i thought i wouldn't
need your love.
Tu souffles.
Si tu fumais, tu aurais fini multiples paquets.
C’est fini.
Tu sais que c'est toi qui as mis un terme.
Tu le sais que trop bien.
Mais tu devais.
Ton cœur criait trop.
Hurlait.
Tu t’es écoutée.
Tu crois.
Tu croises les bras sur ta table pour y enfoncer ton visage.
Il te manque.
Tu as retrouvé une vieille connaissance.
Jules - tu l’as connue sous le nom de “Juliette” à la base.
Elle était la partenaire de cette femme - tu veux même pas te rappeler son nom.
Plutôt discrète dans tes souvenirs - enfin, c’est sûr qu’à côté d’elle, tout le monde l’est.
Tu voulais pas l’approcher à l’époque par association mais aujourd’hui, ça va bien mieux.
Tu l’as revue dans son association.
Revenant en difficulté.
On t’en avait parlé pour un article.
La surprise de la voir.
C’était elle, la chimère.
Un sourire maladroit.
Et vous avez renoué.
Pourquoi rappeler cette histoire ?
Parce que tes doigts tapotent ton téléphone pour l’appeler.
Tu as besoin de te changer les idées.
Sinon, tu vas imploser.
Exploser.
Pulvériser.
Elle accepte.
Tu aurais pu proposer de venir chez toi mais même cet endroit te rappelle-
Te rappelle que tu l’as perdu.
Le train te secoue doucement.
Tu fermes les yeux.
Ton corps entier est en alerte.
Tu sais plus pourquoi tu l’as appelée.
Une idiote décision.
Mais c’est trop tard.
Tu peux pas la rappeler pour lui dire que c’est mort.
Assume tes actes, Eon.
Tes oreilles plaquées sur ton crâne, tu prends une grande inspiration avant de sonner.
T’es pas habituée à ce type de situations.
Un moment de faiblesse.
Jules doit sans doute se moquer de toi au fond.
Ou juste te rabaisser.
T’en sais rien.
Tu veux juste trouver une excuse pour fuir, pour dire que c’est une mauvaise idée, ta présence ici.
Malgré tout-
Tu sais que c’est la meilleure idée.
Main contre ton téléphone.
Tu espères désespérément qu’il te réponde.
Qu’est-ce que tu peux être conne, Eon.
Si tu fumais, tu aurais fini multiples paquets.
C’est fini.
Tu sais que c'est toi qui as mis un terme.
Tu le sais que trop bien.
Mais tu devais.
Ton cœur criait trop.
Hurlait.
Tu t’es écoutée.
Tu crois.
Tu croises les bras sur ta table pour y enfoncer ton visage.
Il te manque.
Tu as retrouvé une vieille connaissance.
Jules - tu l’as connue sous le nom de “Juliette” à la base.
Elle était la partenaire de cette femme - tu veux même pas te rappeler son nom.
Plutôt discrète dans tes souvenirs - enfin, c’est sûr qu’à côté d’elle, tout le monde l’est.
Tu voulais pas l’approcher à l’époque par association mais aujourd’hui, ça va bien mieux.
Tu l’as revue dans son association.
Revenant en difficulté.
On t’en avait parlé pour un article.
La surprise de la voir.
C’était elle, la chimère.
Un sourire maladroit.
Et vous avez renoué.
Pourquoi rappeler cette histoire ?
Parce que tes doigts tapotent ton téléphone pour l’appeler.
Tu as besoin de te changer les idées.
Sinon, tu vas imploser.
Exploser.
Pulvériser.
Elle accepte.
Tu aurais pu proposer de venir chez toi mais même cet endroit te rappelle-
Te rappelle que tu l’as perdu.
Le train te secoue doucement.
Tu fermes les yeux.
Ton corps entier est en alerte.
Tu sais plus pourquoi tu l’as appelée.
Une idiote décision.
Mais c’est trop tard.
Tu peux pas la rappeler pour lui dire que c’est mort.
Assume tes actes, Eon.
Tes oreilles plaquées sur ton crâne, tu prends une grande inspiration avant de sonner.
T’es pas habituée à ce type de situations.
Un moment de faiblesse.
Jules doit sans doute se moquer de toi au fond.
Ou juste te rabaisser.
T’en sais rien.
Tu veux juste trouver une excuse pour fuir, pour dire que c’est une mauvaise idée, ta présence ici.
Malgré tout-
Tu sais que c’est la meilleure idée.
Main contre ton téléphone.
Tu espères désespérément qu’il te réponde.
Qu’est-ce que tu peux être conne, Eon.