d'inquiétude. Une fois l'analyse de leur expression faciale complétée, l'Amérindienne se concentra ensuite sur sa destination, ou plutôt celle des deux inconnus. Ces derniers s'arrêtèrent devant un étrange mur duquel émanait une lumière semblable à celle du jour. Trop émotive pour s'en soucier, Meo ne prit même pas le temps d'être surprise lorsque ce mur glissa pour laisser apparaître une nouvelle pièce. Cette pièce était habitée de deux autres personnes et était assez spacieuse pour en accueillir quelques autres. Cependant, la première chose que les rétines de la jeune femme filtrèrent ne fut pas le regard consterné des deux autres étrangers, mais bien le vert. Elle figea complètement, le souffle coupé et les deux yeux grands ouverts.


Du vert ! Une forêt faisait face à Meoquanee ! Une forêt complètement étrangère, certes, mais une forêt tout de même. Enfin, quelque chose qu'elle pouvait reconnaître, mieux : comprendre ! Ni une, ni deux, l'Amérindienne prit son élan et s'extirpa violemment de l'emprise de ses deux guides et fonça rapide comme une flèche vers les nuages de feuilles qui l'appelaient.
Elle courut aussi vite que ses jambes le pouvaient, évitant (ou détruisant) chaque obstacle entravant sa route. Au départ, ces obstacles étaient humains. Des dizaines de personnes vêtues avec extravagance se promenaient nonchalamment dans les rues qui semblaient tout droit sorties d'un rêve. Rapidement, ils devinrent naturels. Des branches, des pierres, de petits animaux… Lorsque la jeune femme pénétra enfin la forêt, elle eut l'impression d'entrer dans un tout autre monde. Le silence tomba brusquement et elle n'entendait plus que le doux murmure de dame nature… Et quelques sons franchement effrayants. Des sons comme elle n'en avaient jamais entendu ! Le chant des oiseaux, le cri lointain d'animaux exotiques, tout lui semblait complètement… étranger !
Désespérée, Meoquanee finit par faire grâce à son coeur et ses jambes et stoppa net sa course, tombant à genoux. Ses poumons cherchaient l'air à tâtons et elle se sentait nauséeuse. La jeune femme prit une seconde pour se demander où diable se trouvait-elle et ce qu'elle cherchait exactement. Ce qu'elle cherchait… Était un homme. Ses mains serrèrent la terre si fort qu'elle aurait pu faire de sa poignée de poussière une pierre. Elle savait ce qu'elle traquait. Une seule question régnait à présent en son esprit, une question qu'elle hurla dans sa langue natale, au grand mécontentement de ses poumons en manque d'oxygène.
QUEL-EST CET ENDROIT MAUDIIIIT !!?
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#2
Terminé08.01.18 3:46
The Deerft. MeoquaneeI know how it is. The dread, the shock, the denial. It hits you harder than you'd like to admit and next thing you know, you're screaming and punching and screaming and choking. (Woodkid → The Deer)Kohaku marchait lentement dans la forêt avec un sac rempli de matériel de peinture. Il faisait très beau aujourd'hui et elle appréciait chaque seconde de sa petite escapade en forêt. Comme il était encore tôt dans l'après-midi, le soleil filtrait encore à travers les branches, éclairant le sentier sur lequel la Onna Bugeisha marchait. Elle regardait les alentours d'un œil serein, souriant légèrement à la vue des arbres magnifiques, de l'environnement verdoyant et grouillant de vie, des différentes plantes et fleurs ajoutant des couleurs vives au portrait. Elle détectait également différentes odeurs, comme la terre humide, ou encore les fleurs sauvages. Elle tendit l'oreille, écoutant le son de la brise à travers les branches et les feuilles, le son des branches qui craquent et de la terre se déplaçant à chacun de ses pas, le chant des oiseaux, les cris dans un dialecte inconnu... définitivement, elle ne regrettait pas d'être temporairement revenue au Japon avant son prochain voyage.

Une petite seconde...

Toujours en écoutant attentivement, Kohaku changea de trajectoire, se dirigeant vers la provenance de la voix qu'elle venait d'entendre. Elle s'approcha et éventuellement se mit à entendre un son semblable à la respiration d'une personne ayant couru un marathon... ou biens e trouvant en état de choc. C'était l'un ou l'autre, et le choix entre les deux fut facile à faire lorsque la guerrière établit finalement un contact visuel sur la cible de sa recherche spontanée.

Il s'agissait d'une jeune femme aux allures quelque peu... sauvages. D'accord, elle avait l'air de vivre dans la nature depuis toujours. Elle semblait être complètement perdue, confuse et surtout paniquée, mais ce qui la marqua le plus fut la vue de ses armes. Immédiatement, elle devint plus prudente par réflexe. Kohaku se concentra à essayer d'attirer son attention sans la brusquer. Elle ne savait pas ce qui l'avait mise dans un état pareil et de toute façon, les possibilités étaient très nombreuses. L'important était qu'elle avait probablement besoin d'aide ; et elle était là pour tenter de lui en donner.

S'imaginer communiquer était une chose. Le faire en était une autre. Elle tenta le japonais. Sans succès, elle ne réussis même pas à obtenir un regard en coin. Peut-être avec l'anglais, alors...

- Excuse me. Can I help you?
© 2981 12289 0
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#3
Terminé08.01.18 4:28
Sans même la comprendre, l’oreille de Meoquanee reconnu la langue que lui souffla le vent. Hah… Elle la reconnaîtrait entre mille. De toutes les horreurs et la confusion que lui apportaient sa soudaine situation, cette simple phrase sans message était la pire des insultes. Malgré tout, l’offense apporta tout de même quelque chose de positif en l’esprit désordonné de l’amérindienne : de la clarté. Soudainement, une seule émotion envahit tout son être comme une chaude vague caniculaire et son souffle se calma. La rage reprit son règne et s’empressa de lancer une commande que Meoquanee s’empressa d’accepter, un sourire meurtrier aux lèvres.

Tuer l’anglais. Tuer l’anglais ! TUE CET HOMME !

Lorsqu’elle leva les yeux vers son interlocuteur, ses yeux ne perçurent que ses souvenirs. Elle se retrouvait à nouveau dans sa forêt, armée de colère et assoiffée de sang, face à l’homme ayant prit la vie de son père. Sentant la colère des esprits de son peuple l’accompagner, Meoquanee réagit plus vite que l’éclair. En un seul mouvement vif, elle attrapa l’atlatl qui pendait à sa ceinture et lança un dard de toutes ses forces. Sans même prendre le temps de s’assurer que le projectile atteignit sa cible, elle s’empara de son tomahawk et se lança sur son ennemi mortel. Au creux de son crâne, elle entendait leur murmure, la voix de ses frères et sœurs l’encourageait dans sa quête de vengeance.

Tue l’anglais ! Tue-le !

Elle poussa un lourd cri de guerre, laissant leurs esprits s’exprimer à travers elle.
HRP :
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#4
Terminé08.01.18 4:46
The Deerft. MeoquaneeI know how it is. The dread, the shock, the denial. It hits you harder than you'd like to admit and next thing you know, you're screaming and punching and screaming and choking. (Woodkid → The Deer)Kohaku réagit au quart de tour lorsqu'elle vit que la jeune femme s'emparait d'une arme qui lui était inconnue. Elle verrouilla son regard sur celle-ci, remarqua qu'il s'agissait d'une arme de projection, donc elle sauta immédiatement sur le côté, esquivant la flèche géante. Elle conserva une position défensive et resta légère sur ses pieds. Contre-attaquer dans cette situation n'était pas approprié du tout, mais elle dégaina tout de même son kaiken par sécurité, adoptant une position de combat lui permettant de bouger rapidement.

La lame cachée derrière la paume de sa main, l'inconnue se jeta sur elle avec une rage que Kohaku se devait de prendre très au sérieux. Elle se concentra et respira, esquivant chaque coup de la jeune femme désorientée, conservant sa hache à une distance sécuritaire à l'aide son son kaiken lorsqu'il le fallait, ses pieds ne quittant jamais le sol pour s'assurer qu'elle ne trébuche pas, ne perte pas l'équilibre ou ne se fasse pas déstabiliser. La sauvage était déjà très fatiguée autant physiquement que mentalement ; ses coups n'étaient pas précis et commençaient à être de plus en plus lents, de moins en moins forts et de moins en moins nombreux. Éventuellement, il y eut une petite pause durant lequel Kohaku établit finalement un contact visuel avec son adversaire perdue.

Elle lui fit un joli sourire.

Visiblement, elle ne comprenait ni le japonais, ni l'anglais. Peut-être ne comprenait-elle que sa langue natale, qui était probablement le dialecte étrange qu'elle avait hurlé quelques minutes plus tôt seulement. Dans tous les cas, sa réaction violente n'effaçait pas le fait qu'elle avait clairement besoin d'aide. En fait, ce genre de réaction face à la mort n'était pas rare du tout. Elle-même avait perdu son calme complètement lorsque l'information passa. Ce n'était pas toujours facile.

Alors, un sourire, c'était une bonne étape pour commencer. Rassurant, preuve qu'elle ne cherchait pas à être hostile envers elle, tout comme sa décision de ne pas attaquer.

Si elle avait été un homme, ça aurait été une autre histoire...
© 2981 12289 0
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#5
Terminé08.01.18 5:37
I'm not running away.Meo était complètement éreintée. Bien qu’elle tentât de l’ignorer avec toute la force de son âme, la fatigue l’avait frappée comme un coup en plein ventre dès le premier coup de tomahawk. Elle avait soudainement l’horrible sensation d’avoir couru pour sa vie trois jour sans arrêt. Même si son esprit était toujours bien motivé à trancher son cuire chevelu à son adversaire, le que corps de l’amérindienne ne pouvait tout simplement plus répondre à la demande. Exténuée, la jeune femme ressentit un haut-le-cœur, non pas par fatigue, mais pas dégoût face à son incapacité à combattre. Elle était réellement pathétique pour ne pas être en mesure d’administrer le moindre coup à l’Anglais qu’elle traquait depuis quoi, seulement la majeure partie de sa vie…

Et puis cet homme lui sourit.

Tout d’un coup, Meoquanee revint à la réalité. Elle revint les traits étranges qui dessinait les visages de beaucoup de passants, dont celui de l’homme qui lui avait fait un spectacle d’ombre à l’aide de ses deux mains. Oui… Elle se souvint de la reconstitution de sa propre mort. Meoquanee ravala avec grande peine le peu de salive qu’elle avait afin de ravaler l’incroyable sentiment de défaite et de surprise qui venait de la submerger. Ses souvenirs des dernières minutes étaient très vagues, mais l’émotion très claire et l’incompréhension, dominante. Jamais Meoquanee ne s’était perdue et le fait de se retrouver dans un endroit si… surnaturel la dépassait complètement. Son but était toujours le même : retrouver l’Anglais et le massacrer comme tous les autres. Mais comment ? Morte, elle… Elle…

Incapable de gérer toute cette information, l’amérindienne retourna une expression de pure découragement et d’exaspération à l’étrange étrangère qui venait d’exercer une impressionnante démonstration du maniement du couteau. Bien que légèrement curieuse, Meo était surtout dépassée. Elle décida de simplement replacer son arme à sa place et se mis à la recherche du dard précédemment lancé. De toute façon, elle ne combattait plus l’Anglais, mais bien une femme insignifiante qui lui souriait gentiment.

La jeune femme fit un lent tour sur elle-même, balayant les environs du regard le corps lourd et la tête pleine. D’ailleurs, un mal de tête s’était mis à tambouriner sur ses tempes, avec tous ces efforts donnés pour rien. L’amérindienne retrouva son dard bien encastré dans le tronc d’un arbre. Elle le fixa un instant avant de se retourner vers l’inconnue. La voix pleine de menace, mais vide de crédibilité sous la fatigue et considérant sa position d’infériorité, elle s’exprima :

Fuit pendant que tu le peux encore, petite femme. C’est un cadeau que je ne fais jamais à ceux qui entravent mon chemin.
© 2981 12289 0
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#6
Terminé08.01.18 6:00
The Deerft. MeoquaneeI know how it is. The dread, the shock, the denial. It hits you harder than you'd like to admit and next thing you know, you're screaming and punching and screaming and choking. (Woodkid → The Deer)Ça avait fonctionné : parfait ! La jeune femme s'était calmée ; si on pouvait appeler son expression "calme". Elle était exténuée, confuse et probablement encore sous le choc. Peu importe ce qu'il s'était passé pour qu'elle en arrive là, les indices comme sa langue, son comportement et - oui - son odeur assez nauséabonde indiquaient qu'elle venait de mourir. Et vu ses tendances hostiles, son ton très froid et son regard effrayant, Kohaku se dit qu'il valait mieux rester prudente. Elle rangea discrètement son kaiken, mais resta aux aguets et prête à réagir au moindre mouvement brusque.

Par contre, elle n'avait absolument rien compris de ce qu'elle venait de lui dire. La Japonaise s'approcha légèrement, mais conserva une distance un peu plus que raisonnable avec la guerrière sauvage, l'observant essayer de retirer le dard du tronc d'arbre. Son regard se promena. Cette flèche géante était incrustée dans l'arbre jusqu'à plus que la moitié : elle n'osait pas s'imaginer se la prendre de plein fouet. Elle se serait probablement retrouvée avec un joli trou quelque part, ou à perdre l'usage d'un membre, ou... pire. Cette arme inconnue était donc très dangereuse. L'inconnue se mit à tirer sur la flèche géante pour la sortir, sans succès. Elle mit ses deux pieds sur l'arbre et tira de toutes ses forces avec une expression franchement, à en donner des sueurs froides, avant de finalement déficher la grosse flèche et atterrir avec expertise sur le sol.

Prudence était de mise.

Kohaku remarqua que ses mouvements et sa façon de se tenir étaient celle d'une guerrière, ou d'une chasseuse - elle avait du mal à déterminer lequel des deux. Peut-être était-elle les deux, justement ? Ses techniques étaient extrêmement intéressantes, mais pour le moment, elle avait un problème à régler : la barrière des langues.

Kohaku lui fit signe qu'elle ne comprenait pas ce qu'elle lui disait, avec un haussement des épaules et en secouant légèrement la tête. Puis, elle tendit une main dans sa direction, sa paume faisant face à son interlocutrice, dans un mouvement lui indiquant qu'elle aimerait bien qu'elle se calme et que ses intentions n'étaient pas hostiles. Finalement, elle fit un pas en avant, doucement, avant de s'incliner légèrement et de se pointer elle-même.

- Matsushira Kohaku.

Puis, elle pointa l'inconnue avec une expression intriguée.
© 2981 12289 0
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#7
Terminé11.01.18 4:25
Lesson number one : let there only be one.Meoquanee retrouva une respiration certes sèche et forte, mais régulière tout en observant les gesticulations de l’étrangère. Assise sur le sol verdoyant et adossée contre le robuste tronc d’arbre composé d’un bois suspect, l’amérindienne ne mit pas de temps à comprendre ce que son interlocutrice tentait de lui communiquer. Après tout, les colons anglais avaient le même réflexe lorsqu’ils la croisaient. Parlant de parasite, Meo hésitait à faire confiance à cette inconnue. Jamais auparavant elle n’avait vu un visage porter pareils traits et elle craignait que la même histoire s’étant produite avec les anglais avant sa naissance ne se reproduise. Cependant, Meo était… morte. Que pouvait-il lui arriver de pire ? D’autant plus que, si elle désirait survivre, elle ne pouvait y arriver seule. Tout ce qu’elle percevait lui était tout-à-fait inconnu et s’isoler dans pareil environnement ne pouvait que lui apporter des problèmes, et de gros. Alors, la jeune femme décida de jouer au petit jeu de l’étrangère, à commencer par tenter de prononcer ce qui semblait être le nom de la femme.

M.. Mahutchila… Ko…Ha koo.

L’inconnue désormais prénommée corrigea la chasseuse, cette fois en répétant son nom plus lentement, articulant la forme de chaque prononciation.

Mmmmmaaaaaa… Tttssssssooouuuuu… Ccccchhhiiiiii… LRLRLRLRLRLRaaaaaaaa… Kooooo—

Koko.

Meoquanee se releva en replaçant son dard dans son carquois et s’approcha d’un ferme pas de Koko. Elle attrapa d’un geste vif la main de cette dernière et la déposa contre sa poitrine encore battante, au niveau de son cœur enflammé. Lentement, elle prononça son nom, son regard plongé dans celui de la femme au visage étrange et les paupières suffisamment écartillées pour laisser paraitre l’entièreté de ses iris ardentes. Pas question que cette Koko ne se permette de raccourcir son prénom, cependant. Il portait bien trop d’importance à ses yeux. Une fois son nom prononcé, elle vint déposer la main de l’étrange femme contre sa propre poitrine, puis de retour sur la sienne et continua le même mouvement tout en répétant le même exercice de prononciation.

Meoquanee. Koko. Meoquanee. Koko.

Une fois certaine d’avoir complété les présentations (et irritée de la stupidité de la scène), l’amérindienne finit par libérer Koko de son emprise. Il était temps de passer à la question suivante. Meoquanee étira ses deux bras à ses côtés et fit référence de ce mouvement à son environnement. Elle ajouta même un peu de clarté en faisant un tour sur elle-même et en déposant par le fait même son regard un peu partout. Elle termina le tout en haussant les sourcils, gardant la pose. Traduction : où suis-je ?
© 2981 12289 0
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#8
Terminé11.01.18 4:56
The Deerft. MeoquaneeI know how it is. The dread, the shock, the denial. It hits you harder than you'd like to admit and next thing you know, you're screaming and punching and screaming and choking. (Woodkid → The Deer)Kohaku avait été quelque peu prise au dépourvu par la réaction de... Meo Kuane ? Mais elle se reprit en main très rapidement. Au moins, il était facile de comprendre que la jeune femme cherchait à comprendre où elle se trouvait. La Japonaise  étendit également ses bras d'un geste théâtral, lui rappelant vaguement une pièce de kabuki. C'était... amusant. Elle se mit à pointer plutôt en direction de la ville, donc derrière elle.

- Tokyo.

Puis elle ramena le mouvement vers elle pour indiquer la forêt autour d'elles.

- Tokyo's Forest.

Il valait mieux garder le tout très simple. Mine de rien, ce genre de communication était un peu plus compliqué que ce qu'elle croyait. C'était un défi qu'elle ne refusait pas, mais elle ne savait pas trop comment procéder. Kohaku voulait définitivement poser quelques questions à cette Kuane, comme par exemple, essayer de savoir d'où elle venait et surtout, quelle était l'exacte source de son problème. Mais comment exprimer tout ça en mouvements ? Voilà qui était une excellente question. La Onna Bugeisha tapota doucement son menton tout en réfléchissant et en examinant son interlocutrice.

Vu son accoutrement et les traits de son visage, elle venait clairement d'un autre pays. Il n'y avait que les étrangers pour avoir ce genre de comportement. Surtout les hommes, mais pour que Kuane, une femme, se montre si... brusque, ça ne pouvait qu'être en raison de ses origines. Pour avoir voyagé dans quelques pays déjà, Kohaku savait que les différences entre les cultures pouvaient s'avérer être étourdissantes.

Et cette Kuane Meo était un cas assez intense. D'ailleurs, elle devait probablement massacrer son nom complètement... Mais bon. Comme elle ne savait pas trop comment poser ses questions, Kohaku se contenta de regarder l'étrangère en attendant que celle-ci pose les siennes.
© 2981 12289 0
Invité
Anonymous
Invité
évolution
#9
Terminé13.01.18 2:51
Lesson number two: Never count to three.L’expression faciale de l’amérindienne se déforma d’un spasme de frustration à l’écoute du mot anglais qui lui était si familier… Lorsque les anglais envahissaient sa forêt. Cependant, Meoquanee ne put se permettre d’attraper Koko par le collet pour exprimer son mécontentement. Son nez perçus une odeur et son regard vint se poser sur un buisson suspect juste avant que celui-ci ne se mette à émettre un son inquiétant. L’impression d’être surveillée grandit en l’amérindienne alors qu’elle dégaina le couteau qui pendait autour de son cou. Et si vous vous attendiez à ce qu’elle endure ce suspense et se mette en garde le temps de voir quelle créature la guette, détrompez-vous ; vous ne connaissez pas celle qui porte le rouge !

La sauvage bondit vivement et furtivement, sans un bruit, dans le buisson pendant que Koko se mit en garde. En l’espace de deux secondes, elle se retrouvait dans la broussaille en train faire pleuvoir de rapides et silencieux coups de couteau sur sa victime. Lorsqu’elle décida qu’elle en avait administré suffisamment, elle fit tomber un dernier coup et utilisa ses yeux pour identifier sa proie. Il y eu un court moment de silence et la jeune femme souleva son arme afin de montrer son trophée à une Koko quelque peu déstabilisée face aux méthodes plus que radicales de la sauvage.

Ce n’était qu’un écureuil… Ou du moins cela semblait l’être, seulement plus gros et plus orange. Elle pointa sa proie ensanglantée et haussa les sourcils une fois de plus, curieuse de savoir le nom de cette bête. Même après avoir étripé cet animal avant qu’il ne les attaque, Meoquanee restait sur ses gardes. Pour elle, tout, absolument tout représentait un danger pour sa vie.
© 2981 12289 0

HRP :
Maîtresse de la mort
Maîtresse de la mort
[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi Empty[RP PAST] - Si bien chez soi LvA4LEQ003724125
La Faucheuse
La Faucheuse

Infos complémentaires
Barre d'amusement:
[RP PAST] - Si bien chez soi DODprFi0/0[RP PAST] - Si bien chez soi 3k2uH8S  (0/0)
Présence: présent·e
Evolution : [RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE
[RP PAST] - Si bien chez soi Empty
[RP PAST] - Si bien chez soi LvA4LEQ
Âge de la mort : 0
Âge post-mortem : 0
Epitaphes postées : 3724
Øssements125
[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi ZShapbE[RP PAST] - Si bien chez soi Empty[RP PAST] - Si bien chez soi LvA4LEQ003724125
évolution

Infos complémentaires
Barre d'amusement:
[RP PAST] - Si bien chez soi DODprFi0/0[RP PAST] - Si bien chez soi 3k2uH8S  (0/0)
Présence: présent·e
#10
Terminé13.01.18 2:51
Le membre 'Meoquanee' a effectué l'action suivante : laisser faire le hasard


'TOUT PEUT ARRIVER' :
[RP PAST] - Si bien chez soi 8h70vcL
Contenu sponsorisé
évolution
Page 1 sur 2 1, 2