Roule les yeux dans les orbites, on ne pensait pas que la partenaire soulignerait ce qui était, à l'évidence, hors de la portée de soi. Désabusé de constater qu'on ne pourra compter sur son bon sens, on refuse de se faire une raison sur ce qu'on connaît du désir d'amusement de la coloc - car opposé avec le combat que portent les valeurs.
Agacement qui ne veut justifier derechef son état, on est en droit de faire la gueule si la soirée déplaît. C'est qu'au final, on pourrait avoir une sacrée calvitie à force de s'arracher les cheveux de devoir tout expliquer tout le temps.
— Bien sûr que ouais, c'est si terrible que ça. Tu as pensé aux personnes qui pourraient être traumatisées, car non consentente sur le toucher ? À ce mec qu'on a harcelé, parce qu'il a fait une erreur avec sa glace ? Aux personnes qui font des crises d'angoisse à cause de l'anxiété sociale, mais auxquelles on a quand même forcé à danser ? Alors, non, je m'amuse pas, je suis révolté, et tout le monde ici devrait se questionner un minimum au lieu de vivre dans le déni et d'accepter la situation sous le couvert de l'amusement.
Résumé a écrit:Attablé en compagnie de @Siska Skufsson il se révolte sur la question posée et sort l'un de ses discours SJW.