EPREUVE 2 • Manoir abandonné [Here We Go ! + Dusk Lumiris]

• Vous avez trois jours pour échanger au maximum 5 réponses rp chacun (soit 10 réponses en tout)
  
• L'épreuve se termine donc le 6 janvier à 23h59
  
• Les réponses sont limitées à 350 mots maximum
  
• Le contenu du manoir est évidemment laissé libre pour que vous puissiez y insérer vos idées les plus éclairées
  
• Les champions doivent poster dans le sujet de leur épreuve respective en tant qu'invité (pas besoin de s'inscrire donc, sauf si vous êtes un champion de PaB) en précisant bien leur forum d'origine dans leur pseudo.
  
  exemple, si Jean-Diego est le champion de Tasty Tales, il poste en tant que "Jean-Diego [TT]"
  
  
• Vous pouvez ajouter en "hors-rp" une présentation rapide de votre personnage ou des aspects importants concernant le contexte de votre forum d'origine, histoire de faciliter la compréhension du lecteur sur des points trop obscurs. (et ça comptera pas dans la limite de mots obvi)
  

N'hésitez pas à poster vos questions si vous en avez, soit dans le sujet explicatif, soit sur la shoutbox de l'interforum, où vous pouvez par ailleurs discuter avec les autres champions

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Qu'est-ce qu'il fichait ici déjà ?… Ah Oui… C'était encore à cause de sa nièce. Sumie avait gagné deux places pour un petit voyage d'une quinzaine de jours -lors d‘un concours de mangeur de poulpe- et son père avait bien évidemment, refusé, une fois de plus. Trop de travail. Alors, l'adolescente c'était tout simplement tournée vers son oncle, qui avait fini par céder. Autant dire que ce fut un véritable déchirement pour lui, qui n'avait connu que son quartier depuis pas mal d'années maintenant… Et puis… Il avait été obligé de laisser son précieux cheval derrière lui, tout en ayant dû placer son chat (et son poisson, bien qu'il soit persuadé de retrouver la dite bête le ventre en l'air, comme à chaque fois…).

Kats' avait réussi à obtenir une autorisation pour emmener son sabre avec lui et avait ainsi la joie de pouvoir sentir son arme adorée à son côté. Vêtu d'un simple Kimono -en soie, évidemment- il avait laissé sa nièce dans leur petite villa de plage, pour pouvoir profiter un peu de l'environnement que ce lieu pouvait lui offrir. Sans doute un panorama magnifique, s'il empruntait ces routes menant au sommet des falaises. Bon, ok. Il allait y avoir de la route, mais ça allait surement valoir le coup, n'est-ce pas ?

Le chemin fut assez long du coup, mais alors qu'il marchait d'un pas tranquille, il se rendit compte que d'affreux nuages noirs avaient fini par s'accumuler à une vitesse étonnante. Pourtant… Dix minutes avant, il n'y avait pas un seul mouton là haut… Alors, lorsque la pluie se mit à tomber, il entreprit de trouver un abri au pas de course. Si l'idée avait été de rentrer, un éclair zébrant le ciel lui avait rapidement fait changer d'avis… Heureusement, la silhouette d'un manoir finit par se dessiner au milieu des trombes d'eau et alors qu'il s'y dirigeait, il manqua de peu de renverser quelqu'un…

- Ah ! Gomèn'nassaï !

Lorsque j'ai organisé mes vacances je ne pensais pas arriver dans un tel endroit. Enfin à vrai dire c'est une tempête plutôt violente et soudaine qui nous a surpris moi et mon Altaria chromatique, Delta. Nous avons donc dû nous poser sur cette île pas vraiment paradisiaque pour entreprendre de trouver un abri au moins pour la nuit. Qu'est-ce que j'ai horreur que mes plans ne se déroulent pas comme prévu.

Je m'avance donc au milieu de cette végétation plutôt dense en faisant bien attention à ne pas effiler mon collant, au prix que ça compte ces petites choses. D'ailleurs je suis vêtue d'une mini-jupe noire, de collants de la même couleur, d'escarpins gris, d'un chemisier blanc et d'un simple perfecto noir également. Mon épée est accrochée dans mon dos et mes cheveux, attachés en queue de cheval haute. Altaria continue de voler quelques mètres au dessus de moi pendant que je libère Lana, ma Lockpin, de sa pokéball.

Soudain, un homme plutôt grand manque de me faire trébucher, cette végétation n'aide pas à voir toutes les personnes aux alentours et en plus ça ne sent pas vraiment la rose. Je me recule en pestant parce qu'un de mes talons vient de s'enfoncer dans le sol. Lorsqu'il me salue je relève la tête l'air intriguée.

« Euh excuse moi. On se connaît ? Je ne crois pas. Garde tes salutations, j'suis pas d'humeur. Au moins tu auras eu la chance de me rencontrer. Allez, déblaye le passage. »

Avant que je n'ai le temps de dire autre chose, un éclair traverse le ciel rempli de nuages noirs imposants et quelques gouttes de pluies commence à tomber. Grâce au vent naissant on peut clairement apercevoir un gigantesque manoir absolument pas rassurant à quelques pas seulement. Je me retourne vers l'homme en haussant les épaules.

« Bon, tu me fais pitié. Enchantée, Lise Gray. Je crois qu'on ne va pas avoir le choix de coopérer là, allons au manoir l'orage approche ... »

La personne qu’il avait manqué de renverser était une jeune femme, un peu plus grande que lui et accompagnée d’un… Heu… C’était quoi ça, comme bestiole ?… Si le rouquin s’en retrouva stupéfait, ayant l’impression de voir les créatures d’un des jeux de sa nièce, il se reprit rapidement lorsque cette inconnue prit la parole. Pardon ?… En tout cas, heureusement qu’il connaissait plusieurs langues, une chose un peu obligatoire lorsque l’on surveillait un quartier fort touristique sur Avalon, mais ça ne semblait pas être son cas, à cette pimbêche. Elle avait de la chance qu’il était encore sous le coup de la surprise, sinon il aurait prit bien plaisir à lui fermer le clapet.

Le soucis, c’est que visiblement, ce temps n’avait pas envie de les laisser partir chacun dans leur coin. Et lorsqu’un nouvel éclair zébra le ciel, il leva le nez et… Hein ?!… C’était quoi encore cette chose volante ?… Attendez… C’étaient donc ça des Yokaïs ? Mais… Ils ne ressemblaient en rien à ce qu’il avait put entendre par le passé et… Hm. Cette femme reprit finalement la parole, le coupant court dans ses réflexions. Katsuto grommela un instant en Japonais, puis finit par répondre dans une langue plus compréhensible pour elle.

- Oh, mais j’en suis honoré, mademoiselle Gray. - Avait-il finit par dire, avec ironie - Sachez, cependant, que dans ma langue natale, Gomèn’nassaï, ne fait pas partie des salutations, mais signifie, dans la votre, « excusez-moi ».

Il aurait put continuer plus loin encore, mais finit par ce dire que c’était une mauvaise idée. Surtout si cette… Personne, se trouvait-être en réalité un Yokaï, elle aussi. Une Futakushi-Onna ?… Hmphr, il allait devoir surveiller ses arrières dans tout les cas. Alors il posa par réflexe sa main sur le manche de son sabre, avant de se remettre en route pour aller en direction du manoir…

- Vous pouvez m’appeler Kojima.

Oui. Il n’avait pas envie de donner son prénom, étant certain qu’elle l’utiliserait à tord et à travers. Autant l’obliger à rester un minimum polie, non ?

Il daigne enfin répondre, eh bien enfin. Je n'ai pas vraiment son temps, la pluie tombe par petites gouttelettes encore mais ça ne va pas tarder à s’aggraver et je n'ai pas envie d'être toute trempée. Son air lorsqu'il me répond me donne bien envie de le laisser se débrouiller seul par contre. S'il pense que je n'ai pas sentie cette pointe d'ironie dans sa voix c'est mal me connaître ... et en effet il me connaît mal vu sa façon de m'expliquer les choses. Sans m'arrêter de marcher je tourne légèrement ma tête vers lui en passant le dos de ma main dans mes cheveux attachés.

« Ai-je demandé des explications ? Pas que je sache, dépêchons à présent. »

Lorsqu'il s'identifie enfin à moi je lève la main en tournant la tête vers lui pour lui donner l'impression que ça m'intéresse. Nous approchons enfin de ce manoir plutôt délabré mais qui fera l'affaire. Après avoir montés quelques escaliers en pierre nous voici donc face à une gigantesque porte en bois intacte. J'essaie de tourner la poignet de la porte sans succès, elle a l'air bloquée. Il va falloir l'ouvrir par la force.

« Lockpin, vas-y. »

Ma Lockpin s'approche de la porte en bois et d'un geste précis et sec, elle la frappe en son centre d'un gracieux coup de pied qui fit voler la porte de plusieurs mètres à l'intérieur du manoir. Devant nous, une entrée sombre et seulement décorée de peintures assez effrayantes de visages et de quelques meubles s'offre à nous. Au fond de celle-ci il y a une porte en verre, légèrement brisée qui laisse entrevoir un salon en bien piteux état. Pendant ce temps, la pluie commence à tomber à flots à l'extérieur. Je sors mon épée en laissant entrer Kojima en premier.

« N'y vois aucune arrière pensée, je te laisse simplement entrer en premier pour vérifier que tout soit sans danger pour nous. »

Bon sang qu’il était reconnaissant envers son grand père et son ancien professeur, de lui avoir enseigné l’art de la méditation. Sans doute qu’il lui aurait déjà collé un pain depuis un moment. Kats’ s’était contenté de prendre une bonne inspiration pour expulser l’agacement, comme il l’avait appris -chose qui n’était finalement pas efficace contre les Dins, malheureusement- puis finit par s’approcher du manoir. Mais lorsqu’il eut l’envie d’aller toquer à la porte -il avait apprit qu’un lieu délabré n’était pas synonyme de déserté- la mégère demanda à cette chose à longues oreilles de venir démonter la porte. Ce que l’animal fit assez rapidement, avec une puissance qui cloua le guerrier sur place. Heu… ?

Fixant l’animal avec une méfiance bien visible, il finit par froncer les sourcils en entendant les mots de cette étrange personne. Gardant une main sur la garde de son sabre, il finit par s’avancer en direction de l’entré, laissant échapper quelques mots…

- S’il y a bien une chose dont il faut se méfier ici, c’est bien de vous…

Quoi de plus dangereux qu’un Yokaï ? Surtout CE Yokaï, précisément ? Futakushi-Onna, ou cette femme aux traits magnifique, qui cachait une gueule armée de crocs derrière la tête. C’était dingue cette impression de voir surgir d’un seul coup cette particularité chez cette Lise… Enfin. Le Samouraï fit donc les premiers pas dans la bâtisse, d’un pas assuré. Puis, arrivé au milieu du hall, il s’arrêta pour observer les alentours…

- Vous êtes quoi au juste ? Une sorte de maitre Yokaï, avec vos…- Il se figea soudainement alors que la sensation d’une main posée sur l’épaule se fit sentir… Chose qui eu tôt fait de le faire réagir. Katsuto dégaina son sabre, le pointant devant lui alors qu’il s’était retourné pour tenter d’attraper le fautif mais… Rien… - Ne… NE ME TOUCHEZ PAS !

Aussitôt il finit par se retourner, faisant face à cette femme et son lapin géant, le sabre pointé dans sa direction, à présent persuadé qu’elle n’avait eut en tête que l’idée de le piéger ici depuis le départ… La fourberie des Yokaï n'était plus à prouver...

Encore une nouvelle remarque envers ma personne ? Dit donc mais cet homme ne me connaît vraiment pas, s'il ne serait pas en train de pleuvoir des trombes d'eau à l'extérieur de ce manoir je le jetterais dehors, je n'ai pas envie de passer une nuit en sachant qu'un homme comme ça dors sous le même toit que moi et mes pokémons. Tiens, en parlant de pokémon il ne semble pas en avoir et semble même intrigué en voyant les miens, mais de quel monde vient-il sérieusement pour ne rien y connaître ? Et je maintiens que cet endroit est étrange, il n'y a pas une seule créature autre que des espèces de Roucoul mais nettement moins intéressants.

« Maître Yokai ? »

Je n'attends pas la fin de sa phrase que je me permet de le couper, mais avant même que je n'ai le temps de rajouter quelque chose, un claquement de porte à l'étage attire mon attention et je tourne la tête à gauche, vers des escaliers ... étaient-ils là il y a quelques secondes ? Mais dans un élan incompréhensible, le samouraï se retourne vers moi, épée dégainée. Il prétend s'être fait toucher ? Mais par qui ? Je me retourne vers mes pokémons mais ils sont déjà plus loin dans le salon, et d'un simple regard à mes pokéballs je remarque qu'aucune autre de mes créatures n'est sortie. Je lève donc ma rapière vers lui, lui lançant d'un air menaçant.

« Je crois finalement que c'est bien de toi dont il faut se méfier. J'ai encore quatre autres puissants pokémons avec moi, alors baisse ton arme. Je ne t'ai pas touché premièrement et deuxièmement, il y a eu un bruit à l'étage. Je crois bien que nous ne sommes pas seuls. Donc, soit on fait équipe sur ce coup, soit tu te débrouilles. J'ai six pokémons, tu es seul. »

Mon épée, toujours levée vers le samouraï, je décide de la pointer en direction des escaliers menant à l'étage, quelle sera sa décision ?

Katsuto n’était pas le genre de personne à perdre facilement ses moyens… Mais pour le coup, beaucoup de chose à la suite avaient fini par faire vaciller le guerrier. Et non, ce n’était pas de l’agacement au final, mais bel et bien une peur naissante devant toutes ces choses qu’il ne connaissait pas. S’il restait confiant dans ses rues et face aux différentes tactiques des Din Waves aussi étranges les unes que les autres, tout ça était d’un tout autre niveau, qui le faisait perdre pied. Le cœur battant, sa lame pointée en direction de cette … Bonne femme qui pointait à son tour une arme blanche, il tentait de masquer cette peur de plus en plus présente, difficilement…

Puis il posa le regard sur l’espèce de lapin géant lorsqu’elle reprit la parole. Des poke quoi ? Mais de quoi elle parlait ?!… Ces noms… Il avait déjà entendu parler de ça, sûrement parmi les jeux de Sumie. Non c’était même sûr. Mais ce n'était qu’un jeu ! Un bête jeu qu’il n’avait pas voulu toucher malgré les plaintes de sa nièce…

- Et vous croyez que cette demeure est restée vide vous ? C’est sans doute un Sans-abri. - Pourquoi une maison comme celle-ci resterait-elle vide ? - Et vous croyez que je vais baisser ma garde avec ce que vous me racontez là ?! Mais c’est quoi ces… Monstres ? Il est hors de question que je vous suive…

En plus, elle était entre lui et la sortie. Peut-être que finalement, c’était préférable d’aller se chopper une bonne pneumonie sous la pluie que de rester ici avec ces esprits et… Un long frisson d’horreur parcourut la colonne vertébrale de l’archer, alors que des bruits de pas se faisaient entendre derrière lui, le figeant littéralement sur place… Bon sang qu’il avait l’air ridicule, le fier guerrier… Mais il préférait les adversaires visibles, "normaux", et non tout ces trucs dignes d'un jeu ou d'un de ces étranges films que sa nièce aimait voir...

Avec toutes les questions qu'il se pose je pourrais presque penser que ce fier Samouraï commence à avoir peur. Je préfère ne pas soulever ce point pour éviter de rabaisser son égo d'homme encore plus, déjà que je ne le considère pas comme tel, ça lui ferait sûrement encore plus mal si je le met face à la réalité des choses. Je me contente de ranger ma rapière dans son fourreau accroché dans mon dos. Et je libère mon Lucario, un pokémon de type combat et acier qui a une forme plutôt humanoïde.

« Un sans-abri bien sûr, nous venons de vivre quelque chose d’inexplicable, tu vas continuer à te voiler la face ? Ce manoir abandonné ne l'est pas, et ce n'est sûrement pas un humain qui s'amuse à jouer à cache-cache. »

Je serre mon collier en or blanc entre mes mains, soudain, un lien d'énergie se fait entre mon collier et celui que porte mon Lucario. D'un coup, mon pokémon se voit enfermé dans une bogue débordante d'énergie qui commence déjà à sa fissurer. Quelques secondes après, la bogue explose, libérant une onde d'énergie qui détruit le reste de porte derrière Kojima. Devant nous, mon Méga-Lucario sonde déjà les environs sous sa nouvelle forme.

« Ce monstre est un pokémon, une créature puissante. J'en possède cinq autres, dont deux que tu as déjà vu. Celui-ci est un Lucario sous sa forme méga-évoluée, il est capable de sonder les auras présentes aux alentours. Pour l'instant tu n'es pas son ennemi, mais continue à me tenir tête et à me considérer comme tu le fais et il se fera une joie de te remettre à ta place, vulgaire Samouraï pas si vaillant finalement. »

Ce pic c'était tout à fait voulu, mon pokémon relève la tête après mon petit speech, il commence à s'affoler et court à l'étage sans nous attendre. Je reste sans voix, des portes claquent au dessus de nous, des pas d'humains résonnent. Que faire ?

« Agissons, intelligemment. »

Voyant cette Lise rengainer son arme, le samouraï en profita pour se retourner, restant toujours sur ses gardes, tenant fermement son sabre qu’il espérait, ne pas avoir à utiliser. Bien entendu, et une fois de plus, il ne vit rien… Et cette situation ne faisait qu’amplifier la peur qui s’était installée… Une peur qui n’était en rien calmée par cette Lise, bien au contraire. Comme-ci… Comme-ci elle prenait un malin plaisir à le pousser un peu plus dans ce sentiment qu’il n’avait pas l’habitude de ressentir. Bon sang ! Ces ennemis avaient toujours été des fêtards stupides et bruyants, parfois des gens plus dangereux quand il arrivait des soucis dans son quartier, mais jamais des… des…
Un bruit qu’il n’avait encore jamais entendu le fit se retourner de nouveau. Juste à temps pour voir cette créature bleue sortir d’un étrange objet. Juste à temps histoire de finir de l’éjecter dans les abimes de cette peur viscérale. Tout ce qu’il voyait et entendait, était à présent inexplicable pour lui… Et les mots de cette… Gray… Ne faisaient au final, qu’amplifier le tout…

Lorsqu’une énergie s’échappa de son collier, venant entouré la nouvelle créature, ce fut en soit, la goute d’eau qui fit déborder le vase. S’il parvenait encore à garder un semblant de réflexion auparavant, ce ne fut plus le cas après ça. Seul son instinct était au commande à présent. Et il lui hurlait l’ordre de se tirer d’ici, et aussi vite que ses jambes pourraient l’y aider.
Les nouvelles paroles de cette inconnue résonnèrent alors autour de lui, et le tout se brouilla à travers son esprit. Les mots venaient s’emmêler, rendant finalement ses phrases bien difficilement compréhensibles. Même la pique, qu’il aurait sûrement vécu comme une insulte, ne passa pas la barrière de l’incompréhension. Non.

Soudainement, une ouverture se présenta à lui, alors que la créature s’enfuyait vers l’étage. La vision de cette sortie dépourvue de porte était comme une sorte d’appel…

- On ne m’a pas entrainé pour ça…

Et il ne chercha pas plus longtemps avant de se jeter en avant pour fuir les lieux...