Pourquoi choisir ? :
Bien le bonjour ! Comme annoncé à la fin du sujet original ( http://www.peekaboo-rpg.com/t4214p10-epreuve-2-o-manoir-abandonne-la-serenissime-valoran-s-battlefront ), j'ai dû choisir entre deux possibilités que j'avais en tête (et donc écrites), en plus de devoir réduire drastiquement le nombre de mots pour rentrer dans les clous pour l'épreuve. En espérant que cela n'ai pas nui à la compréhension que je voulais donner.
Me voici donc ici pour vous présenter la fin de ce RP de la manière dont je le voyais initialement, avec un petit choix type "roman dont vous êtes le héros". Have fun !
Me voici donc ici pour vous présenter la fin de ce RP de la manière dont je le voyais initialement, avec un petit choix type "roman dont vous êtes le héros". Have fun !
Le visage si bien composé du noble commençait peu à peu à changer. Alors que les flammes gagnaient du terrain, que le danger se faisait plus présent. Son masque venait de tomber. Son visage, puis ses paroles, révélaient enfin la véritable opinion qu'il s'était construite sur son interlocuteur. C'était ainsi...
Le Gardien restait stoïque. Alors que Donatello prenait son regard pour accusateur. Il paraissait... déçu, tout au plus. Il aurait pu se montrer hôte accueillant, il avait essayé d'ailleurs. Quand l'homme s'enfuit par la fenêtre, il ne chercha pas à le retenir. Il le regarda partir, suivant de quelques pas son cheminement, appuyant ses mains étrangement gantées contre la bordure de la fenêtre arrachée. Le comte rejoignait son cheval.
Le cheval était lancé au galop pour fuir au plus vite cet antre des enfers. Un regard en arrière suffit au romain pour comprendre qu'il avait vu juste tout du long : à la fenêtre une silhouette se détachait en clair-obscur, alors que les flammes s'étendaient pour de bon à l'ensemble de la bâtisse. Sauf que ces flammes-là... n'avaient rien d'un incendie ordinaire. De rouge, elles étaient passées au noir, et enflaient comme une créature monstrueuse. Les fenêtres de l'étages devenaient des yeux furieux, la porte d'entrée une bouche dentelée. Bouche qui dardait sa langue fourchue vers lui. Aussi loin ? Impossible !
Rapide, la flèche sifflait à sa suite. Une flèche épaisse composée de pure magie. D'un rouge luminescent et surnaturel. Sorcellerie. Il ne comprit sa nature qu'au dernier moment. Quand sa pointe frappa sa monture de plein fouet. Elle se cabra, le désarçonna violemment. Elle roula à terre, agitant les membres dans les affres d'une agonie morbide. Des volutes noires s'échappaient de ses naseaux. Le cheval brûlait de l'intérieur. Bientôt, il ne bougea plus. Une tâche d'un noir violacé se propagea du lieu de l'impact sur le corps entier de l'animal, qui s'effrita, jusqu'à être réduit en cendres noires.
Derrière lui, le monstre s'esclaffait, les grincements des poutres vermoulues et des murs qui s'effondraient comme un rire malsain. Peu après, le manoir cauchemardesque explosa.
Qui est Varus pour vous ?
• Un héros au coeur pur •
> Choix 1 <
• Un maudit incompris •
> Choix 2 <
• Un héros au coeur pur •
> Choix 1 <
• Un maudit incompris •
> Choix 2 <
Choix 1 : Varus, ce héros :
Etourdi, le comte ouvrit les yeux. Il voyait son cheval brouter non loin. Il se trouvait allongé sur une étendue d'herbe, à proximité d'une route pavée. Le sol était humide, mais le ciel, clair. Nulle autre trace de civilisation alentours, mais il se souvenait être sur le bon chemin.
Un homme se tenait près de lui, concerné par son sort. Comme une toge à la romaine, ses vêtements laissaient découvert une grande partie de son torse. Le noble put y voir des runes. En tout point semblables à celles dont il gardait le souvenir... à ceci près qu'elles étaient dorées. Les yeux de l'étranger étaient d'ambre doré, sincèrement inquiets. C'était le même visage. Il reconnut également sa voix, lorsqu'il parla. Sans cet écho malfaisant, elle paraissait grave et mélodieuse.
Rien de cassé ?
Il lui tendait la main.
Un homme se tenait près de lui, concerné par son sort. Comme une toge à la romaine, ses vêtements laissaient découvert une grande partie de son torse. Le noble put y voir des runes. En tout point semblables à celles dont il gardait le souvenir... à ceci près qu'elles étaient dorées. Les yeux de l'étranger étaient d'ambre doré, sincèrement inquiets. C'était le même visage. Il reconnut également sa voix, lorsqu'il parla. Sans cet écho malfaisant, elle paraissait grave et mélodieuse.
Rien de cassé ?
Il lui tendait la main.
Choix 2 : Varus, le corrompu :
Etourdi, le comte ouvrit les yeux. Allongé sur une étendue d'herbe saine, il voyait son cheval brouter à proximité. Le sol était humide, mais le ciel, clair. Loin derrière lui se trouvaient les ruines fumantes d'un manoir ordinaire.
Et devant lui, se trouvait la créature qu'il avait cherché à fuir. L'homme le regardait, avec la même expression impassible sur le visage. Quoique... pouvait-il lire une lueur de bienveillance dans ses yeux ? La matière autour de ses bras et de ses jambes semblait plus solide, plus palpable que dans la pénombre du manoir. A bien y regarder, cela ressemblait maintenant... à du velours. Lorsqu'il parla, le noble entendit à nouveau cet écho dans sa voix, mais moins marqué que dans ses souvenirs.
Rien de cassé ?
Il lui tendait la main.
Et devant lui, se trouvait la créature qu'il avait cherché à fuir. L'homme le regardait, avec la même expression impassible sur le visage. Quoique... pouvait-il lire une lueur de bienveillance dans ses yeux ? La matière autour de ses bras et de ses jambes semblait plus solide, plus palpable que dans la pénombre du manoir. A bien y regarder, cela ressemblait maintenant... à du velours. Lorsqu'il parla, le noble entendit à nouveau cet écho dans sa voix, mais moins marqué que dans ses souvenirs.
Rien de cassé ?
Il lui tendait la main.